Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

  • : Le blog de republicainedoncdegauche.over-blog.com
  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
  • Contact

Qui a tué nos villages ?

Recherche

4 janvier 2018 4 04 /01 /janvier /2018 09:54

Non, monsieur de Rugy, nous ne signerons pas !

 

Vendredi 29 décembre dernier, monsieur de Rugy adressait aux groupes parlementaires de l’Assemblée nationale deux textes à signer pour la date limite du 4 janvier.

Il s’agit d’un accord entre le Bundestag et l’Assemblée nationale d’une part et d’une résolution commune en direction de nos gouvernements respectifs en France et en Allemagne. Cela en vue de l’anniversaire du traité de l’Elysée qui a ouvert la nouvelle période amicale des relations franco-allemandes. Compte tenu de l’importance de ces textes et du bref délai consenti, quand bien même étions-nous tous en pause, nous les avons évidemment immédiatement étudiés vendredi, samedi, dimanche 31, le lendemain et jusqu’à ce jour. Évidemment, ces textes ne sont pas amendables, ils ont été écrits sans nous et nous sommes invités à signer pour approbation ou à ne pas le faire.

Nous ne signerons pas.

Pas seulement en raison du procédé brutal et autoritaire coutumier de la présidence de Rugy qui avait pourtant promis une préparation coopérative de l’anniversaire du traité de l’Élysée. Mais parce que ces textes sont d’abord une faute à l’égard de la communauté des nations parties prenantes de l’Union européenne qu’il méprisent en les ignorant. Le format bilatéral franco-allemand prolonge une situation totalement dépassée depuis l’époque de l’Europe des six. Il ne mentionne les autres nations que comme autant de potiches sur la cheminée de l’illusoire bon vieux « couple franco-allemand ». Ce « couple » est ressenti à juste titre comme un directoire aussi arrogant qu’archaïque. Pour entretenir la fiction de cette relation privilégiée, les auteurs en viennent à dédaigner les relations et affinités réelles de la France avec l’Europe du sud et de langue latine. En effet c’est avec elle surtout que « nous sommes le plus étroitement liés au plan politique et sociétal » comme le dit le texte qui réserve pourtant cette affinité à la seule relation franco-allemande. La France n’est pas dans son rôle quand elle écarte ses interlocuteurs historiques.

Nous ne signerons pas. Parce que le contenu de ces textes ne correspond pas aux urgences de notre temps en Europe. La paix ne vient que par la préparation commune de la guerre. L’harmonisation sociale évoquée ne comporte aucune clause de non régression des droits acquis. Les textes n’envisagent aucune amélioration concrète nouvelle, pas même l’élévation du SMIC allemand au niveau français. L’économie n’est envisagée que sous l’angle du droit des sociétés privées ou le culte des nouvelles technologies. La crise de l’écosystème n’est abordée que pour renvoyer aux documents insuffisants déjà signés et à la création d’un marché carbone. Ainsi le pays le plus émetteur de gaz CO2 d’Europe et celui qui est le plus nucléarisé n’ont rien à dire sur leurs responsabilités devant la mise en danger de mort de l’écosystème.

Au total, ces textes sont indigents soit par le niveau de généralité auquel sont limités leurs vœux soit par une obsession économique bornée aux seuls critères techniques rabâchés du libéralisme le plus éculé.

Nous ne les signerons pas aussi parce qu’ils contiennent de nombreuses dispositions contraires à la nature Républicaine spécifique de la France en tant qu’État unitaire. L’attribution aux « districts européens » de compétences élargies et même de droits « d’expérimentation législative » constitue un changement de cap institutionnel dont nous ne sous-estimons pas le potentiel destructeur. C’est une chose de prendre en considération les revendications indépendantistes lorsqu’elles existent et que le vote des peuples les affirme. C’en est une autre de propager le démembrement de la souveraineté collective du peuple en « districts » concurrents, et d’engager le processus de destruction de l’État Nation, seul cadre actuel où s’exerce cette souveraineté. Nous voulons une Europe des peuples. Nous refusons les expérimentations hasardeuses qui commencent par défaire la France. Jean-Luc Mélenchon la suite ici

