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Qui a tué nos villages ?

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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 09:06

 

 

Nouvelles du 9 janvier 2011

L’Assemblée libre des travailleurs iraniens a démarré une grève a l’usine de pneus de Tire Barez dans la région de Kerman. 3500 personnes et grévistes ont répondu à l’appel.

La grève a commencé progressivement avec l’arrêt total des opérations de fabrication l’après-midi midi du 1er Janvier 2011.

Plus tôt, en Septembre, les travailleurs avaient déjà entamé une grève de quatre jours qui n’a été terminée que lorsque le bureau du travail de la ville de Kerman leur a donné quelques assurances sur leurs revendications. En Novembre déjà la direction avait enjoint les travailleurs de ne pas recourir à la grève ; ils avaient répondu en demandant à la direction de régler ses comptes.

Prétextant la mise en place de la réduction des subventions et des produits subventionnés, entrée en vigueur depuis décembre dernier en Iran, la nouvelle direction mise en place à l’usine de pneus Tire Barez a refusé une nouvelle fois de plus de satisfaire aux revendications légitimes des travailleurs, les obligeant à lancer un nouveau cycle de grèves.

C’est ce qui a amené les travailleurs des opérations de fabrication à un premier débrayage dans la matinée du 1er Janvier 2011. Avec l’arrivée de nouveaux grévistes dans l’après midi l’usine avait cessé toute activité. Peu de temps après les équipes de nuit ont rejoint la grève.

Les travailleurs de l’usine de pneus Tire Barez revendiquent des contrats de travail à durée indéterminée, la fin des contrats mensuels précaires, la rémunération de leurs heures supplémentaires, la rémunération complète des 70 heures supplémentaires de plus que font certains travailleurs de l’usine, quand la direction ne les rémunère que sur une base de 40 heures supplémentaires, l’accessibilité et la possibilité de prendre un jour de congé toute les 2 semaines et un repos hebdomadaire de deux jours, la fin de la réduction de leurs primes de rendement qui ont été réduites par la dilection depuis le mois d’octobre dernier. La grève a duré pendant trois jours et on attend d’autres nouvelles sur ce mouvement.

A suivre donc sur le Site Iran Labor Report : http://iranlaborreport.com/?p=1447

Source Collectif solidarité Iran Paris

 

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 08:18

 

 

Pas d'appel à la libération de blogueurs en Tunisie, pas ou peu de réaction face aux émeutes qui secouent l'Algérie... La France, souvent prompte à appeler à la liberté d'expression dans le monde et à la retenue lors de manifestations, est dans l'embarras avec ses voisins du sud.

 

"Le silence des alliés de Tunis n'est pas sain. On laisse à Zine El Abidine Ben Ali (président de la Tunisie) le temps de se retourner (...) On le soutient, on fera comme d'habitude", déplore Souhayr Belhassen, de nationalité tunisienne, présidente de la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) basée à Paris.

 

Vendredi, le ministère français des Affaires étrangères s'est retranché lors de son point-presse quotidien, à propos de l'Algérie, derrière un banal: "Nous suivons la situation avec attention". Rien sur la Tunisie et les blogueurs et cyber-dissidents arrêtés la veille, selon des ONG.

 

Lors d'un colloque au ministère français de l'Économie, portant sur les relations entre les deux rives de la Méditerranée, un seul intervenant, tunisien, s'est saisi vendredi des mouvements sociaux qui touchent le Maghreb pour réclamer à l'Europe une ouverture et non un repli face au Sud.

 

"Imaginez un ou deux Mahmoud Ahmadinejad (président d'Iran) arrivant au pouvoir en Algérie, en Tunisie ou au Maroc (...) C'est entre cinq et dix millions de personnes qui quitteraient l'Afrique du Nord, en bateaux, à la nage, sur des radeaux, pour venir en Corse, en Sardaigne, en Sicile, sur la Côte d'Azur", a mis en garde Tarak Ben Ammar, hommes d'affaires et producteur.

 

Voilà / 11-01-2011 / La suite 

 

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 08:00

 

 

Un collectif d’intellectuels africains lance un appel aux dirigeants des pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest pour leur demander de penser d’abord à leurs populations avant de s’engager dans le conflit en Côte d’Ivoire.

