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  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
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Qui a tué nos villages ?

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 08:34

 

Le Caire - Des dizaines de milliers de manifestants étaient rassemblés mardi place Tahrir au centre du Caire pour marquer la troisième semaine du mouvement de contestation sans précédent réclamant le départ du président Hosni Moubarak, selon un journaliste de l'AFP.

 

Egypte: des dizaines de milliers de manifestants place Tahrir

La place Tahrir (Libération), épicentre de la révolte depuis le 25 janvier, était noire de monde en début d'après-midi.

 

Beaucoup de manifestants portaient des drapeaux égyptiens et des banderoles sur lesquelles était écrit "le peuple veut faire tomber le régime", leitmotiv du mouvement de contestation.

 

"Nous sommes le peuple, nous sommes le pouvoir", scandaient les protestataires.

 

"Les jeunes avec Facebook", proclamait une autre bannière, en référence au site de socialisation qui a permis aux jeunes protestataires de relayer les appels à manifester. (…) 

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 08:34

 

 

L'armée a fait appel, mardi, aux réservistes pour éviter un nouvel embrasement du pays.

 

La Tunisie a connu, mardi, de nouveaux troubles, notamment en province, en raison de la volonté d'une partie de la population d'éradiquer les dernières traces de l'ancien régime, plus de trois semaines après le renversement de Zine Ben Ali.

 

À Tunis, des coups de feu ont été entendus pour la première fois en deux semaines mais ils n'ont provoqué aucun débordement. Trois personnes ont dit à Reuters avoir entendu des coups de feu en provenance de rues proches de l'avenue Habib-Bourguiba, l'artère principale de la capitale. Ces témoins n'ont pas pu préciser l'origine des tirs. "J'ai entendu des tirs sporadiques", a déclaré un des témoins qui se trouvaient près de la mairie. (…) 

Source Le Point

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 08:44

 

 

Le bilan des violences en Algérie s'est alourdi ce dimanche à cinq morts. Un chauffeur de taxi de 65 ans est décédé après avoir inhalé des gaz lacrymogènes lors de heurts entre forces de l'ordre et manifestants à Annaba, selon une source hospitalière. La veille au soir, un jeune homme a été tué par balle dans la région de Tiaret, à 340 km à l'ouest d'Alger, alors que trois personnes étaient déjà décédées depuis le début des émeutes, le 5 janvier.

 

Plus tôt dans la journée de dimanche, le ministère de l'Intérieur avait considéré que la page des violences était «tournée», tout en reconnaissant des «incidents» «à Boumerdès, Béjaïa et Tlemcen».

Un millier de personnes interpellées

Selon le gouvernement, quelque 800 personnes ont été blessées, dont 763 policiers, dans les émeutes contre la cherté de la vie qui secouent le pays depuis une semaine. Par ailleurs, un millier de manifestants ont été arrêtés. Selon le site d'informations Dernières nouvelles d'Algérie, ils risquent de lourdes peines de prison pour vol, destruction des biens de l’Etat ou encore pour attroupement illégal.

Samedi, le gouvernement a par ailleurs répondu dans l'urgence à la contestation par des mesures destinées à juguler la hausse des prix. Mais dimanche, les émeutes ont repris dans certaines villes d'après le site d'information Tout sur l'Algérie, qui évoquait des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre à Bejaïa, dans les villes balnéaires de Tichy, Aokas et Souk-El-Tenine, et dans la ville d’El-Kseur. (…)

Source Le Parisien

 

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 08:42

 

La mesure a été prise pour prévenir un «effondrement de la sécurité», alors que de nouvelles flambées de violence ont été enregistrées dans le pays ces derniers jours...

 

Le ministre tunisien de l'Intérieur, Fahrat Rajhi, a annoncé dimanche la suspension des activités du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), le parti qui monopolisait la vie politique sous l'ancien régime de Zine ben Ali. La suspension des activités du RCD survient après une série d'incidents violents qui, selon des responsables de la sécurité, entrent dans le cadre d'une conspiration de personnalités proche de Ben Ali visant à répandre le chaos et à reprendre le pouvoir.

 

«Le ministre de l'Intérieur a décidé de suspendre toutes les activités et toutes les réunions du RCD et de fermer tous ses bureaux en attendant une décision judiciaire sur sa dissolution», a dit une source proche du ministère. Cette décision a été prise «par nécessité extrême et afin de prévenir un effondrement de la sécurité générale et de protéger les intérêts supérieurs du pays», a ajouté cette source sous le sceau de l'anonymat. (…) 

Source 20 Minutes

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 09:25

 

 

La Syrie, où le parti Baas est au pouvoir depuis près de 50 ans, pourrait être touchée par le mouvement de contestation sociale et politique sans précédent qui agite le monde arabe, estiment des experts.

