Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

  • : Le blog de republicainedoncdegauche.over-blog.com
  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
  • Contact

Qui a tué nos villages ?

Recherche

21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 09:37

 

 

La Grèce et sa dette publique reviennent donc sur la table de l'actualité un mois après une nouvelle aide massive laborieusement négociée. Il ne fallait pas être grand politique, ni expert économique patenté, pour prévoir qu'il en serait ainsi. Puisque les peuples et leurs dirigeants paraissent amnésiques, le devoir est de répéter inlassablement quelques leçons élémentaires d'histoire, qui expliquent la profondeur de la crise beaucoup plus que de savants mécanismes financiers, aussi abscons qu'incertains.


Depuis la renaissance d'une Grèce libre en 1830, le pays n'a pratiquement jamais connu d'Etat durable et constitué. La faute originelle en est moins à la longueur de l'occupation ottomane – ce qui serait tout de même paradoxal pour un empire réputé à l'origine par la rigueur de son administration – que par la faute des grandes puissances européennes de l'époque. Angleterre, France et Russie s'entendirent pour mettre la nouvelle nation sous influence. Sans qu'il y ait nécessairement exigence de pénitence imprescriptible, l'Europe ferait bien aujourd'hui de s'en souvenir. Il faut dire que la bourgeoisie grecque y mit aussi du sien, en conservant pendant près d'un siècle jusqu'à l'abandon forcé de l'Asie mineure (1922) ses principaux intérêts en dehors du Royaume (Smyrne, Alexandrie). A-t-elle aujourd'hui fondamentalement changé d'attitude, quand on songe à la difficulté de faire rapatrier les capitaux et les sièges sociaux des armateurs helléniques installés à Londres ou à New York ? En tout cas, affaiblir le budget de l'Etat, en tranchant dans ses dépenses, quels que soient son déficit, les prébendes, les concussions et les corruptions, auquel il donne lieu, relève du contresens absolu : on saigne de toute façon un moribond. Lire la suite sur Le Monde



 

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 21:39

 

 

 

 

 

 

Source Marcha a Bruselas: Mediterrànea

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 09:08

 

Greeceis heading down the road of austerity, now selling off it's land and assets to pay their creditors. Literally the beautiful beaches of Greeceare for sale.

 

As EU leaders meet at a summit to discuss Greece's debt crisis and its future in the ... abandoned terminal buildings and rusting planes - are to be put up for sale. ...

 

LONDON: As the Greek parliament approved a multi-billion Euro asset sale that prompted headlines of 'Greece, a nation for sale', nearly 2000 Indians working in ...

 

Remboursement dette publique Grèce : vente d’une ile à l’Allemagne pour construire centrale solaire ?

L’Allemagne va abandonner progressivement l’énergie nucléaire et à long terme, c’est sans doute une bonne chose, même si à court terme, cela met en péril sa croissance économique, et son respect des rejets de CO2.

La Grèce est fortement endettée, possède des centaines d’îles dont certaines inhabitées, et dispose d’un ensoleillement très élevé.

Partant de ces constats, n’est-ce pas possible à la Grèce de céder une des îles à l’Allemagne contre plusieurs milliards, afin de préserver la croissance allemande et de contribuer à l’indépendance énergétique européenne ?

Rappelons que si les allemands se portent bien économiquement, les grecs ne sont porteront que mieux à terme ! Lire la suite sur Finance économie





 

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 09:02

 

 

Certaines débouchent sur des revendications, voire des révolutions. La plupart s’éteignent aussi vite qu’elles se sont allumées. Une chose est sûre : de Londres à Sidi Bouzid en Tunisie, de Santiago du Chili à Villiers-le-Bel, les émeutes sont devenues un phénomène global. En 2011, on en recense plus de trois par jour. Décryptage avec Alain Bertho, professeur d’anthropologie à l’université Paris 8.

Basta ! : Depuis quand travaillez-vous sur les émeutes ? Et pourquoi vous y être intéressé ?

