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Qui a tué nos villages ?

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 16:59
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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 16:54

 

 

Alors que les ministres et députés débattent ce dimanche soir du nouveau plan d’austérité, la population maintient une manifestation que le gouvernement tente de faire taire par tous les moyens. Selon différentes sources, il y aurait au moins 50 blessés à Athènes et près de vingt immeubles en feu. Deux figures historiques de la Grèce contemporaine, Manolis Glezos et Mikis Theodorakis, présents dans la manifestation, ont reçu de fortes doses de gaz lacrymogène.

 

Dans les rangs des députés, le nombre de démission se multiplierait, d'autres parlementaires de ND et du Pasok déclareraient voter contre le texte. Retour sur cette journée cruciale.

 

Les scènes qui se déroulent actuellement à Athènes sont d’une violence inouïe, indécente dans un pays membre de l’Union Européenne, censée respecter des valeurs aussi fondamentales que les droits de l’Homme ou la démocratie. Alors que les milliers de manifestants se rassemblaient tranquillement sur la place Syntagma, à l’appel des deux confédérations syndicales GSEE (privé) et Adedy (public) et de la gauche (Syriza, Andarsia…) ou sur la place Omonia à l’appel du KKE, la police a littéralement gazé la place, puis les rues alentours. Le prétexte invoqué pour justifier ces actes: des groupes de contestataires ont fait pression sur un cordon des forces antiémeutes devant l'esplanade du soldat inconnu, en contrebas du parlement, selon les images en direct du site internet Zougla.

 

Au sein de la Vouli, les députés débattaient d'un plan d’austérité, dont l’application est une condition sine qua non afin que les gouvernements de l’Union Européenne accordent un nouveau prêt à la Grèce. Ce plan comporte pourtant le même type de mesures que celles appliquées depuis mai 2010, lors du vote du 1er mémorandum contre un premier prêt de 110 milliards d’euros. Depuis, la Grèce s’enfonce dans la récession, le chômage et la misère. Le nombre de chômeurs a ainsi franchi la barre des 1 million dans un pays qui compte 12 millions d’habitants! Dans ce contexte, le ras-le-bol grimpe dans la population. Son expression alterne cependant entre un sentiment d’impuissance, correspondant à un reflux des protestations, et une volonté d’agir, voire d’en découdre, correspondant à un renouveau des mouvements sociaux.

 

Tout a été fait pour vider la place de la Constitution Lire la suite surl’Huma

 

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12 février 2012 7 12 /02 /février /2012 12:47

 

 

Le principal syndicat de policiers en Grèce menace de réclamer des mandats d'arrêt contre les émissaires de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI) imposant la mise en oeuvre de mesures d'austérité fortement impopulaires.

 

Dans une lettre dont Reuters a eu connaissance vendredi, la Fédération de la police grecque accuse ces représentants des bailleurs de fonds internationaux de la Grèce de "chantage, tentatives de subrepticement abolir ou ronger la démocratie et la souveraineté nationale".

 

Cette lettre précise que l'une des personnalités visées est Poul Thomsen, le principal représentant du FMI en Grèce. La missive a aussi été adressée à Klaus Masuch, chef de la délégation de la Banque centrale européenne (BCE), et à Servaas Deroos, ancien inspecteur en chef de la Commission européenne en Grèce.

 

Cette menace est essentiellement symbolique puisque, soulignent des experts des questions juridiques, un mandat d'arrêt doit d'abord être émis par un juge. Cette initiative illustre cependant l'ampleur de la colère de la population grecque face aux baisses de salaires et aux coupes claires dans les budgets de l'Etat exigées par les créanciers internationaux de la Grèce.

 

"Comme vous poursuivez cette politique destructrice, nous vous prévenons que vous ne pouvez nous contraindre à nous battre contre nos frères. Nous refusons de nous élever face à nos parents, nos frères, nos enfants ou tout citoyen manifestant ou exigeant un changement de politique", souligne le syndicat, qui représente plus de deux tiers des effectifs policiers de la Grèce.

 

"Nous vous prévenons que, en tant que représentants légaux des policiers grecs, nous allons émettre des mandats d'arrêts pour une série d'infractions légales (...) telles que chantage, tentatives de subrepticement abolir ou ronger la démocratie et la souveraineté nationale." Lire la suite sur NouvelObs 

 

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 19:14

 

 

Les agents hospitaliers de Kilkis, en Grèce, ont occupé leur hôpital local et ont publié une déclaration disant qu'il était désormais entièrement sous contrôle ouvrier.

