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  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
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Qui a tué nos villages ?

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 17:55

 

Droit opposable à l'’emploi 1 : Qu’est-ce que c’est ?

Droit opposable à l’'emploi 2 : Un exemple concret de financement de 500 000 salaires.

Droit opposable à l’'emploi 3 : Le mythe de la baisse des impôts et des « charges ».

Droit opposable à l’'emploi 4 : Quels financements ?

Droit opposable à l’'emploi 5 : Où créer les emplois ?

 

Le droit opposable à l’emploi, s’appuyant sur le droit constitutionnel à l’emploi, vise à permettre à tout citoyen privé d’emploi de s’en voir proposer un sans délai, conforme à ses souhaits et à ses compétences. Ces emplois s’exerçant, pour la plus grande partie, dans le secteur non-marchand.

 

Le travail est un choix de société. A chaque époque, la façon dont les humains choisissent, produisent et distribuent les richesses dont ils estiment avoir besoin est une création originale. En ce sens, le travail, c’est-à-dire l’activité qui permet de produire ces richesses, est toujours l’expression d’une époque : l’état des sciences et des techniques, les mentalités et les mœurs, les luttes entre le capital et le travail. Il ne procède d’aucune loi naturelle. Il est toujours un choix politique, car on peut décider de ce à quoi il sert, de ses conditions et rémunérations, de sa reconnaissance et de sa symbolique. Telle est la thèse que le M’PEP veut défendre : il revient à la société de décider ce qu’elle considère comme étant du travail.

 

Le travail est un droit et un devoir. On n’affirmera jamais assez fortement ce principe fondamental. Certains font mine de ne pas comprendre. Comment le travail pourrait-il être un droit ? Un devoir, certes, mais un droit ? Le travail ne dépend-il pas de l’ « économie » ? Justement. Le travail ne doit plus simplement dépendre de l’ « économie » puisque celle-ci (en tout cas l’économie inspirée par les thèses néolibérales) fait la démonstration quotidienne de son impuissance. En réalité l’ « économie » n’est pas impuissante du tout, car le chômage est devenu, pour les économistes et politiciens néolibéraux, la « variable d’ajustement ». Le M’PEP considère qu’il faut découpler le travail et l’économie, faire du travail une affaire politique et non simplement économique. Il existe évidemment une condition pour parvenir à cet objectif : changer les définitions et les conceptions du travail, en faire quelque chose de beaucoup plus large que ce qu’il est actuellement.

 

Le fond du raisonnement proposé par le M’PEP n’est pas nouveau. Il s’appuie sur les principes républicains fixés au moment de la Révolution française qui ont laissé une trace dans notre Constitution. Son préambule n’est-il pas limpide ? On peut y lire que « le peuple français (...) proclame (...) comme particulièrement nécessaires à notre temps, les principes politiques, économiques et sociaux ci-après : (...) chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi ». Peut-on proclamer plus haute ambition ? Tout est dit dans ces quelques mots qui n’ont pas pris une ride. Plus que jamais, ce principe républicain fondamental, formalisé dans le droit, reste d’actualité.

 

En France, de nombreux droits existent depuis longtemps. Sur le papier. Il est nécessaire, en effet, d’opérer une distinction entre les droits sociaux, car certains ne sont que de l’encre sur du papier. Ils peuvent certes figurer dans des textes de loi – et même dans la Constitution - mais ils sont considérés comme des droits indicatifs ou « programmatiques ». Ils ne sont qu’une simple orientation, un cap que se donnent ou que prétendent se donner les gouvernements. Ils ne sont associés à aucune obligation de résultat et n’accordent aucune garantie aux citoyens.

 

D’autres droits sociaux sont dits « opposables ». Un droit « opposable » permet à tout citoyen de s’ « opposer », c’est-à-dire de faire condamner par la justice toute autorité publique qui ne se conformerait pas à la loi, et d’obtenir réparation quand un droit n’est pas respecté.