Alain Bertho : Comme beaucoup de gens, j’ai été frappé par ce qui s’est passé en France en novembre 2005. Cela faisait vingt ans que je travaillais sur les banlieues. Connaissant un peu le sujet, habitant moi-même en banlieue et ayant alors passé quelques nuits dehors à observer les événements, j’ai été saisi d’une certaine perplexité. Nous n’avons vu que des ombres. À chaque fois que nous arrivions là où les voitures brûlaient, les acteurs des émeutes étaient déjà partis. Les familles étaient dehors, plus goguenardes qu’apeurées. Nous devinions une certaine empathie. Puis cela s’est arrêté, sans raison particulière, sans se conclure, comme on en a l’habitude dans le cas d’un mouvement social, avec des revendications, des négociations et une fin de conflit. En mars 2006, j’ai suivi le mouvement contre le contrat premier embauche (CPE) devant le lycée de Saint-Denis où étudie mon fils. Il participait au blocage du lycée. Il n’y avait pas d’assemblée générale, pas d’organisation apparente. Tout se faisait par SMS (Twitter et Facebook n’étaient pas encore actifs à l’époque). Les lycéens de Saint-Denis se rendaient peu aux manifestations à Paris. Ils restaient là, affrontant régulièrement les forces de l’ordre, sachant comment brûler des voitures, se défiant des manifestations parisiennes trop assagies. Cela m’a convaincu de travailler sur ce sujet, sur cette génération qui monte et qui, visiblement, exprime de lourds contentieux avec la police, les parents, la société. J’ai regardé d’autres pays, et je me suis aperçu que les scénarios étaient souvent les mêmes, comme en Grèce en décembre 2008, quand le jeune Alexander Grigoropoylos est abattu par un policier. La jeunesse grecque s’en est d’ailleurs prise aux banques, comme une sorte de prémonition.

Les émeutes sont-elles plus nombreuses aujourd’hui ?

En utilisant la même méthodologie (les émeutes recensées par le moteur de recherche Google), on comptabilise en 2008 environ 270 émeutes, tous continents confondus. On passe à 540 en 2009, puis à 1 238 en 2010. Ce chiffre sera dépassé en 2011, puisqu’au 31 août nous en sommes déjà à plus de 1 100. Nous vivons une séquence particulière de très forte fréquence des affrontements, entre populations et autorités, ou entre populations elles-mêmes. Il en était de même au XVIIIe siècle, en 1848 ou en 1917. Avec une grande différence cependant : ces précédentes périodes conflictuelles étaient visibles, et compréhensibles, par les acteurs des émeutes eux-mêmes, grâce aux discours politiques qui les accompagnaient. Pour l’instant, l’actuelle intensification des émeutes n’émerge pas dans l’espace public. Cela demeure une partie immergée de la conflictualité politique. Et quand une émeute est soudainement médiatisée, comme cet été à Londres, on s’en étonne. Pourtant, quelques mois plus tôt, fin 2010, des étudiants britanniques mettaient à sac le siège du parti conservateur ou s’attaquaient à la voiture du prince de Galles. Le Chili est actuellement agité par un mouvement social très dur où les étudiants sont en première ligne. Mais cela n’est pas vu comme un phénomène général. Lire la suite sur Basta 

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 08:55

 

 

A Paris, plusieurs centaines d'"indignés" ont manifesté hier après-midi exprimant leur rejet du système capitaliste et prônant une révolution pacifique. Les 300 manifestants, selon la police, sont arrivés en fin d'après-midi devant la Banque de France, quelques-uns ont accroché une pancarte proclamant "Mort aux banques" tandis que d'autres scandaient "Coupable".

"Nous sommes un mouvement pacifique, citoyen, qui a envie de faire bouger les choses. On s'adresse au peuple et on lui demande de se réveiller", explique Pierre-Yves, 29 ans, qui a participé à l'organisation de la journée. "On demande la paix, la paix économique et morale", déclare Rafael, 39 ans, la barbe naissante et le pied droit meurtri par le voyage. A la tête d'une entreprise de peinture, il dit avoir dû licencier ses vingt salariés à cause de la crise économique et se retrouver lui aussi au chômage. "J'ai décidé de porter à Bruxelles les voix de tous les gens victimes de la crise", explique-t-il.

