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  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
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Qui a tué nos villages ?

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 07:15

 

 

Sous le mot d'ordre "Ils veulent ruiner le pays, il faut l'empêcher", une foule multicolore de manifestants venus de toute l'Espagne a envahi Madrid samedi pour protester contre la politique de rigueur, au moment où le pays, miné par le chômage, tente d'éviter un sauvetage global.

 

Dès le matin, les manifestants, par milliers, ont déferlé sur les avenues du centre de la capitale : enseignants, parents et élèves en vert pour la défense de l'éducation, cortège blanc réunissant les services de santé, une marche noire pour les fonctionnaires, un défilé orange pour les personnes dépendantes et âgées, un autre regroupant le monde de la culture.

 

Pendant ce temps, d'autres descendaient des bus arrivés de toutes les régions du pays, de Catalogne, d'Andalousie, ou du nord de l'Espagne, portant les couleurs des deux grands syndicats espagnols, UGT et CCOO, qui organisent cette journée aux côtés de 150 organisations réunies dans un "sommet social".

 

"Ils baissent les salaires, ils augmentent les impôts, nous revenons à 20 ou 30 années en arrière", lance Roberto Saldana, un pompier de 44 ans venu de Huelva, en Andalousie, uniforme bleu et casque rouge sur le crâne.

 

Avec un groupe de collègues, il a voyagé toute la nuit en bus, avant de marcher vers la grande place Colon, dans le centre de Madrid.

 

C'est là que la foule devait se rassembler à la mi-journée, autour d'une immense banderole rouge barrée du slogan : "Ils veulent ruiner le pays, il faut l'empêcher", pour écouter les discours syndicaux.

 

Rafael Navas, 52 ans, réceptionniste dans un hôtel, est parti lui à 4 heures du matin en bus de Cordoue, dans le sud de l'Espagne, pour arriver à 09H30.

 

"Une manifestation comme celle-ci, avec des gens de tout le pays, cela a plus d'impact que des manifestations en province", remarque-t-il.

 

Il espère que l'Andalousie, avec un tiers de sa population au chômage, fera entendre sa voix "après avoir perdu depuis trois ans 195.000 emplois dans le commerce et plus de 200.000 dans le tourisme". La suite sur Libération 

 

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 07:12

 

Espagne Revolucion real Ya

Photo Revolucion real Ya

 

Ce samedi 15 septembre, près d’un million de manifestants venus de toute l’Espagne ont défilé dans les rues de Madrid pour dire à nouveau "Non aux coupes!" "Non à l’austérité !"

 

Cet été "la Marche des mineurs" avaient recueilli le soutien de centaines de milliers de madrilènes à leur arrivée dans la capitale, le 19 juillet des millions d’espagnols défilaient dans toutes les grandes villes d’Espagne, un mot d’ordre : "Ils veulent en finir avec tout!" Les deux centrales syndicales majoritaires UGT et CCOO (Comisiones Obreras) appelaient alors à une manifestation nationale à Madrid le 15 septembre. Pari réussi! Ce sont des milliers de bus venant de toute les régions d’Espagne qui ont convergé vers Madrid.

Le gouvernement Rajoy annonce 65 000 manifestants, mensonge, la plaza Colon était noire de monde, ils étaient près de 1 million selon les organisateurs.

 

Toutes les luttes se trouvaient réunies en une marée humaine de toutes les couleurs : vert pour l’Education , blanc pour la Santé, orange pour le secteur social, rouge pour les syndicats, noir pour les services publics, violets pour les associations qui militent pour le droit des femmes ... 150 syndicats et associations du Sommet Social ("laCumbre Social") y étaient représentés.

 

Depuis mai 2010, pour le peuple espagnol, la seule politique à l’ordre du jour est celle de l’austérité : premier plan de 50 milliards d’économies du gouvernement socialiste de Zapatero en mai 2010, puis depuis l’avènement au pouvoir de Rajoy, un ryhtme effréné de coupes bugtaires et de contre-réformes. Un démantelèment en bonne et due forme des droits des travailleurs, des services publics et de la protection sociale. Dernière mesure en date la hausse de la TVA le 1er septembre dernier dans un pays qui compte 25% de chômeurs et 50% pour les moins de 25 ans.

 

Une revendication a émergé de la foule, l’exigence d’un référendum sur le "plan de sauvetage" evisagé par le gouvernement du PP (Partido Popular) de Mariano Rajoy qui tandis qu’il sauve les banques, ruine le peuple. Ce sera peut-être une issue pour le peuple espagnol pour enfin en finir avec l’austérité et éviter le risque de repli régionaliste qui est une tendance qui se dessine en Espagne. Source Parti de Gauche 

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14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 17:57

 

 

Le leader du parti socialiste portugais, principale formation d'opposition, a menacé jeudi de rompre le consensus politique autour des réformes et des mesures d'austérité mises en oeuvres en contrepartie de l'aide internationale accordée en mai 2011.