 

Les droits opposables, et particulièrement le droit à l’emploi, plongent loin leurs raines dans l’histoire de France. C’est en s’appuyant sur cette histoire qu’une définition du droit opposable est possible. Le caractère essentiellement politique du droit opposable à l’emploi – plus que tout autre droit opposable car il touche le cœur du système capitaliste – suscite son rejet violent par les forces néolibérales qui y voient, à juste titre, le facteur principal de reconstitution d’un rapport de force favorable au monde du travail.

 

I.- LE DROIT A L’EMPLOI PLONGE LOIN SES RACINES DANS L’HISTOIRE DE FRANCE la suite sur M'Pep

 

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 17:54

 

Eric Molinié, président du Samu social de Paris, a écrit au préfet d’Ile-de-France. Selon lui, le plan hivernal, qui offre 6.000 places d’hébergement en Ile-de-France pour les SDF, est "insuffisant".

 

Le plan hivernal, qui offre 6.000 places d’hébergement en Ile-de-France pour les SDF, permet-il de répondre à toutes les demandes?

C’est insuffisant. Il y a moins d’une semaine, nous avions 100 à 150 personnes qu’on n’arrivait pas à loger chaque soir. Dont des enfants. Mardi dernier, par exemple, on n’a pas trouvé de lit pour 22 personnes isolées et 81 en famille. Pour moi, l’urgence absolue, ce sont les enfants à la rue que l’on doit protéger. J’ai même alerté la ministre du Logement Cécile Duflot, et j’ai écrit pour la première fois au préfet d’Ile-de-France Daniel Canepa fin octobre : des enfants risquent de mourir de froid cet hiver dans les rues de Paris. Je dois le rencontrer, jeudi prochain, pour en parler.

 

Les enfants ne sont pas tous pris en charge?

Le problème, c’est qu’il n’y pas assez de centres d’hébergement d’urgence pour les familles. Le Samu social en a ouvert un lundi dernier, avec l’accord et le financement de l’Etat, au premier étage de l’ancien hôpital Jean Rostand que nous occupons à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Nous l’avons installé en moins d’un mois. Dès le premier soir, il était complet. J’y ai vu des femmes enceintes, des enfants de 10 ans, et même un nourrisson de 11 jours qui dormait dans la rue auparavant. Emmaüs et Aurore viennent aussi d’ouvrir chacune un hébergement de ce type. Tout cela ne suffira pas. Depuis la crise économique de 2008, de plus en plus de familles se tournent vers nous. Depuis 2011, elles représentent même plus de la moitié des appels au 115. Les profils sont divers : familles de travailleurs pauvres, demandeurs d’asile, femmes victimes de violences conjugales quittant le domicile avec leurs enfants… La suite sur le JDD 

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 18:11

Juste un petit retour sur ArcelorMitall pendant la campagne électorale :

 

La sidérurgie, secteur stratégique pour la France

C'est le titre d'un texte d'engagement que l'intersyndicale a décidé de faire signer à tous les "politiques" qui viennent en visite à Florange :

" LA SIDERURGIE, SECTEUR STRATEGIQUE POUR LA FRANCE.

 

En pleine crise économique, le monde du travail et notamment le monde ouvrier paie chèrement le prix des politiques d’austérité. La facture de ces choix, imposés par la financiarisation de l’économie, pèse essentiellement sur leurs épaules.

De plus, la perte de compétitivité de notre économie, décriée par beaucoup, est accentuée par l’absence de politique industrielle. Cet amer constat est une réalité dénoncée depuis des décennies par les organisations syndicales.

Or, en cette période charnière, où l’Allemagne devient une référence pour bon nombre de gouvernements européens, nous, salariés d’ArcelorMittal, affirmons haut et fort que l’excellence allemande se fait aussi dans nos territoires.

En effet, les plus grands constructeurs automobiles allemands s’approvisionnent en Lorraine sur le site de Florange. Ce fleuron de l’industrie française contribue à la création de richesses pour tout un bassin, pour toute une région et pour tout un pays. Donc, face à cette crise sans précédent, la sidérurgie devrait faire partie de cet indispensable développement économique, social et sociétal.