Partager cet article
Repost0
2 janvier 2018 2 02 /01 /janvier /2018 16:07
Et pour terminer l'année en beauté, attaque des panneaux d'affichages libres
Et pour terminer l'année en beauté, attaque des panneaux d'affichages libresEt pour terminer l'année en beauté, attaque des panneaux d'affichages libres
Et pour terminer l'année en beauté, attaque des panneaux d'affichages libresEt pour terminer l'année en beauté, attaque des panneaux d'affichages libres
Et pour terminer l'année en beauté, attaque des panneaux d'affichages libresEt pour terminer l'année en beauté, attaque des panneaux d'affichages libres

31 décembre à 20 heures, le programme à la télé était tellement navrant que certains insoumis ont préféré l'air frais et les panneaux d'affichage !

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2017 5 29 /12 /décembre /2017 10:27
Avec tous mes voeux pour 2018
Partager cet article
Repost0
27 décembre 2017 3 27 /12 /décembre /2017 10:09
Dans ce 49e numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur un accord de partenariat renforcé entre l'Union européenne et le Kazakhstan adopté à l'Assemblée nationale cette semaine. Puis il parle de la situation à l'hôpital où les coupes budgétaires provoquent le mal-être des soignant·e·s. Enfin, il explique pourquoi la France insoumise s'oppose à la pratique barbare qu'est la pêche électrique.
 
***SOMMAIRE***
- 00:28 : Kazakhstan, Venezuela : deux poids deux mesures
- 13:20 : À l'hôpital, la situation catastrophique après les coupes budgétaires
- 21:11 : Pourquoi nous sommes opposés à la pêche électrique
- 28:14 : Conclusion, bilan et retour sur une nouvelle manipulation médiatique
 
***LES LIENS***
- Intervention de Jean-Luc Mélenchon sur l'accord de partenariat UE-Kazakhstan : https://youtu.be/VAAY3brn6kI
- Le Parlement européen décerne son prix Sakharov 2017 à l’opposition vénézuélienne : http://www.lemonde.fr/ameriques/artic...
- Kazakhgate: 5 millions d'euros de commissions ont été livrés en cash à Paris : https://www.mediapart.fr/journal/fran...
- Vente d'hélicoptères au Kazakhstan : une enquête vise l'entourage de Sarkozy : http://www.lemonde.fr/societe/article...
- Marseille : le pronostic vital des hôpitaux engagé : http://www.laprovence.com/article/edi...
- Télécharger le numéro de CNews matin avec l'article sur l'hôpital : http://www.ojd-suivivn.com/track?link...
- Voir la vidéo de Sabrina l'interne : https://youtu.be/Or29PuSrWXA
- Cette députée LREM interpelle frontalement Collomb sur les migrants, elle est applaudie par la France insoumise : http://www.huffingtonpost.fr/2017/12/...
- Intervention d'Adrien Quatennens sur la pêche électrique : https://youtu.be/dXc8d-yWg44
- Vidéo de Younous Omarjee sur la pêche électrique : https://youtu.be/E39CkD_k4ZY
- Notre pétition pour la création d'un conseil de déontologie du journalisme : https://www.change.org/p/pour-la-créa...

 

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 14:45
Partager cet article
Repost0
23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 14:44
Partager cet article
Repost0
23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 14:42

Lundi 6 novembre, 40 parlementaires ont visité 30 prisons. Leur but : établir une photo instantanée de la situation, en vue de préparer la future loi de programmation de la justice. Par ricochet, cela fait parler du personnel, épuisé, et des détenus placés sous écrou, en situation compliquée. J'ai eu l'occasion de voir le système de l'intérieur en suivant la formation de #surveillant de prison, et de faire les deux stages ( maison d'arrêt et centre pénitentiaire). J'ai été là où les journalistes n'ont pas le droit d'aller. Ce que j'y ai vu est inacceptable.