 

L'hôpital général de Kilkis en Grèce (Macédoine centrale) est maintenant sous contrôle ouvrier. Les travailleurs hospitaliers ont déclaré que les problèmes qui durent depuis longtemps du Système de santé national (l'ESY) ne pouvaient être résolus.

 

Les travailleurs ont répondu à l'accélération du régime des mesures impopulaires d'austérité en occupant l'hôpital et l'ont déclaré sous contrôle direct et complet par les travailleurs. Toutes les décisions seront dorénavant prises par les « travailleurs de l'assemblée générale ».

 

L'hôpital a déclaré que « Le gouvernement n'est pourtant acquitté de ses responsabilités financières et, si leurs demandes ne sont pas satisfaites, ils se tourneront vers la communauté locale pour avoir le plus large soutien possible afin de garantir les soins de santé publique gratuits soins et de renverser le gouvernement et tous les politiques néolibérales. »

 

A partir du 6 février, le personnel hospitalier ne traitera que les soins d'urgence tant que leurs salaires et les sommes qui leur sont dues ne seront pas payées. Ils demandent également un retour aux niveaux des salaires qu'ils percevaient avant la mise en œuvre de mesures d'austérité.

 

La prochaine assemblée générale aura lieu le 13 février, et une conférence de presse le 15.

 

La déclaration suivante a été émise par les travailleurs :

 

1. Nous constatons que les problèmes actuels et durables de l'ESY (le système national de santé) et des organisations apparentées ne peuvent être résolus par des demandes spécifiques et isolées ou concernant nos intérêts particuliers, car tous ces problèmes sont le fruit d'une politique gouvernementale antipopulaire plus générale et du néolibéralisme mondial.

 

2. Nous constatons aussi, qu'en faisant des revendications particulières nous faisons en fait le jeu d'un gouvernement brutal. Ce pouvoir, pour faire face à son ennemi – qui est constitué par le peuple affaibli et divisé, fait tout pour empêcher la création d'un front uni et populaire à l'échelle nationale et mondiale ayant des intérêts communs et des exigences contre l'appauvrissement social créé par les autorités politiques.

 

3. Pour cette raison, nous plaçons nos intérêts particuliers dans le cadre général de revendications politiques et économiques qui sont posés par une très grande partie du peuple grec qui est aujourd'hui sous l'attaque du capitalisme la plus brutale. Ces revendications doivent être défendues jusqu'au bout afin d'aboutir, dans la coopération entre les classes moyennes et populaires de notre société.

 

4. La seule façon d'y parvenir est de remettre en question, dans l'action, non seulement la légitimité politique mais aussi la légalité d'un pouvoir arbitraire, autoritaire et antipopulaire qui avance à grand pas vers le totalitarisme.

 

5. Les travailleurs de l'Hôpital général de Kilkis répondent à ce totalitarisme par la démocratie. Nous occupons l'hôpital public et le mettons sous notre contrôle direct et total. L'hôpital de Kilkis sera désormais auto-gouverné et le seul moyen légitime de prise de décision sera l'Assemblée générale de ses travailleurs.

 

6. Le gouvernement n'est pas libéré de ses obligations économiques de dotation en personnel et en fournitures. Si il continue à ignorer ces obligations, nous serons obligés d'informer le public de cette situation et de demander au gouvernement local mais surtout à la société civile de nous soutenir par tous les moyens pour :

 

(a) la survie de notre hôpital

 

(b) le soutien au droit aux soins de santé public et gratuits

 

(c) le renversement, par une lutte commune populaire, de l'actuel gouvernement et de toute autre politique néolibérale, d'où qu'elle vienne

 

(d) une démocratisation profonde et substantielle, c'est à dire une démocratisation qui permettra à la société réelle et non pas à des tiers de prendre les décisions concernant son avenir. Lire la suite sur Actua Lutte 

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 19:13

 

 

Les salariés grecs ont entamé vendredi une grève générale de 48 heures pour dénoncer les nouvelles mesures d'austérité réclamées par les créanciers internationaux et dont Athènes ne pourra faire l'économie, selon le ministre des Finances Evangelos Venizelos, à moins de quitter la zone euro.

 

Des heurts entre manifestants et forces de l'ordre ont éclaté place de la Constitution (Syntagma), devant le Parlement mais le premier syndicat de police, qui accuse le Fonds monétaire international (FMI) et la Commission européenne de porter atteinte à la démocratie et à la souveraineté nationale, a exprimé sa volonté de ne plus agir contre ses "frères". La suite sur Reuters 

 

Lire aussi

Les Grecs en grève contre le nouveau plan d'austérité

 

 

 

 

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 17:30

 

 

Le rapport de la Cour des comptes est une douche froide, à la fois pour Nicolas Sarkozy, critiqué pour sa timidité à s’attaquer au surendettement de l’État, et pour François Hollande, que le socialiste Didier Migaud, président de la Cour, met indirectement en garde avant même une possible élection, en insistant sur les « décisions très difficiles à prendre, allant très au-delà de ce qui a été arrêté à ce jour » pour réduire les déficits. En un mot, les Sages appellent le futur président, qu’il soit de droite ou de gauche, à une rigueur accrue.