Le cortège est parti vers 16 heures, derrière une banderole indiquant en espagnol : "Marcha popular a Bruxelas" ("Marche populaire vers Bruxelles"). Le mouvement réunit plusieurs groupes d'"indignés" européens, dont de nombreux Espagnols, venus parfois à pied, et qui doivent rejoindre Bruxelles pour une journée d'action le 15 octobre.

A leur arrivée Place de la Bastille, vers 21 heures, un important dispositif policier contenait les manifestants sur un trottoir devant l'Opéra. Une manifestante, Marie-Ange a déclaré que la manifestation avait été "très mouvementée" tandis que "ça s'était bien déroulé jusqu'à présent". Selon la préfecture de police, jointe en début de soirée, il n'y a eu ni confrontation avec les manifestants, ni interpellation.

La mobilisation parisienne des "indignés" a débuté le 19 mai, faisant écho au mouvement de contestation spontané né le 15 mai à la Puerta del Sol à Madrid, les jeunes Espagnols exprimant leur ras-le-bol face à la crise économique et au chômage qui touche près de la moitié des moins de 25 ans.

Au même moment en Pologne, 20 000 manifestants européens se sont rassemblés dans les rues de Wroclaw, dans le sud-ouest de la Pologne, venus protester contre les cures d'austérité imposées en Europe pour répondre à la crise de la dette. Lire la suite sur MidiLibre 

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 09:24

 

Le Premier ministre grec George Papandréou préside ce dimanche un conseil des ministres qui doit décider de nouvelles mesures d'austérité pour assurer la continuité des financements d'un plan d'aide international.

Les inspecteurs du Fonds monétaire international et de l'Union européenne tiendront lundi une téléconférence avec le ministre des Finances Evangelos Venizelos pour apprendre quelles dispositions la Grèce aura prises afin de combler son déficit budgétaire de 2011.

Et ce dans l'optique de débloquer une nouvelle tranche d'aide d'un premier plan de renflouement de huit milliards de dollars, une somme dont Athènes a besoin d'ici octobre avant d'être à court d'argent.

Papandréou a annulé une visite aux Etats-Unis samedi afin de se consacrer à cette tâche. "Le conseil doit examiner des mesures allant de nouvelles suppressions de postes dans le secteur public à de nouvelles ponctions sur les retraites", a déclaré un haut fonctionnaire du gouvernement.

Le gouvernement avait imputé le déficit à une récession plus profonde que prévu et décidé d'imposer une nouvelle taxe sur l'immobilier dans l'espoir de collecter autour de deux milliards d'euros annuellement.

Mais la "troïka", surnom donné à la mission d'inspection du FMI, de l'UE et de la Banque centrale européenne (BCE), doute que cet impôt ponctuel marche et exige plus de précisions sur la manière dont le gouvernement entend s'y prendre pour commencer à redresser les comptes publics cette année et la suivante. Lire la suite sur NouvelObs 

Partager cet article
Repost0
18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 13:17

 

WROCLAW (Pologne) - Les rues de Wroclaw, dans le sud-ouest de la Pologne, ont été envahies samedi par des milliers de manifestants, venus protester contre les cures d'austérité imposées en Europe pour répondre à la crise de la dette.

Sous un soleil radieux, le cortège a commencé à se former au moment où venait juste de s'achever une réunion des ministres européens des Finances, venus s'entretenir en Pologne du plan de sauvetage de la Grèce et des moyens de stabiliser leurs finances.

La Confédération européenne des syndicats (CES), organisatrice de la manifestation, attendait plus de 30.000 participants. La police a indiqué à l'AFP en avoir dénombré 20.000 et n'a pas noté d'incident majeur.