 

"Aucun pays arabe n'est à l'abri des mouvements de protestation. Les mouvements de l'opposition (...) ont des revendications, ils se sentent lésés face à des pouvoirs absolus et à l'absence de démocratie", estime Riad Qahwaji, directeur de l'Institut du Proche-Orient et du Golfe pour les analyses militaires (Inegma).

 

"Ces mouvements populaires sans précédent, qui gagnent du terrain en utilisant les nouveaux moyens de communication comme l'internet (...) inspirent les pays voisins", a-t-il indiqué à l'AFP. (…)

Source La Dépêche

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 09:18

 

 

Le vice-premier ministre et ancien ministre de l’intérieur, M. Zerhouni, l’un des plus proches amis du chef de l’état, vient d’indiquer clairement qu’il n’y aura pas de levée de l’état d’urgence : « Nous n’allons pas lever l’état d’urgence » a t-il dit, ce mercredi 2 février, en marge de la clôture de la session d’automne du Parlement, rejetant du coup, une des principales revendications de la coordination nationale.


Yazid Zerhouni a également affirmé que la marche du 12 février ne sera pas autorisée faisant porter la responsabilités d’éventuels dérapages aux organisateurs.

L’ancien ministre de l’intérieure, a également annoncé que la loi sur les « associations » sera révisée, sans préciser si cela concerne aussi les partis politiques.

En ce qui concerne Internet, il a usé de son habituel mépris : « je peux seulement vous dire que chez moi j’ai Internet » a t -il indiqué. Peut être bien, mais il ne peut pas accéder à ce site (Kalimadz.com) qui est toujours censuré en Algérie.

Radio Kalima Algérie

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 10:37


Un article de « Marianne » du 21 janvier 2011 s’intitule « L’Europe malade de l’austérité ». Il est curieux que cet

hebdomadaire réduise cette portée à l’Europe car aujourd’hui c’est bien l’ensemble du monde capitaliste qui est

malade de l’austérité, qui en fait, est l’autre nom du capitalisme mondialisé.

 

La Tunisie en est le parfait exemple. Tout le monde a en tête « l’excellente » intervention de DSK en 2008 (en ligne

sur www.politique.net) : après avoir été fait Grand Officier de l’Ordre de la République par Ben Ali, DSK n’a que

louanges à la bouche pour « la politique économique saine » de la Tunisie, il l’érige même en « exemple pour tous

les pays émergents » et la félicite au nom du FMI, même s’il lui demande de pousser encore plus en avant son

intégration économique, « seul moyen d’être à l’abri des crises extérieures » (sic !). Il va même plus loin, puisqu’il

termine ses propos en assurant aux Tunisiens que, grâce à cette politique et malgré la crise, la Tunisie pourra

« continuer à fonctionner très correctement ».

 

Les membres du gouvernement de la République française, à commencer par Fillon, nous ont expliqué, en long, en

large et en travers, ce qu’était pour eux, et les économistes, une politique d’austérité : l’augmentation des impôts

et la baisse des dépenses publiques.

 

Pour les peuples, l’austérité, c’est plus simple : c’est la baisse continue du pouvoir d’achat et des normes sociales !

 

Les deux ne sont pas vraiment contradictoires : la coupe dans les dépenses publiques se fait au détriment des

politiques publiques, à commencer par les services publics et les acquis sociaux, comme la Sécu, le temps de

travail, la garantie de l’emploi, etc. Jamais sur les rémunérations du capital et de la spéculation.

 

Concernant les impôts, leur augmentation se fait essentiellement depuis Colbert sur le dos de « la classe

moyenne » ; par la TVA (comme sur Internet ou la TVA sociale en Allemagne) ou par l’impôt direct ou indirect.

Quand des niches fiscales sont remises en cause, ce sont plus les aides à l’emploi d’une nourrice qui sont

concernées que les placements spéculatifs financiers ou les gros patrimoines.

 

Bref, la crise mondiale, finalement, ne donne qu’un prétexte supplémentaire aux gouvernants du monde pour taxer

leurs concitoyens au profit de quelques nantis qui en profiteront pleinement lorsque les beaux jours de la Bourse

seront revenus. Mais cela commence à se voir et à se savoir.

 

Cette cure d’austérité date, pour les Français, des années 90 et s’intensifie aujourd’hui. Pour les Tunisiens, elle

date de la libéralisation de l’économie par Ben Ali depuis les mêmes années 90 !

 

Le soutien à Ben Ali de nombreux médias occidentaux et des gouvernants se faisait (et ils tentent de se justifier par

cet argument encore aujourd’hui) au nom des « réformes économiquesextraordinaires accomplies depuis 23 ans »

et du barrage qu’il était censé constituer face àl’islamisme. Je ne m’éterniserai pas sur la dictature en elle-même et

ses exactions, car personne ne saurait aujourd’hui la soutenir, mais sur le cœur de la révolution tunisienne qui est,

avant tout, une révolution sociale, donc politique, donc pour la démocratie et, à ce titre, nécessitait le renversement

de la dictature.