La surpopulation, l'arbre qui cache la forêt

Les détenus se plaignent d'une situation qui existe depuis de nombreuses années.

La maison d'arrêt de Caen, par exemple, présente un taux d'occupation de 160 % ( chiffres de 2 014). Celles de Fresnes, 202 % ( chiffres de 2 016). A nîmes, pire, on atteind les 207 % ! http://lhttp://www.bfmtv.com/societe/la-maison-d-arret-de-nimes-occupee-a-207percent-une-situation-qui-dure-1023777.html

Concrètement ? 3 voire 4 dans des cellules prévues pour 2. Avec les 2 détenus supplémentaires qui dorment sur des matelas, par terre. Trop nombreux dans les cours de promenade. Trop nombreux pour travailler soit comme "auxis", soit comme ouvrier dans les entreprises installées sous contrat avec l'administration pénitentiaire. Trop nombreux à attendre des jugements, en détention provisoire, qui n'en finissent pas d'arriver à cause de tribunaux engorgés.

Voir à Fresne les conditions de détention : http://fr.blastingnews.com/societe/2016/12/maison-d-arret-de-fresnes-des-conditions-de-vie-denoncees-001329329.html.

Ou encore à Bois d'Arcy, visitée par les parlementaires : http://www.lemonde.fr/societe/article/2017/11/07/visites-surprises-de-quarante-deputes-dans-des-prisons_5211138_3224.html

La prison en France est cernée : côté input - la justice ne suit plus, les délais de jugement sont trop longs, on incarcère trop vite - et côté output, les services d'insertion - les SPIPS - même situation, trop de dossiers à suivre par agent de probation.

Mais cette situation ne doit pas masquer une autre réalité, tout aussi catastrophique, celle des pathologies psychologiques des personnes incarcérées.

Hôpital psychiatrique bon marché ?

Les députés font leur travail en allant visiter les prisons, ils contrôlent le gouvernement, qui s'apprête à construire 15 000 places supplémentaires dans les prisons. La France a déjà été plusieurs fois condamnée par la cour Européenne des droits de l'homme. Je pense qu'il faut d'abord et surtout parler des maisons d'arrêt, qui concentrent à mon sens toutes les dérives du système : régime carcéral d'enfermement 22 h sur 24, avec deux promenades par jour. Les détenus vivent dans des cellules de 9 m2 - pour celles qui sont prévues pour 2 mais qui finalement sont occupées par 4 personnes, toilettes comprises. Par Charpentier/ Agoravox La suite ici

 

Partager cet article
Repost0
18 décembre 2017 1 18 /12 /décembre /2017 08:50

 

Comme d’habitude dans la novlangue des pouvoirs libéraux, l’intitulé du projet de loi est l’exact contraire de ce qu’il prétend contenir. Celui-ci s’appelle donc « projet de loi relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants ». C’est d’une loi contre la liberté de choisir ses études et pour empêcher l’accès a l’université dont il est question en réalité. Le point de départ est évidemment lié à l’actualité à laquelle la loi prétend répondre. Mais on aurait tort de croire que ce sera une loi faite sous le coup de l’émotion. Au contraire, elle contient une vision de l’université en gestation depuis déjà longtemps et dont la mise en œuvre est le fil rouge des réformes dans le secteur depuis au moins trente ans. Un projet qui avance par petits ou grands bonds successifs sans interruption depuis la loi Devaquet en 1986. À présent, le point de départ est l’indescriptible pagaille déclenchée par la procédure actuelle d’admission à l’université. Elle-même est bien sûr avant toute chose le résultat d’une imprévision délibérée à propos de l’évolution des effectifs ayant vocation à entrer en fac une fois passé le bac.