Pourtant, malgré l’excellence de notre savoir-faire, un propriétaire privé programme la mort industrielle de notre site. Ce même propriétaire a d’ores et déjà détruit plusieurs millions de tonnes de capacité de production en Europe et en France. Ses choix purement spéculatifs ont engendré la suppression de plus de 36 000 emplois en 6 ans.

Il a pu réaliser tout cela grâce au silence assourdissant de la France et de l’Europe. Mittal fait ce que les gouvernements lui permettent de faire ou plutôt lui laisse faire. Combien de milliers d’emplois supprimés ou de millions de tonnes perdues faudra-t-il encore pour mettre un terme à cette désertification industrielle programmée par un spéculateur ?

Les salariés d’ArcelorMittal, eux, ont décidé de réagir en n’acceptant plus cette fuite en avant d’un capitalisme de plus en plus sauvage et meurtrier pour la France et pour l’Europe.

En conséquence, vous, élu(e)s ou futur(es) élu(e)s de la République, vous vous engagez par cette signature à faire de la sidérurgie, y compris à travers la loi, un secteur indispensable et stratégique pour la France et pour l’Europe. Le futur gouvernement français s’engage à défendre ce secteur industriel en empêchant le Groupe Mittal de condamner des outils de production en France. Vous vous engagez aussi à rechercher d’autres solutions européennes afin d’asseoir durablement la production d’acier au sein de l’Europe. La sidérurgie est et doit rester aussi un des fleurons de notre industrie."

 

A Florange, le 24 avril 2012 Signature

Le premier signataire est Jean-Marc Ayrault, député, président du groupe socialiste au parlement. En visite à Florange le 24 avril, après un échange avec les syndicalistes présents et après avoir pris connaissance du texte, il a signé sans hésitation, en déclarant qu'il n'aurait pas écrit autre chose !

Lire le document ICI

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 18:04

Un petit ajout depuis hier, la banque of Tokyo Mitsubishi UFJ (dernière ligne)

 

Pendant que les yeux médiatiques sont rivés sur ces nantis de fonctionnaires, ces tricheurs aux allocations, ces fainéants de chômeurs, ces vieux qui n'en finissent pas de vivre, ces mômes des cités... d'autres, plus tranquilles s'activent dans l'ombre.

 

 

 

 

 

  • Soupçonné d’infractions, la banque Standard Chartered paiera 327 mlns $

 

La banque britannique Standard Chartered a accepté de débourser 327 millions de dollars (253 millions d’euros) pour mettre un terme à une enquête de la justice américaine sur des soupçons d’infractions, notamment de violation de sanctions internationales.

 

Le ministère américain de la Justice (DOJ) et les services du procureur de New York ont accusé le groupe lundi d’avoir fait transiter des millions de dollars par le système financier américain pour le compte de clients en Iran, au Soudan, en Libye et en Birmanie, des pays visés par des sanctions américaines.la suite sur Chronique de l'Info

 

 

  • HSBC va payer 1,9 md $ pour stopper des poursuites

 

La banque HSBC va payer un montant record de 1,9 milliard de dollars pour mettre fin à des poursuites des autorités américaines dans une affaire de blanchiment, affirme le Wall Street Journal sur son site internet en citant des sources proches du dossier.la suite sur Chronique de l'Info 

 

 

 

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:57

Il est peut-être difficile pour beaucoup de gens, et en particulier les USAméricains, d’imaginer qu’un

médecin puisse se faire expulser de chez lui, avec sa famille, parce qu’il n’arrive pas à payer son loyer. Mais en Grèce cela peut arriver. Giorgos Kosmopoulos est médecin.