 

La situation insolite et inédite de deux « Présidents » et « deux gouvernements » à la tête de la même Côte d’Ivoire est certainement déconcertante. Mais bien plus préoccupante est la conformité de vues, entre les dirigeants des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et le reste de la « communauté internationale » sur les sanctions à infliger au Président Laurent Gbagbo, dont le recours à la force, s’il refuse de céder le pouvoir à Alassane Dramane Ouattara.

 

La CEDEAO mettra-t-elle cette dernière menace à exécution en assumant ainsi, de manière ouverte, le rôle de bras armé de l’impérialisme collectif qui se cache derrière l’appellation pompeuse et trompeuse de « communauté internationale » ?

 

La paix en Côte d’Ivoire et en Afrique, d’une manière générale, est au prix de la lucidité, de la solidarité et du courage politique dont nos dirigeants feront preuve dans un monde globalisé injuste et violent.

 

Nous tenons à rappeler aux chefs d’Etat africains qu’ils se trompent d’ennemi et de guerre pour les raisons suivantes, valables pour la quasi-totalité de nos pays :

 

1. L’échec notoire du système électoral prôné :

 

Il y a dix ans, dans la Déclaration de Bamako sur la Démocratie, les Droits et les Libertés, en date du 03 novembre 2000, les Ministres et les Chefs de délégation des Etats et gouvernements ayant le français en partage relevaient en plus des « acquis indéniables », des insuffisances et des échecs qui, ont pris aujourd’hui des proportions alarmantes. Ils ont pour noms : « récurrence des conflits, interruption de processus démocratiques, génocide et massacres, violations graves des droits de l’Homme, persistance de comportements freinant le développement d’une culture démocratique, manque d’indépendance de certaines institutions et contraintes de nature économique, financière et sociale, suscitant la désaffection du citoyen à l’égard du fait démocratique ».

 

Y a-t-il lieu d’envisager une intervention militaire en Côte d’Ivoire, au nom d’un système électoral si défaillant ?

 

2. Les pièges du système néolibéral :

 

Ce système électoral inadapté et cruellement dépendant de l’« expertise » et de financements extérieurs est au service d’un modèle économique particulièrement désastreux en Afrique. Il rime avec pillage des richesses du continent, chômage endémique, pauvreté, injustices, corruption et violences. Les taux de croissance salués par la « communauté internationale » n’ont pas d’incidence sur la situation de l’immense majorité des Africains.

 

Alors au nom de quel projet de société, la CEDEAO devrait-elle s’engager dans une intervention militaire en Côte d’Ivoire ?

 

3. Des « démocraties » minoritaires :

 

L’enthousiasme et les espérances que les premières élections suscitèrent ne sont plus au rendez-vous comme l’attestent les taux de participation aux élections présidentielles généralement inférieurs à 50%, sauf dans les pays en crise (Guinée, Côte d’Ivoire par exemple) où les populations caressent l’illusion d’instaurer la paix par le vote.

 

Au lieu du rôle de gendarme que la « communauté internationale » lui confie au risque de la discréditer, la CEDEAO ne devrait-elle pas chercher d’abord à conférer à la démocratie un sens qui réconcilie les Africains avec la politique ?

 

4. Des graves régressions politiques :

 

L’Etat postcolonial qui se voulait souverain est devenu l’Etat sous-tutelle des institutions de Bretton Woods, chargé de libéraliser, de privatiser et de gérer ensuite les conséquences sociales dramatiques de cette politique. L’impopularité des gouvernants démocratiquement élus tient en grande partie aux réformes contraignantes et souvent erronées du FMI et de la Banque mondiale qui dégagent leur responsabilité en cas de soulèvement des populations.

 

Faut-il que la CEDEAO, au nom d’une démocratie que les argentiers foulent au pied, ajoute davantage à l’injustice et à la souffrance du peuple ivoirien ?

Afrique en lutte / par Collectif d’Intellectuels africains / 5 janvier 2011 / La suite 

 

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 07:58

 

 

Des heurts entre policiers et jeunes, protestant contre une hausse des prix de la farine et du sucre ainsi que contre la pénurie chronique d'emplois, se sont produits mercredi dans plusieurs villes d'Algérie, y compris à Alger, rapporte la presse locale.

 

Dans le quartier populaire algérois de Bab-el-Oued, les protestataires ont mis le feu à plusieurs commerces, dont une concession automobile et un magasin de téléphonie. La police anti-émeutes a usé de gaz lacrymogènes contre les émeutiers.