 

Donc, la loi se propose de faire cesser l’inepte plateforme « Admission Post-Bac (APB) » et l’insupportable tirage au sort dans les filières où trop de monde veut aller compte  tenu du nombre insuffisant de places pour accueillir les jeunes. Qui va regretter le tirage au sort ? Personne, c’est certain. Mais la nouvelle méthode propose un changement radical. C’est la fin de la liberté d’inscription en fac pour tous les bacheliers. Le bac n’est plus le premier grade universitaire. Il n’ouvre plus automatiquement la porte de l’université. Une sélection à l’entrée de la fac est créé à l’article premier. Le projet de loi étend la mise en place de quotas de réservation aux meilleurs élèves à l’ensemble des formations et non plus seulement aux formations sélectives (article 2). Il abolit le régime spécial de sécurité sociale des étudiants. Il les rattache au régime général de sécurité sociale (article 3). Il met en place une contribution sociale étudiante annuelle pour financer notamment la prévention (article 4). Enfin, il instaure la possibilité d’une « année sabbatique estudiantine ». On est donc incité à cesser les études. Bien sûr, cela se fait sans toucher de bourses. Il s’agirait de s’en aller de la fac pour mener à bien un projet professionnel ou personnel (article 5).

 

Voyons à présent le détail. À l’article 1 est organisée une sélection qui ne dit pas son nom pour l’accès en licence. Deux phrases fondamentales sont rayée du code de l’éducation. Les voici: « Tout candidat est libre de s’inscrire dans l’établissement de son choix » et « les dispositions relatives à la répartition entre les établissements et les formations excluent toute sélection. ». On sait donc ce qui est supprimé : la liberté de choisir ses études. Et ce qui est créé : un droit pour l’autorité de répartir les étudiants en les sélectionnant par les moyens qu’elle voudra. D’ailleurs, tous les établissements de premier cycle (licence) doivent mettre en place des « dispositifs d’accompagnement » et des « parcours personnalisés ». Fin de la liberté individuelle en matière d’études. Cela signifie que l’autorité change les conditions d’inscription. Celle-ci n’est plus ni un droit automatique ni libre.

 

Pour cela, l’inscription se fera par une procédure nationale de préinscription. Cela s’appelle « ParcoursSup ». Cela remplace le cirque de APB. Mais ça institutionnalise que la liberté d’inscription est morte. Après quoi l’établissement peut conditionner l’inscription du bachelier au suivi d’un parcours de remise à niveau à travers des enseignements ou une année supplémentaires. C’est-à-dire autant de dépenses supplémentaires pour un jeune bachelier. Pensons que le coût moyen pour une année est de 10 000 €  pour un jeune. Inutile de souligner que cela crée aussi des inégalités parmi les titulaires d’un même diplôme entre une licence en 3 ou 4 ans.

 

Le critère de proximité géographique pour s’inscrire dans une fac plutôt que dans une autre est supprimé. Aucune garantie n’existe plus pour personne concernant la localisation de ses études ou la filière qui lui est ouverte. À partir de cette disposition, le reste de l’opération s’enclenche. Les capacités d’accueil sont fixées par l’autorité académique. Lorsque le nombre de candidatures excède les capacités d’accueil, le président d’université a les mains libres pour sélectionner les étudiants dont il accepte l’inscription. De son côté l’autorité académique peut fixer un pourcentage minimal de boursiers acceptés et un pourcentage maximal de bacheliers issus d’autres académies. La suite sur l'Heure du Peuple (J-L Mélenchon)

 

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2017 5 15 /12 /décembre /2017 13:38

Vu le vide sur les bancs de l'Assemblée, il semblerait que peu de députés soient intéressés par l'avenir de nos enfants...

Partager cet article
Repost0
7 décembre 2017 4 07 /12 /décembre /2017 09:51
Question écrite n° 3461 de Mme Muriel Ressiguier

 

Mme Muriel Ressiguier attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur l'inquiétude grandissante concernant le programme d'installation des compteurs « Linky » sur le territoire français.