 

Et pas n’importe quel médecin. Chirurgien thoracique, il a étudié avec le célèbre Pr. Christiaan Barnard en Afrique du Sud au Heart Transplant Center de l’Université Groote Schuur, au Cap. Il a tenu le poste de Maître de Conférences à la faculté de chirurgie cardiothoracique à l’université de Witwatersrand à Johannesburg et a dirigé le service de chirurgie thoracique au centre hospitalier Agios Savas d’Athènes. Il a à son actif 3 535 interventions en chirurgie cardiothoracique.

 

Giorgos Kosmopoulos est également fondateur de StopCartel TV, pionnier du Livestream et l’un des rares streamers bilingues qui rendent compte de la situation en Grèce. Demain matin 7 décembre, le Pr. Kosmopoulos et sa famille de six personnes sont menacés d’expulsion de l’appartement où ils demeurent depuis 14 ans.

 

Mais où se trouve Giorgos Kosmopoulos ce soir ? Il est en train de suivre en direct en streaming les manifestations dans le centre d’Athènes. Car en dépit de ses problèmes personnels, il estime de son devoir de streamer et d’archiver les heurts entre la police grecque et les manifestants qui se rassemblent pour commémorer le meurtre d’Alexandros Grigoropoulos à l’âge de 16 ans, le 6 décembre 2008.

 

Activiste depuis sa jeunesse, Le Pr. Kosmopoulos a grandi sous le régime des colonels et est entré en résistance à l’âge de 17 ans, au début de ses études en faculté. Pendant la décennie qu’il a passée en Afrique du Sud, il a milité contre l’apartheid et a survécu à deux grèves de la faim, l’une de 26 jours et l’autre de 30 jours.

 

Un drame personnel dans sa famille l’a fait revenir en Grèce, où il habite actuellement. A l’âge de six ans, son fils Christopher a reçu une balle dans la tête, suite à quoi il a perdu la vision d’ un oeil et la moitié de la vision de l’autre oeil. Les médecins avaient dit que Christopher avait perdu en même temps la moitié de ses fonctions cérébrales et avait une meilleure chance de réussir son éducation dans sa langue maternelle.

 

La famille est retournée en Grèce et Christopher a intégré une école spéciale. Après un mois, l’école a dit à la famille que Christopher n’avait pas besoin de ce traitement spécial. Il est entré dans une école primaire normale où il a bien travaillé. Il a continué ses études au lycée en ensuite en faculté. Christopher est aujourd’hui économiste et s’est même présenté aux élections législatives sur la liste de SYRIZA. Par greydogg and SnakeArbusto / La suite sur Initiative Grecque à Paris

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:56

Communique du Parti de Gauche Aquitaine

 

TOTAL se prépare à vendre sa filiale de transport et de stockage de gaz TIGF.

 

De l’Ossau à la Bidassoa le bruit court : la mise en vente de TIGF pourrait être officialisée très rapidement, autour d’un prix de 2,8 milliards d’euros (agence Reuters).

 

Des fonds européens, des entreprises canadiennes, des investisseurs chinois ou du moyen orient, la Caisse de dépôt et de consignation, EDF, des fonds de pension seraient évoqués.

 

Les réseaux d’infrastructures de GAZ et d’ELECTRICITE sont des installations physiques durables garantissant à la population et à l’économie, la fourniture de biens de première nécessité dans les domaines de l’énergie. Vu leur importance pour le fonctionnement de la société, les réseaux d’infrastructures ont relevé très longtemps des pouvoirs publics. En France l’édification des réseaux d’infrastructures de Gaz et d’Electricité a nécessité de très importants investissements qui ont été souvent financés par la Nation, par l’impôt.

 

On ne peut pas parler de la vente de TIGF sans la replacer dans le contexte de la libéralisation du secteur de l’énergie mise en œuvre en Europe depuis une dizaine d’années par les idéologues de l’économie de marché et de la mondialisation qui a conduit à la privatisation d’EDF et de GDF et auparavant à celles de TOTAL et d’AREVA.

 

En effet, des intérêts différents et inconciliables opposent de manière flagrante, les tenants des privatisations (FMI, Union Européenne, Entreprises du CAC 40, fonds spéculatifs et les quelques centaines de personnes privées qui en profitent), aux citoyens, usagers et salariés et de la réponse aux besoins de l’ensemble de la nation.