 

Des troubles analogues se sont produits à Oran, sur la côte à l'ouest d'Alger, et à Blida, au sud de la capitale, rapporte la presse algérienne.

 

"La jeunesse est en colère contre le régime. Elle ne comprend pas pourquoi un pays riche n'est pas capable d'offrir des emplois, des logements et une vie décente à son peuple", a confié à Reuters Mohamed Saïd, un quinquagénaire habitant Bab-el-Oued.

 

Source L’Express / La suite 

 

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28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 12:00

Les salaires des policiers seront augmentés de 50% avec un effet rétroactif depuis janvier 2008.

 

C’est ce qu’a annoncé lundi 27 décembre le patron de la police, le général-major Abdelghani Hamel, sur les ondes de la chaîne III de la radio nationale.

 

Mercredi dernier, le Premier ministre Ahmed Ouyahia a signé quatre décrets exécutifs dont ceux relatifs au statut de la police et au régime indemnitaire qui entreront en vigueur le premier jour de l'année prochaine, et ce, après approbation du président de la République.

 

L’invité de la chaîne III s'exprimant au sujet du régime indemnitaire des fonctionnaires de la police a indiqué que «la prime de rendement sera calculée au taux variable de 0 à 30 % du traitement. L’indemnité de risque est calculée au taux de 70 % du traitement, celle de fonction est calculée au taux variable de 10 à 90 % du traitement. L’indemnité d’astreinte policière est calculée au taux variable de 15 à 90 % du traitement. Les taux de l’indemnité de fonction et de l’astreinte policière sont fixés par un tableau qui sera publié plus tard ».

 

Il a également précisé que « les indemnités seront versées à partir de janvier 2011 avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008"

 

Source El Watan / Rabah Beldjenna / 27.12.10

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 08:47

 

 

Alors que la France a pris la présidence du G20 en novembre 2010, la riposte des mouvements citoyens s’organise, et Attac entend bien y jouer un rôle moteur.

 

En ce début 2011, alors que la crise globale continue d’enchaîner ses épisodes et rebondissements, la coordination mondiale des politiques que le G20 était supposée promouvoir est plus éloignée que jamais. Dans les pays riches, le sauvetage des banques et des fonds spéculatifs, ainsi que la récession provoquée par la crise financière, ont reporté vers les États le fardeau des dettes privées. Toutefois les États-Unis et l’Union européenne ont choisi des voies divergentes. Alors que l’administration Obama s’appuie sur la force du dollar pour financer son déficit budgétaire et commercial en attirant les capitaux internationaux et en laissant filer sa dette, l’Union européenne a choisi de réduire aux forceps ses déficits publics par des politiques récessives. Les pays émergents, quant à eux, étaient restés en grande partie à l’écart de la mondialisation financière, leurs systèmes bancaires ont donc été beaucoup moins affectés par la crise : ils continuent à connaître une forte croissance qui leur permet d’augmenter encore leur poids dans l’économie mondiale, sans toutefois qu’aucun d’eux puisse encore prétendre détrôner les États-Unis.

 

Les marchés financiers, dont les dérives délirantes ont presque provoqué un gigantesque effondrement global, ont retrouvé toute leur arrogance. Avec l’appui de leur allié de toujours, le FMI, et avec la complicité de la Commission européenne et des gouvernements nationaux, ils contraignent les pays européens à des plans d’austérité brutaux. En même temps, les fonds spéculatifs et les banques ont repris de plus belle leurs pratiques spéculatives sur les cours des matières premières et des produits agricoles, qui sont repartis à la hausse sur les marchés de produits dérivés. Les banques ont retrouvé des profits confortables et distribuent à nouveau des bonus records à leurs traders. Les déséquilibres commerciaux mondiaux étant toujours à l’œuvre – énormes excédents commerciaux chinois, allemands et japonais, énormes déficits des États-Unis et de plusieurs pays européens – , les rivalités entre puissances s’aiguisent sous la forme d’une « guerre des monnaies » favorisée par le déchaînement de la spéculation sur les devises.