La Cour des comptes a publié son rapport le jour même où le gouvernement annonçait que le taux d’endettement continue d’augmenter, à près de 90 % de la richesse nationale, et que la courbe ne commencera à s’infléchir, au mieux, qu’en 2014, avec un an de retard sur les prévisions officielles et bien moins nettement qu’espéré.


Encore un fossé qui se creuse avec l’Allemagne, où l’endettement a déjà commencé à baisser ! Le dérapage ne s’explique donc pas seulement par les aides versées aux pays en difficulté de la zone euro (les Allemands paient plus encore) mais surtout par les demi-mesures des deux plans de relance de l’automne, qui n’ont fait que courir après la conjoncture, au lieu de la devancer. La Cour des comptes envisage des « mesures complémentaires » en 2012 : elle prédit en pointillé un troisième plan d’austérité qui mettra, quoi qu’il arrive, le président élu le 6 mai devant des choix douloureux. Surtout s’il s’agit de François Hollande, qui veut recruter 60 000 enseignants et 150 000 « emplois-jeunes ». Le candidat socialiste prétend financer ces mesures à budget égal, mais la Cour des comptes insiste : il ne sera pas possible de maintenir l’enveloppe des dépenses. Les économies réalisées jusqu’à présent sont insuffisantes pour atteindre les objectifs d’assainissement sur lesquels la France s’est engagée devant ses partenaires européens. Lire la suite sur l’Alsace 



 

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 17:28

 

 

Et de trois ! Le Premier ministre grec tente de faire accepter à ses partenaires du gouvernement d'union un troisième plan de rigueur synonyme d'aide financière de l'Europe et du FMI. Mais malgré les plans successifs, le pays semble s'enfoncer inexorablement. Et si la recette n'était pas la bonne ? 3 questions à Christophe Blot, économiste au sein du Centre de Recherche en Economie de Sciences Po Paris.

 

 

La Grèce planche sur un troisième plan d'austérité en deux ans. Cela ne semble pas très efficace jusque là ... 

 

La multiplication des plans de rigueur est complètement contre-productive et plonge la Grèce dans un cercle vicieux, c'est-à-dire qu’elle lui impose des sanctions très lourdes. Certes, il faut essayer de ramener la dette publique vers une trajectoire plus soutenable, mais il y a une multiplicité des plans de restriction. Alors que le pays a fait des efforts très importants entre 2010 et 2011 pour réduire son déficit structurel,  on lui demande de nouveaux efforts. Parce que comme il y a  récession, il y a moins de recettes fiscales. Et comme il y a moins de recettes fiscales, la dette continue à augmenter. Ce qui enfonce de plus en plus la Grèce dans la récession et son taux de chômage est en hausse vertigineuse.

 

L’aide internationale est-elle bénéfique à la Grèce ?

 

Fondamentalement elle est bénéfique, mais ce sont les contreparties demandées à cette aide qui sont nuisibles. Ce sont des contreparties en termes d’ajustements budgétaires drastiques, choses qu’on n’a jamais demandées à un autre pays de la zone euro. Du coup, ces mesures ont des conséquences néfastes sur la croissance et les capacités productives de l’économie grecque et empêchent le pays de retrouver le chemin de la croissance qui est la meilleure façon de stabiliser la dette publique grecque à moyen terme. Le déficit public n’est pas aggravé, mais on n’arrive pas à la baisser autant qu’on voudrait. Avec les plans d’austérité massifs et continus, on enfonce la Grèce dans la récession. Du coup ces plans sont devenues inefficaces et la croissance est brisée. La suite sur TV5

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 17:15

 

 

Les deux grandes centrales syndicales grecques, Adedy pour le public et GSEE pour le privé, ont appelé jeudi à une grève générale vendredi et samedi contre les nouvelles mesures de rigueur réclamées par l'UE et le FMI en échange d'un nouveau prêt. Un appel qui n'a pas empêché la coalition gouvernementale grecque de se mettre d'accord sur le nouveau train de mesures.