 

Depuis la Loi de transition énergétique du 18 août 2015, l'État a lancé un immense programme d'installation de compteurs d'électricité intelligents, par l'intermédiaire de la société Enedis (ancienne ERDF, et filiale à 100 % d'EDF), pour respecter la transposition d'une directive européenne (article 341-4 du code de l'énergie).

 

Au total, ce sont 35 millions de ces compteurs communicants qui doivent être installés dans tout le pays d'ici à 2021. À la fin mars 2017, 3 millions et demi étaient déjà en fonction. D'ici la fin de l'année 2017, il est prévu que le rythme de pose passe à 35 000 compteurs par jour pour atteindre cet objectif. Le but affiché est de gérer en temps réel l'énergie en récoltant à distance les données directement chez les particuliers via les compteurs « Linky ».

 

Concrètement, les données transmises par les compteurs s'effectuent au moyen de la technologie CPL (courant porteur en ligne), qui les achemine sous forme d'impulsions électriques, à travers les circuits domestiques normaux. Or ces circuits ne sont pas blindés, ce qui permettrait d'éviter le rayonnement des champs électromagnétiques artificiels qui les traversent.

Toutefois, si l'on reprend en détail la directive européenne 2009/72/CE, elle s'attarde moins sur la maîtrise des consommations ou la recherche de préservation de la planète que sur l'ouverture et la mise en concurrence au sein du marché intérieur commun aux États membres : « Le marché intérieur de l'électricité, dont la mise en œuvre progressive dans toute la Communauté est en cours depuis 1999, a pour finalité d'offrir une réelle liberté de choix à tous les consommateurs de l'Union européenne, qu'il s'agisse de particuliers ou d'entreprises, de créer de nouvelles perspectives d'activités économiques et d'intensifier les échanges transfrontaliers, de manière à réaliser des progrès en matière d'efficacité, de compétitivité des prix et de niveau de service et à favoriser la sécurité d'approvisionnement ainsi que le développement durable. » et n'impose pas une technologie spécifique.

 

Or de plus en plus de citoyens font part de réticences vis-à-vis des équipements « Linky » en raison des risques pour la santé, liés à l'exposition à des champs électromagnétiques artificiels, hypothétiquement cancérigènes : un risque sanitaire encore méconnu et sans doute sous-estimé. Pour rappel, depuis 2011, les radiofréquences sont officiellement classées dans la catégorie 2B des agents physiques « potentiellement cancérigènes » par le centre international de recherche contre le cancer (CIRC), organe de l'OMS.

Un rapport de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), publié en 2016, puis révisé en juin 2017, fait état « d'incertitudes sur les effets sanitaires pour les fréquences mises en œuvre » et appelle à « poursuivre l'étude de ces effets potentiels ».

 

Face aux craintes exprimées, appliquant le principe de précaution et soucieux de l'intérêt général, les maires de plus de 400 communes ont pris position. Ils ont refusé ou demandé un moratoire concernant la pose des nouveaux compteurs, s'appuyant sur le 5ème alinéa de l'article L. 2212-2 du code général des collectivités selon lequel le maire peut faire usage de ses pouvoir de police générale « pour assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques », « prévenir, par des précautions convenables, et de faire cesser ( ) les pollutions de toute nature ( ) les maladies épidémiques ou contagieuses » et « pourvoir d'urgence à toutes les mesures d'assistance et de secours et, s'il y a lieu, de provoquer l'intervention de l'administration supérieure ». Mais les préfectures sont revenues sur les délibérations municipales.

 

C'est pourquoi, elle lui demande de bien vouloir envisager la possibilité pour l'État de se tourner vers un équipement alternatif, non producteur de champs électromagnétiques, et ce, afin d'éviter un nouveau scandale sanitaire potentiel.

 

 

Partager cet article
Repost0

 compteur

Campagne 2017

Photos Campagnes

2011
2012
2013
2014
2013
2016-2017
Caranave Insoumis du Haut Vaucluse 1

 

Caravane Insoumis du Haut Vaucluse 2