Les Polonais étaient majoritaires parmi les participants, en manches courtes et portant des chapeaux de soleil, mais ils étaient rejoints par des manifestants venus de pays voisins: Allemands, Hongrois ou Lituaniens.

La manifestation, au son assourdissant des sirènes, trompettes et autres cornes de brume, devait rejoindre dans l'après-midi la Halle du Centenaire, où s'est déroulée pendant deux jours la réunion des grands argentiers européens.

Un autobus rouge londonien à étage, transportant des membres de la fédération syndicale polonaise OPZZ, était recouvert de pancartes proclamant: "les droits des travailleurs sont des droits de l'homme" ou encore "nous soutenons le droit à des emplois et des salaires décents". Lire la suite sur 20Minutes 



Partager cet article
Repost0
18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 13:16

 

 

Watch live streaming video from globalrevolution at livestream.com
Partager cet article
Repost0
18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 13:02

 

 

Les Indignés font parler d'eux ce samedi. A New York d'abord, où des milliers de personnes se sont rassemblées à proximité de Wall Street, le temple du capitalisme américain protégé par d'importantes forces de l'ordre. Et à Paris où la « marche des indignés » venus d'Espage est arrivée dans la capitale française, avant de poursuivre son chemin vers Bruxelles, le coeur de l'Europe.

L'événement le plus spectaculaire, et le mieux organisé, est assurément celui qui se déroule ce samedi à New York. Relayé par live streaming sur plusieurs sites, comme on le voit sur la capture d'écran ci-dessus. A l'appel d'une coalition d'organisations, ce rassemblement, popularisé sur le réseau Twitter par le hashtag (mot-clé) #occupywallstreet, est le premier écho outre-Atlantique aux mouvements qui traversent le monde arabe, l'Europe du sud et Israël. Lire la suite sur Rue 89 



Partager cet article
Repost0
18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 12:57

 

 

 

Traduction :

 

NOUS CITOYENS DE LA PLAZA DEL SOL ET DE SYNTAGMA MANIFESTONS NOTRE
INDIGNATION ET INVITONS TOUS LES INDIGNES DE TOUTES LES PLACES A NOUS
REJOINDRE


Des USA à Bruxelles, de Grèce en Bolivie, d’Espagne en Tunisie, la crise du capitalisme s’approfondit. Responsables en sont ceux qui nous imposent des recettes pour la dépasser. Celles-ci sont : Transfert des
ressources publiques à des institutions financières privées tandis qu’ils font payer la facture aux peuples avec des plans d’ajustement qui ne nous font pas sortir de la crise mais nous y enfoncent davantage.

Dans l’UE, les attaques des marchés financiers contre les dettes publiques font chanter les gouvernements et prennent en otage les parlements, lesquels adoptent des mesures injustes dépourvues de toute légitimité démocratique et derrière le dos de leurs peuples. Les institutions européennes, au lieu de prendre des décisions politiques fortes face aux attaques des marchés financiers, s’alignent à ceux-ci.

Dès le début de cette crise, nous assistons a une tentative de convertir la dette privée en dette publique. Il s’agit de socialiser impunément des pertes après avoir privatisé scandaleusement les profits.

Les taux d’intérêt élevés imposés afin d’obtenir le financement, ne sont pas dus aux doutes concernant notre solvabilité, mais aux manœuvres spéculatives que réalisent pour s’enrichir les grandes entreprises financières, en connivence avec les agences de notation.

Les coupes économiques sont accompagnées par des restrictions des libertés démocratiques.Citons parmi celles-ci, des mesures de contrôle et d’expulsion de la population immigrée ainsi que des limitations à la libre circulation des Européens dans l’UE. Seuls l’euro et la libre circulation des capitaux spéculatifs ont les frontières ouvertes.