Et aussi

 

Les partis de la coalition gouvernementale en Grèce (socialistes du Pasok, libéraux de la Nouvelle Démocratie et extrémistes de droite du Laïos) se sont enfin accordés sur un nouveau plan d'austérité, qui constitue la contrepartie d'un deuxième plan d'aide international à Athènes, ont indiqué deux sources gouvernementales à l'agence Reuters. La voie est donc libre pour que l'eurogroupe, qui se réunit ce jeudi soir à Bruxelles, puisse donner son feu vert à ce second plan d'aide de 130 milliards d'euros. La suite sur RTBF Info 

 

 

 

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 17:10

 

 

En trois ans, de la fin 2008 à la fin 2011, la crise économique a accru le nombre de chômeurs de 648 500. Elle a eu un autre impact, plus dramatique mais largement passé sous silence. Un surcroît, durant cette même période, d'environ 750 suicides et 10 780 tentatives de suicide.


Ces chiffres ne sont pas officiels. Ils n'ont pourtant rien de fantaisistes. Ce sont des estimations établies par le meilleur spécialiste en France du suicide, le psychiatre et professeur de médecine légale Michel Debout. Cet ex-membre du Conseil économique et social, qui travaille sur le sujet depuis quarante ans, a créé et présidé quatorze années durant l'Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS), organisatrice de la Journée nationale de prévention du suicide - qui se tient cette année le 7 février.


Partant d'une étude de l'Institut national de veille sanitaire rendue publique en décembre 2011, qui chiffre le surtaux de tentative de suicide dans l'année chez les chômeurs (par rapport aux actifs en emploi), le professeur Debout a appliqué ce surtaux, variable selon les sexes, aux chômeurs et chômeuses supplémentaires depuis 2008. Puis a utilisé un facteur de corrélation entre tentatives de suicide et morts par suicide, en tenant compte du sexe et de l'âge. Et obtenu ce chiffre de 750 morts, "prix humain de la crise". "Un chiffre très minoré, complète-t-il,car je ne tiens compte que du facteur chômage. Or la crise a d'autres effets, précarité, surendettement, divorces, qui augmentent aussi le risque de passage à l'acte..."


REDÉMARRAGE À LA HAUSSE

Si le professeur Debout a concocté ses propres statistiques, c'est qu'il est "très en colère " face à l'inaction des pouvoirs publics. Les chiffres les plus récents de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) sur le suicide datent de 2009, et ont été collectés en 2008. Ils dénombraient 10 500 suicides. Chiffre élevé, qui classe la France parmi les nations les plus touchées en Europe et place le suicide parmi les problèmes majeurs de santé publique. Surtout, ces statistiques révélaient une inquiétante inversion de tendance. Alors que le nombre de décès par suicide baissait depuis 1987 (après le pic de 12 525 morts en 1986), les années 2008 et 2009 ont marqué un redémarrage à la hausse : 10 127 en 2007, 10 353 en 2008, 10 499 en 2009. Les 35-65 ans, les actifs donc, sont les plus concernés. Prémices de la crise, premiers impacts d'une dégradation économique et d'une déstabilisation sociétale, analysent tous les spécialistes. Lire la suite sur Le Monde 

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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 09:59

 

 

L'Organisation internationale du travail (OIT) a épinglé mardi la politique de compétitivité allemande par les salaires, y voyant "la cause structurelle" de la crise en zone euro. Elle y dénonce les réformes engagées en 2003 par le gouvernement Schröder.

 

Le puissant modèle allemand à l'origine de la crise en zone euro ? Dans iun rapport publié mardi, l'Organisation internationale du travail (OIT) pointe du doigt la politique salariale du pays, "cause structurelle" de la crise dans la zone euro selon elle. Elle épingle notamment les réformes engagées en 2003 par le gouvernement Schröder. "L'amélioration de la compétitivité des exportateurs allemands est de plus en plus identifiée comme la cause structurelle des difficultés récentes dans la zone euro", souligne l'institution onusienne basée à Genève.

 

Ces réformes ainsi que les gains de compétitivité de l'économie allemande sont régulièrement présentés par Berlin comme un modèle à suivre par les autres pays. Un modèle allemand vanté ces dernières semaines par Nicolas Sarkozy. L'OIT y voit au contraire un frein à la croissance européenne : "Les coûts du travail allemands ont chuté depuis une décennie par rapport aux concurrents, mettant leur croissance sous pression, avec des conséquences néfastes pour la viabilité de leurs finances publiques". "Plus grave, les pays en crise n'ont pas pu utiliser la voie des exportations pour compenser la faiblesse de la demande domestique car leur industrie ne pouvait pas profiter d'une demande intérieure plus forte en Allemagne", note l'organisation qui vise à promouvoir le travail décent à travers le monde.

 

Inégalités de revenus Lire la suite sur LCI 

 

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