 

Le chef du PS, Antonio José Seguro, a indiqué en particulier que son parti voterait contre les nouvelles mesures d'austérité prévues dans le budget 2013.

 

"Je ne serai jamais complice de cette politique. J'ai décidé que le PS votera contre le budget d'Etat" 2013, a-t-il indiqué dans une déclaration au pays diffusée à l'heure des journaux télévisés.

 

M. Seguro a précisé qu'il soumettrait cette proposition à la Commission nationale de son parti.

La déclaration du chef de l'opposition intervient après l'annonce par le gouvernement d'un renforcement de l'austérité pour l'année prochaine, comprenant notamment une hausse des impôts sur le revenu et une augmentation des cotisations salariales, accompagnée d'une baisse des charges patronales dans le but de favoriser l'emploi. La suite sur Les Échos 

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14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 17:56

 

 

 

Le chef du patronat portugais a vivement critiqué jeudi les nouvelles mesures d'austérité du gouvernement, qui pénalisent fortement les salariés, estimant qu'elles ne permettraient pas de redresser la situation économique du pays, sous assistance financière.

 

Annoncées la semaine dernière par le Premier Ministre, Pedro Passos Coelho, les nouvelles mesures prévoient notamment une hausse des impôts sur le revenu et une augmentation des cotisations salariales de 7%, accompagnée d'une baisse des charges patronales dans le but de favoriser l'emploi.

"Cette mesure qui est favorable aux entreprises s'éloigne toutefois des solutions défendues par les patrons", a déclaré Antonio Saraiva, président de la Confédération des entreprises portugaises (CIP), lors d'une conférence de presse.

 

"En pénalisant davantage les salariés, sa portée risque tout simplement d'être annulée par la forte contraction de la consommation", a-t-il ajouté.

Le Portugal, qui a reçu un prêt de 78 milliards d'euros de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI) en mai 2011, s'est engagé à mettre en oeuvre une sévère cure d'austérité pour assainir ses finances.

 

Le gouvernement, qui a reconnu ne pas pouvoir atteindre cette année ses objectifs de réduction des déficits, a obtenu mardi de la part de ses créanciers un délai d'un an pour redresser les finances publiques. La suite sur Les Échos

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13 septembre 2012 4 13 /09 /septembre /2012 16:19

 

 

La Grèce relance son programme de privatisations

 

L'Agence grecque des privatisations (Tapeid) a relancé mercredi 12 septembre après cinq mois d'inertie le programme de cessions censé aider au redressement du pays, centré dans l’immédiat sur des projets fonciers touristiques.

 

Au cours de sa première réunion depuis mai dernier, à l'entrée du pays dans un feuilleton électoral qui l'a privé d'exécutif jusqu'en juin, l'Agence a présélectionné quatre candidats pour l'aménagement du site d'Hellenikon, dans la banlieue balnéaire d'Athènes. Les prétendants sont l'indien Elbit Cochin Island, le grec Lamda Development, ainsi que le qatari Diar Real Estate et le britannique London and Regional Properties, a précisé l'Agence dans un communiqué.

 

NCH New Europe Property Fund et NCH Balkan Fund sont, eux, en lice pour l'exploitation du terrain en bord de mer de Kassiopi, dans le nord de l'île de Corfou, a ajouté l'Agence.

 

IMPORTANTE PRIVATISATION D'ICI L'HIVER

 

Lamda Development et London and Regional Properties figurent aussi, avec quatre autres groupes, sur la liste des présélectionnés pour la mise en valeur touristique d'un autre site, incluant un golf, sur la côte d'Afantou, à Rhodes. L'Agence a par ailleurs avancé les procédures en vue de la privatisation de la compagnie publique de gaz Depa.Lire la suite sur Le Monde 

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11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 10:45

 

 

En Norvège, la plus grande grève de solidarité jamais organisée a réuni 160,000 membres du syndicat Fagforbundet pour soutenir 79 travailleurs et travailleuses dans les centres de soins infirmiers privés qui sont en grève pour obtenir l'égalité des salaires et des pensions.

 

Soixante-dix-neuf infirmières et infirmiers auxiliaires, tous membres de l'affilié de l'ISP, Fagforbundet (syndicat norvégien des employés municipaux et généraux) se sont mis en grève le 22 août.