 

2011 est pour Nicolas Sarkozy l’année de la dernière chance. Il n’a cessé de mener ouvertement une politique économique et sociale au service exclusif des actionnaires et des grandes fortunes. Ceci l’a discrédité aux yeux d’une large fraction de ses électeurs de 2007, comme l’a montré le très large soutien de la population au mouvement contre le réforme des retraites. Président du G20, il va sans aucun doute multiplier les fanfaronnades sur la régulation et la moralisation du capitalisme, contre la dictature de la finance et du court terme. Pour restaurer une image ruinée dans l’opinion publique française, il va se mettre en scène comme héros sauveur de la planète, réformateur du système financier et monétaire international, homme d’État à la vision planétaire. Mais ces prétentions dérisoires ne feront pas illusion. Si certains mouvements à l’étranger peuvent être sensibles au discours sarkozien sur la régulation du capitalisme ou la dénonciation des logiques financières, la société civile en France n’a aucune illusion sur la cohérence et la capacité d’action concrète de Nicolas Sarkozy dès lors que les intérêts de ses mandants, les milieux d’affaires, seraient touchés. Nous allons donc nous mobiliser tout au long de l’année 2011, avec nos partenaires nationaux et internationaux, pour dénoncer le double langage de ce président, illusionniste fatigué.

Attac France / 22-12-2010/ La suite 

 

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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 11:02

 

Bande annonce du film

 

 

Si vous voulez en savoir plus et voir le film en entier (1h30) , callez-vous dans un fauteuil et

cliquez sur le lien ci-dessus.

Vous verrez, ça change un peu des programmes TV

 

http://www.kultkino.ch/kultkino/besonderes/le_revenu_de_base_film_francaise

 

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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 18:29

 

Vous entendez, les phrases ci-dessous, sur l’ensemble des médias, dans la bouche de certains politiques...

 

"Le libéralisme, c'est plus de choix et des meilleurs prix pour le consommateur"

"Le libéralisme, c'est le libre-jeu du marché"

"La croissance crée des emplois"

"Seul le marché est apte à déterminer le juste prix des matières premières, des devises, ou des entreprises"

"L'entreprise crée des richesses. Elle est la source de la prospérité des pays et de leurs habitants"

"La mondialisation profite à tous"

"Le libre-jeu du marché crée par lui-même les conditions de l'équilibre"

"Le libéralisme est le seul choix possible, sous peine de s'isoler du Monde"

 

Vous ne voyez pas les résultats promis : pouvoir d’achat en baisse, générations futures sacrifiées, délocalisations, faim dans le monde, réchauffement climatique... Voici quelques arguments qui démentent toutes ces allégations ici

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24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 16:44

 

Slate.fr

12 septembre 2010

 

Allongement de la durée de vie et vieillissement des populations (aussi bien en Asie qu’en Europe ou en Amérique): tous les pays s’adaptent en réformant leur système de retraite. Mais chaque situation nationale est spécifique et les réformes doivent prendre en compte la part des dépenses de retraite dans la production nationale de richesse pour y faire face. Le constat est démographique, la solution est économique et politique.

Age légal ou durée de contribution, rarement les deux

 

Concernant l’âge de départ, les réformes ont toutes pour objectif de retarder l’âge auquel un retraité peut prétendre à une pension complète. Mais les modalités pour introduire souplesse et progressivité à partir d’un âge minimum de départ sont différentes.

 

En France, au terme de la réforme, l’âge légal de départ voté la semaine dernière à l’Assemblée nationale est de 62 ans mais la pension complète est soumise à une durée minimale de cotisation (de 162 trimestres aujourd’hui, elle passera à 166 trimestres en 2020, soit 41,5 ans comme le prévoit la réforme de 2003). Et, pour prétendre à une retraite sans décote quelle que soit la durée de cotisation, il faudra atteindre 67 ans à partir de 2018.

 

En Allemagne, référence la plus souvent utilisée en comparaison à la situation française, l’âge minimum est porté à 63 ans depuis 2008 avec seulement 35 ans de contribution, et la pension complète automatiquement délivrée à 67 ans (à partir de 2029 après un relèvement très progressif). Surtout, la notion d’âge minimum disparaît dès l’instant où une personne peut prétendre à 45 années de contribution, souligne le Conseil d’orientation des retraites (COR) qui s’est livré fin 2009 à une comparaison des systèmes de retraite à l’étranger et de leur réforme.

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 compteur

Campagne 2017

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