*Dans l’Etat Espagnol,*nous sommes soumis à un processus d’arnaque collective. La dette publique (60% du PIB) N’EST PAS UN PROBLEME et pourtant ils l’utilisent comme prétexte pour nous faire croire que nous sommes dans une situation grave, qui justifie les dures attaques contre nos droits et notre patrimoine qui sont en cours et menacent de croitre.
Au contraire, la dette privée (240% du PIB) est un vrai problème, mais au lieu d’appliquer aux banques les mesures d’austérité ils leur accordent des aides et des privilèges de toute espèce aux dépens du trésor public. La plus grande « aide » est la cession à des prix imbattables de presque la moitié du système de nos Caisses d’Epargne,ainsi que des entreprises et activités rentables.

Pendant ce temps, contrevenant à plusieurs droits fondamentaux, l’accès à la /Puerta del Sol/, épicentre du mouvement du 15 mai (15M) est resté interdit.

*En Grèce,*ils nous ont imposé des Memoranda.Ils nous ont dit que les coupes, l’austérité et les nouveaux impôts sont des sacrifices nécessaires pour faire sortir le pays de la crise et diminuer la dette.Ils nous ont menti !

Jour après jour des nouvelles mesures sont prises, les salaires sont amputés, le chômage monte en flèche, la jeunesse émigre.Et la dette n’arrête pas de gonfler, parce que les nouveaux emprunts sont destinés à payer les énormes intérêts de nos créanciers. Les déficits de la Grèce et des autres pays du Sud européen deviennent les surplus des banques de l’Allemagne et des autres pays riches du Nord.

Les responsables pour le gonflement de la dette ne sont pas les salaires et les pensions de retraite. Les responsables sont les grands allégements fiscaux et les subventions en faveur du capital, la grande bouffe des armements des produits pharmaceutiques. Ils nous mettent en faillite afin d’appliquer des mesures et des coupes catastrophiques, afin de vendre la terre et les biens publics à des prix défiant toute concurrence.

Qu’ils retirent leurs memoranda ! Qu’ils s’en aillent ! Nous ne voulons pas le gouvernement du FMI et de la Troïka.

Nationalisation des banques. Avec ses plans de sauvetage, l’Etat les a déjà payées bien au-dessus de leur valeur boursière pour qu’elles continuent à spéculer.

Ouvrir au peuple les livres de la dette pour que nous sachions où est allé l’argent.

Redistribuer radicalement les richesses et changer la politique fiscale pour faire payer les possédants : les banquiers, le capital et l’Eglise.

Nous voulons le contrôle populaire démocratique sur l’économie et la production.

Pour tout ça, les deux places ensemble NOUS DECLARONS que :

LES POLITIQUES D’AJUSTEMENT QU’ILS APPLIQUENT NE NOUS FERONS PAS SORTIR DE LA CRISE, MAIS NOUS ENFONCERONT PLUS PROFONDEMENT DANS CELLE-CI. ILS NOUS ENTRAINENT DANS UNE SITUATION LIMITE AFIN D’APPLIQUER DES MESURES DE SAUVETAGE, QUI EN REALITE SAUVERONT LES BANQUES CREANCIERES, QUI VONT SE CONCRETISER EN GRAVES ATTAQUES CONTRE NOS DROITS, NOS ECONOMIES FAMILIALES ET NOTRE PATRIMOINE PUBLIC.

Nous devons NOUS INDIGNER et NOUS REVOLTER contre pareilles attaques. C’est ce que nous faisons avec le mouvement 15M dans la Place de la Puerta del Sol et à partir de l’Assemblée Populaire de Syntagma. Nous invitons tous les indignés de toutes les places à s’y joindre.

Stop aux plans d’ajustement et de sauvetage.
Non au paiement de la dette illégitime. Cette dette n’est pas la notre !
Nous ne devons rien, nous ne vendons rien, nous payerons rien !
Pour une démocratie directe et réelle MAINTENANT.

Défendre le public. Pas une vente de propriété ou de services publiques.

Pour la coordination de tous les indignés de toutes les places.

 

LES B

Partager cet article
Repost0

 compteur

Campagne 2017

Photos Campagnes

2011
2012
2013
2014
2013
2016-2017
Caranave Insoumis du Haut Vaucluse 1

 

Caravane Insoumis du Haut Vaucluse 2