 

Le 4 septembre, Fagforbundet a annoncé que plus de 160.000 de leurs membres dans le secteur public organisaient une grève de solidarité pour soutenir les grévistes travailleurs de la santé. La suite ici

 

 

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11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 10:37

 

 

En Grèce, la troïka est de retour. Les mesures d'austérité annoncées, notamment un projet qui prévoit de travailler 6 jours sur 7, sont fortement impopulaires dans un pays laminé par plus de deux ans de crise financière et d'austérité combinées, qui ont accentué la récession, avec une baisse du PIB de 7% attendue pour 2012.

 

« Le travail c’est la santé…financière », c’est le refrain que pourraient entamer en chœur la troïka des créanciers qui doivent débarquer à Athènes ce vendredi avec une nouvelle fournée de mesures d’austérité. C’est que les trois fantastiques -UE, BCE, FMI- ne manquent jamais une occasion de faire la démonstration de leurs super-pouvoirs d’austérité.

 

En jeu cette fois-ci, le versement d'une tranche de 31,5 milliards d'euros de la ligne de crédit accordée par la zone euro et le FMI en mars. Mais pas question d’obtenir le début d’un euro sans quelques concessions économiques et sociales. Ce que le peuple grec ne peut plus payer en monnaies sonnantes et trébuchantes, il le payera à la sueur de son front :

  • nouvelles réductions sur les retraites,

  • nouvelles coupes dans les salaires de certaines catégories de fonctionnaires (universitaires, médecins, militaires, police, juges, diplomates), la presse égrène quotidiennement ses supputations, démenties régulièrement par le ministère des Finances.

 

Pourtant le pire est à venir selon un document adressé au Ministre des finances grecs et dévoilé par la presse grecque et britannique. La troïka y avance tout bonnement l’idée d’imposer une semaine de travail de six jours. Évidemment, le projet y est présenté de manière beaucoup plus diplomatique et vise à accroître la flexibilité des horaires hebdomadaires de travail en relevant le seuil maximal légal de jours ouvrés par semaine.

Une augmentation du temps de travail à salaire constant ? Rien n’est moins sûr. Selon l’OCDE, les salaires grecs ont chuté de 25% dans le secteur privé en 2011. Et rien n’indique que les Grecs ont touché le fond…

 

Une mise sous tutelle de l'inspection du travail

Car c’est un véritable catalogue de mesures de régression sociale qui attend les Grecs :

  • accroître la flexibilité des horaires;

  • accroître le nombre de jours de travail maximum à six jours par semaine pour tous les secteurs;

  • instaurer onze heures minimum de repos par jour;

  • déconnecter le nombre d'heures de travail du nombre d'heures d'ouverture des établissements ;

  • supprimer les restrictions de temps entre les permanences du matin et celles de l’après-midi,

  • autoriser les congés de quinze jours à être pris n’importe quand dans l’année pour les emplois saisonniers.

    Autant de mesures, dont le but est de faire baisser brutalement les coûts du travail, et qui détermineront si la Grèce peut oui ou non rester dans la monnaie unique. La troïka devrait rendre son verdict dans un mois. Une stratégie déconcertante dans un pays en pleine crise industrielle où la priorité devrait consister à « réparer » l’outil de travail.

 

La troïka demande aussi à ce que l’inspection du travail grecque soit réformée et placée sous supervision européenne. Une véritable mise sous tutelle. Par Régis Soubrouillard/ Lire la suite sur Marianne2 

 

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 17:43

 

 

En voilà une idée qu’elle est bonne :

Augmentation des cotisations salariales de 11 à 18%

Baisse des cotisations patronales de 23.75 à 18% (!!!)


Le Premier ministre portugais, Pedro Passos Coelho, a annoncé vendredi de nouvelles mesures d'austérité budgétaire visant en premier lieu les salariés, en expliquant que son pays ne pouvait pas se permettre de dévier des objectifs fixés par le plan d'aide international de 78 milliards d'euros dont il bénéficie.

 

Le budget 2013 portera donc de 11% à 18% le niveau des cotisations sociales de l'ensemble des salariés, une ponction représentant l'équivalent d'un mois de salaire.

 

"L'état d'urgence financière qui a submergé le pays en 2011 n'est pas levé", a dit Pedro Passos Coelho lors d'une allocution télévisée pour présenter les nouvelles mesures. "Nous avons commencé à nous attaquer aux problèmes auxquels nous sommes confrontés, mais nous ne les avons pas encore surmontés."

 

Le chef du gouvernement a aussi annoncé une baisse des cotisations patronales, ramenées de 23,75% à 18%, une mesure censée favoriser les recrutements dans un pays où le taux de chômage au Portugal dépasse 15%.