 

L’ouverture de la Tunisie au libéralisme mondialisé est la cause profonde de la révolte tunisienne. En effet,

« l’aspiration nouvelle de l’Afrique à la démocratie » est souvent présentée comme la conséquence positive de

« l’avancée économique » de ces pays par l’intégration à la mondialisation, elle-même positive puisque favorisant le

développement. Ce qui, nous ledémontrerons au long de cet article, se révèle faux. Les peuples « n’aspirent » pas

à la démocratie parce que le système économique libéral leur permet le « développement » par l’intégration

économique ; c’est parce que l’intégration au système économique accentue les inégalités et la pauvreté que les

peuples trouvent la force en leur sein de renverser les dictatures.

 

C’est d’ailleurs une constante des révolutions durables : il faut quelque chose en plus d’une dictature pour amener

les peuples à risquer de se faire tuer. Il faut que l’existence devienne intolérable. Ce fut le cas en 1789 en France,

c’est le cas, aujourd’hui, en Tunisie.


par Michel JALLAMION, porte-parole de Résistance Sociale /La suite Page 4 u

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 10:07

 

Etudiants, travailleurs précaires et migrants, de Vienne à Londres, de Paris à Rome, de Madrid à Athènes : les multitudes sont en train de lutter pour leur vie et pour leur avenir contre la crise.


Lutter pour se réapproprier des droits et de la richesse commune qu’ils créent chaque jour, se rebeller contre les mesures d’austérité qui exploitent leur présent et les dérobent de leur avenir, s’insurger contre l’arrogance du pouvoir.


Après les rencontres “Bologna Burns” organisées à Londres, Paris et Bologne l’année dernière, et lors de “Commoniversity” qui s’est tenue à Barcelone tout récemment, Edu-Factory et le Réseau d’Education Autonome appellent tous les groupes qui sont engagés dans cette lutte à une rencontre le 11, 12 et 13 février 2011, à Paris, afin de constituer un réseau puissant et transnational dans lequel développer des stratégies capables de contraster les attaques contre l’université et le welfare social. A travers des conférences et des workshops, des tables rondes et des assemblées, nous proposons d’entamer une discussion autour de thèmes-clé tels que : la production autonome de savoirs, l’auto-formation, les luttes de réseau, l’organisation politique de l’université dans le commun.


A l’intérieur des formes de production prédominantes – dans lesquelles sont intégrées les informations, les codes, les connaissances, les images et les affects – les subjectivités ont besoin d’une grande liberté ainsi que du libre accès aux réseaux de communication, aux banques de données, aux circuits culturels. L’alternative au dualisme public/privé – symétrique à l’alternative capitalisme/socialisme – est aujourd’hui la production du commun.

POUR PLUS D’INFORMATIONS : INFO@EDUFACTORY.ORG

PROGRAMME

 [1]

Vendredi 11 Février - EHESS, Paris :
-  14h – 15h : Bienvenue
-  15h : Introduction
Information logistique et organisation locale
-  15h30 – 20h : Ouverture “Les luttes face à la crise : Expériences européennes de résistance à l’austérité”
Cette ouverture vise à créer un espace de partage et de discussion collective entre les différents participants autour de la grande révolte transnationale contre l’austérité qui a impliqué les étudiants, les universitaires et les mouvements sociaux en Europe et ailleurs. Les groupes et les collectifs sont invités à préparer des interventions de 10 à 15 minutes afin de présenter ce qui caractérise leurs expériences locales et nationales de luttes. L’objectif est celui de penser ensemble des propositions concrètes pour constituer un réseau européen.
-  PAUSE DINER

Samedi 12 Février - Université Paris 8, Saint-Denis :

-  10h -13h : Tables de discussion
Trois tables de discussion autour des aspects spécifiques des mouvements se tiendront simultanément afin de permettre une discussion politique plus approfondie et l’analyse collective des pratiques communes. Chaque table aura un ou deux coordinateurs afin de faciliter la discussion, tout en restant ouverte. Chaque groupe doit tenter d’explorer la cible des différents conflits et de créer des propositions concrètes par le biais de campagnes européennes, d’enquêtes militantes et par l’organisation de journées d’action communes qui seront ensuite discutées. Les trois thèmes principaux seront organisés comme suit :

a) Transformations de l’université : accès gratuit vs privatisation, le corporatisme et la méritocratie

Cette table se propose d’analyser et de comparer les transformations qui se déroulent dans les universités européennes ainsi que les différentes formes de luttes qui les accompagnent. Par exemple, comment le Processus de Bologne est-il appliqué, et quelles sont les articulations nationales de la nouvelle organisation mondiale du travail cognitif ?