 

C’est l’opposition de l’intérêt privé à l’intérêt collectif.

 

Le gouvernement ne peut laisser les anciennes entreprises nationalisées vendre au plus offrant leurs filiales d’infrastructures et déposséder la nation de ses stockages et ouvrages vitaux pour notre développement et pour la continuité d’alimentation en gaz de toutes et de tous.

 

Pour le Parti de Gauche, les activités d’infrastructure énergétique sont stratégiques (transport d’électricité, de gaz, stockages gaziers, terminaux méthaniers) ce qui exclut de fait les intérêts capitalistiques d’une multinationale ou d’un fonds de pension. Les pouvoirs publics, les élu-e-s, la nation, doivent garder la pleine propriété des infrastructures de l’énergie pour pouvoir ainsi maîtriser le développement de notre économie et de nos territoires. La suite sur le blog de Christophe Miqueux 

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:54

 

 

La commission spécialisée de l'organisation des soins (CSOS), réunie le 28 octobre 2012, a émis un avis défavorable à la poursuite des activités chirurgicale et obstétricale.

Toutefois, comme en 2011, c’est maintenant au Directeur de l’ARS (Agence Régionale de l’Hospitalisation) ou à la Ministre de la Santé de prendre une décision.

D’autre part, nous savons, contrairement à ce qui s’est passé en 2011, que la CSOS n’a voté qu’à la majorité et non à l’unanimité comme par le passé. Il y a donc eu un long débat. C’est important pour la suite.

 

Plus que jamais, après la réunion publique du 4 décembre 2012, nous devons intensifier l’action. Beaucoup dépendra de la mobilisation des Dioises et des Diois qui ont su montrer en 2008, 2009, 2010 et 2011, et depuis 1986, qu’ils ne cédaient pas !

 

ENSEMBLE, disons-le haut et clair, nous voulons :

- atteindre, à Die, un plateau chirurgical en temps voulu,

- accoucher à temps à la maternité de Die et non dans un véhicule ou un hélicoptère,

- habiter un Diois vivant et non un désert médical.

 

 

MANIFESTATION UNITAIRE

Population, élus, personnel hospitalier,

le samedi 15 décembre 2012 à 10 heures

Rassemblement devant l’Hôpital, rue de la Citadelle.

 

 

ENSEMBLE, exigeons de la ministre de la Santé et de l’ARS :

- l’autorisation de fonctionnement de la maternité de Die pour cinq ans, comme pour les autres hôpitaux;

- l’autorisation de fonctionnement de la chirurgie dans son intégralité ;

- le renforcement de notre hôpital en moyens humains et financiers, en équipements et locaux ;

- l’abrogation de la loi « Bachelot » toujours en vigueur.

 

Collectif de Défense de l’Hôpital de Die

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:52

 

 

Interview du président du parlement européen sur le rôle de l'institution et la crise.

 

La Tribune- Le sentiment général est que le parlement européen est resté plus spectateur qu’acteur dans la crise européenne. Partagez-vous cette vision ?

 

Martin Schulz - Non, le parlement européen n’est pas resté spectateur. En réalité, c’est l’éternel problème du parlement: ses pouvoirs sont beaucoup plus importants que ce que lui accorde la perception publique. Lorsque le parlement vote en faveur de la taxe sur les transactions financières, cela est beaucoup moins remarqué que lorsque les chefs d’Etat –qui ne sont pas parvenus à se mettre d’accord pendant des mois sur ce thème– évoquent ce sujet. Je pourrais faire une longue liste des initiatives qui prouve le rôle actif du parlement : le Six-Pack ou l’actuel travail sur la régulation des agences de notation.

 

Mais alors, comment expliquer cette perception ?