 

L'annonce de ces mesures intervient alors que des inspecteurs de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE) et du Fonds monétaire international (FMI) se trouvent actuellement au Portugal pour procéder à la cinquième évaluation de la performance du pays au regard des exigences contenues dans le plan d'aide.

 

Le Premier ministre a précisé que cette évaluation s'achèverait prochainement.

 

Les économistes sont nombreux à penser que le Portugal ne sera pas en mesure d'atteindre ses objectifs cette année, la récession la plus sévère depuis les années 1970 se traduisant entre autres par une diminution des recettes fiscales.

 

"Ne succombez pas à la complaisance de ceux qui pensent que nous avons tout le temps nécessaire, ou de ceux qui assurent que nous avons fait suffisamment pour surmonter la crise et que c'est désormais aux autres de faire des efforts", a dit Pedro Passos Coelho. Lire la suite sur Reuters

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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 16:46

 

 

Des policiers en tenue ont bloqué jeudi l'entrée du bâtiment des forces anti-émeutes près du centre d'Athènes pour manifester contre de nouvelles coupes salariales envisagées par le gouvernement grec pour maintenir le pays dans la zone euro.

 

Les syndicalistes étaient escortés par des forces anti-émeutes, selon un photographe de l'AFP.

 

Cette manifestation d'une cinquantaine de membres du syndicat des policiers doit être suivie dans la soirée par un rassemblement dans le centre d'Athènes de policiers, pompiers et militaires, à l'appel des syndicats.

 

"Nous avons atteint nos limites, on ne peut plus assumer nos obligations, ni professionnelles ni familiales, avec un salaire de misère de 680 euros", a indiqué jeudi matin à la télévision publique Net, Yiorgos Drivakos, président de la Fédération de la police portuaire.

 

Mercredi, les syndicalistes de la police ont manifesté devant la résidence du Premier ministre Antonis Samaras au moment où il s'entretenait avec le secrétaire d'Etat auprès du ministère allemand du Travail et des Affaires sociales Hans-Joachim Fuchtel, en visite à Athènes. La suite sur Le Point

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 11:04

 

 

Alors que la région la plus riche du monde, l'Europe, ne parvient pas à en finir avec la crise économique arrivée des Etats Unis en 2008, il est intéressant de rappeler qu'une île, peuplée de 320 000 habitants, perdue sur le cercle polaire arctique, sans industrie ni agriculture puissante, a été le premier pays européen touché et pourtant celui qui s'en est sorti le mieux. Il s'agit bien sûr de l'Islande.

 

Faisons préalablement un bref rappel historique pour analyser ensuite ce « miracle islandais », et les leçons que l’on peut en tirer pour la zone euro.

 

Commençons par décrire la structure de son économie avant l’arrivée de la crise. L’Islande avait misé sur le secteur bancaire et des politiques d’inspirations néolibérales qui lui ont assuré un fort développement économique et une élévation du niveau de vie. Mais cette évolution est en fait virtuelle car ce secteur financier demeure hypertrophié en comparaison de l’économie réelle. La croissance économique ne repose alors sur rien de concret mais uniquement sur des capitaux investis par des étrangers dans ce que l’on considère comme un nouvel El Dorado financier.

 

C’est pourquoi, en 2008, lorsque la crise financière américaine devient contagieuse, le pays est très durement frappé. Rapidement, les trois principales banques du pays (Kaupthing, Landsbanki et Glitnir) furent incapables d’y faire face, n’ayant pas conservé suffisamment de fonds propres par rapport aux montants colossaux de leurs prêts (équivalents à 11 fois le PIB de l’Islande !)

 

Mais « l’exception islandaise » est caractérisée par un comportement unique en Europe qui consiste purement et simplement à laisser couler les banques, considérant que ce sont des organismes privés et que le contribuable islandais n’a pas à payer les dettes des banquiers à leur place. Ce sont les actionnaires, majoritairement étrangers, qui ont dû supporter les pertes des banques, tandis que les dépôts islandais ont été garantis par l’Etat.

 

L’Etat a ensuite nationalisé les banques (ce qui lui a coûté tout de même 80% de son PIB), tout en dévaluant la couronne islandaise de 60% de sa valeur en six mois. Les ménages qui avaient contracté des prêts immobiliers en masse, dont les taux d’intérêt étaient indexés sur la valeur de la livre sterling ou de l’euro, ont vu leurs mensualités exploser. Le système entier s’est alors grippé et l’Etat islandais est entré en faillite. La suite sur La Tribune

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