b) Education autonome, auto-formation, accès libre aux savoirs : nouvelles pratiques de l’éducation alternative

Ici, la discussion s’articulera autour des pratiques alternatives d’éducation et d’auto-formation comme stratégies de résistance et d’organisation autonome. Quelles sont les possibilités et les difficultés de l’éducation autonome ? Quelles sont les pratiques dont les mouvements étudiants ont fait l’expérience ? Qu’est-ce que cela signifie de créer une université autonome globale ?

c) Précarité, Dette, Welfare : vers un commonfare

Cette table a pour but de discuter le rôle du mouvement étudiant dans le contexte plus général de la précarité économique et de l’exploitation. Les problèmes d’endettement des étudiants, l’accès au welfare, au revenu garanti et au système de l’éducation seront abordés dans la perspective de la création et de l’organisation de ce qu’on a appelé “commonfare”, c’est-à-dire, la ré-appropriation collective de la richesse sociale.

-  PAUSE DEJEUNER
-  14h30 -18h : Ateliers
Cette section sera entièrement consacrée à des ateliers auto-gérés, des tables rondes, des projections, des groupes de discussion, etc. Si des groupes ou des collectifs souhaitent communiquer des propositions avant la conférence, ils peuvent être insérés dans le programme. Pour voir le programme détaillé des ateliers : http://www.edu-factory.org/wp/europ...
-  18h -18h30 : Clôture
Discussion collective de clôture et informations pratiques pour la soirée.
-  PAUSE DINER

Dimanche 13 Février - Université Paris 8, Saint-Denis :

-  10h : Assemblée plénière : Vers un réseau européen de luttes
Une assemblée qui ouvre un débat sur les stratégies politiques possibles pour une coordination européenne des luttes des étudiants, des universitaires et des travailleurs précaires. Les idées et les propositions seront présentées et discutées collectivement afin de créer un programme d’action commune.

Notes

[1] Voir : http://www.edu-factory.org/wp/

SUD Etudiant

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 10:03

 

 

Nawel Mathlouthi chante sa magnifique chanson « Je suis libre et ma parole est libre » au milieu d’une manifestation devant le ministère de l’intérieur peu avant le départ deBen Ali.

 

 

 

 

Chantée à Tunis, ces paroles résonnent dans le coeur de toutes celles et de tous ceux qui se soulèvent contre l’oppression, pour la liberté et l’égalité, que ce soit au Caire, à Alger, à Téhéran, en Europe, en Asie, en Amérique ou en Afrique.

 

Traduction approximative des parole :

Je suis ceux qui sont libres et n’ont pas peur.

Je suis la détermination qui ne meurt pas.

Je suis la voix de ceux qui ne se résignent pas.

Je suis le sens au milieu du chaos.

Je suis le droit des opprimé(e)s

qui sont vendu(e)s par les chiens,

à qui on pille le blé et ferme les portes des maisons

Avant que ne souffle le vent de la pensée.

Je suis ceux qui sont libres et n’ont pas peur.

Je suis la détermination qui ne meurt pas.

Je suis la voix de ceux qui ne se résignent pas.

Je suis libre et ma parole est libre.

Source Soliran Paris

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 09:48

 

Moubarak demande un délai, la foule réclame son départ immédiat

 

Le président égyptien Hosni Moubarak a annoncé hier soir qu’il resterait au pouvoir jusqu’à la présidentielle de septembre, malgré une manifestation de plus d’un million de personnes réclamant son départ sans délai au huitième jour de la contestation contre son régime.

 

De son côté, le président américain Barack Obama a indiqué avoir dit à M. Moubarak qu’une transition politique pacifique et calme devait débuter «maintenant» en Egypte, s’abstenant toutefois de lui demander d’écouter les appels exigeant son départ immédiat.

 

Dans une intervention solennelle à la Maison Blanche à l’issue d’une journée d’intenses consultations diplomatiques entre les Etats-Unis et l’un de leurs principaux alliés du Moyen-Orient, M. Obama a aussi félicité l’armée égyptienne d’avoir permis que des manifestations pacifiques aient lieu et a affirmé aux Egyptiens entendre leurs voix. La suite 

 

A lire aussi: le récit de la journée de mardi, par notre envoyée spéciale au Caire, son reportage audio  et une galerie photosur la «manifestation du million» place Tahrir, les informations de notre correspondante à Washington sur BarackObama qui appelle à la transition en Egypte, l'interview de deux politologues français d'origine égyptienne sur les mouvements à l'oeuvre dans le monde arabeet l'analyse de Christophe Ayad sur les bouleversements géopolitiquesau Proche-Orient.

Source Libération

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