 

Nous avons un rôle actif, mais nous ne pouvons contraindre les gouvernements. Or, les chefs d’Etats et de gouvernements ne manquent jamais de s’occuper de chaque dossier et de s’autoproclamer le gouvernement de l’Europe. Et en agissant ainsi, ils réintroduisent le principe de l’unanimité. Ceci conduit à une stagnation et à la mise en place de solutions qui ont en réalité plutôt conduit à aggraver la crise.

 

Récemment, sur la nomination d’Yves Mersch au directoire de la BCE, le conseil a désavoué le parlement européen. Le regrettez-vous ?

 

L’Union européenne n’est pas un Etat fédéral. Si c’en était un, le gouvernement serait responsable devant le parlement. Mais aujourd’hui, c’est optionnel: lorsqu’il s’agit de surveiller les budgets nationaux, on agit comme si l’on était un gouvernement fédéral. Et lorsqu’il s’agit de respecter les choix du parlement, on rappelle que l’UE n’est pas un Etat fédéral. En refusant la décision parlementaire sur la nomination d’Yves Mersch, le conseil européen était dans son droit. Mais il ne devra pas s’étonner si le parlement répond en utilisant un jour le droit de bloquer une de ses décisions. La suite sur La Tribune 

 

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:51

On est loin de l’image de l’île paradisiaque. Le maire de Mykonos, destination vedette du tourisme grec, a été inculpé pour fraude fiscale et détournement de fonds, avec neuf complices présumés, a indiqué vendredi une source judiciaire. Le prédécesseur de l’actuel maire, deux conseillers municipaux, et six employés des services financiers de la mairie encourent les mêmes chefs d’inculpation, selon la même source. Deux cadres financiers ont été placés en détention préventive, tandis que les élus ont dû verser de fortes cautions pour rester en liberté conditionnelle.

 

Les suspects sont accusés d’une part d’avoir couvert des fraudes fiscales généralisées de la part d’hôtels de l’île, et d’autre part d’avoir détourné entre 2002 et 2012 plus de 6 millions d’euros de taxes municipales, selon la même source. Onze hôteliers de l’île, devenue un bastion des nouveaux riches grecs avant l’éclatement en 2010 de la crise financière, ont également été inculpés pour incitation morale à la confection de faux certificats. La Grèce affiche comme priorité la lutte contre la fraude fiscale et les forfaitures en tout genre ayant contribué depuis des années à vider les caisses de l’Etat et à le précipiter dans un surendettement dont il tente actuellement de s’extraire au prix d’une douloureuse austérité. Source Chronique de l'Info et bien plus d'infos encore

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:50

Plus de la moitié des entreprises condamnées pour accidents du travail ou maladies professionnelles ne paient pas les indemnités légales dues à la Sécurité sociale qui subit un manque à gagner de 20 millions d’euros, selon une estimation du gouvernement révélée samedi 8 décembre par Le Parisien.

Lorsqu’un accident du travail ou une maladie professionnelle est imputable à une faute inexcusable de l’employeur, la victime a droit à l’indemnisation de ses préjudices. Les sommes lui sont alors versées par la caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) qui se retourne ensuite contre l’employeur.

Mais, selon des chiffres fournis par le gouvernement lors du débat sur le projet de loi 2013 de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) – adopté lundi par le Parlement –, « dans plus de la moitié des cas (56 %), ces sommes ne peuvent être effectivement récupérées ».

« OBSTRUCTION JUDICIAIRE »

Comment les entreprises s’y prennent-elles pour ne pas payer ? Pour un quart d’entre elles, c’est en raison de la disparition ou de l’insolvabilité de l’employeur, était-il précisé dans le PLFSS. Pour les autres, c’est « tout simplement en faisant de l’obstruction judiciaire et en contestant le moindre vice de forme ou de procédure de la Sécurité sociale », écrit Le Parisien.

En effet, « la reconnaissance de la faute inexcusable par le juge (…) n’empêche pas l’employeur de faire échec à la récupération des indemnités que la caisse a versées à la victime », selon le projet de budget, qui estime à « près de 20 millions d’euros », les sommes non recouvrées par an. La suite sur Chronique de l'Info

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