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Qui a tué nos villages ?

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 20:45

 

 

C’est évidemment à un sénateur de la seule région de France dirigée par la droite, l’Alsace, région où l’ouverture des TER à la concurrence est voulue depuis fort longtemps, que le gouvernement a confié l’animation d’une mission sur l’intérêt et les modalités de cette mise en concurrence de la SNCF.


Hier le sénateur Grignon a présenté officiellement son rapport au secrétaire d’Etat aux Transports et le résultat est bien évidemment sans surprise : le rapport suit les préconisations soufflées par avance par le gouvernement et le patronat privé du secteur des transports qui piaffe d’impatience de tondre la SNCF et de traire les collectivités locales.

Pour SUD-Rail, c’est totalement scandaleux !


L’organisation actuelle du service public des TER et sa mise en œuvre par les cheminots de la SNCF a donné des résultats positifs dans l’intérêt des usagers. Cette attaque contre le secteur public du rail et les cheminots engendrera plus de dumping social, une dégradation du service pour les usagers, mais remplira les poches des entreprises privées prêtes à tout pour s’accaparer de l’argent public !


SUD-Rail appelle à la plus forte mobilisation des cheminot-e-s, des usagers, des élu-e-s pour contrer cette nouvelle spoliation des biens et droits publics.

SUD Rail

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 09:19
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23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 10:43

 

 

Des postiers du centre de distribution du 2e arrondissement de Marseille ont repris le travail mardi, au terme de 139 jours d'une grève destinée à dénoncer le recours à l'intérim dans les services du courrier, a-t-on appris auprès de la CGT et de la direction.

 

Les facteurs s'opposaient au recours à un intérimaire pour remplacer un titulaire absent, alors qu'une personne en CDD depuis sept mois n'avait pas été reconduite.

 

Depuis le 7 octobre 2010, la grève était suivie par la totalité des 55 membres du personnel du centre de distribution, cadres compris, selon la CGT à l'initiative du mouvement.

 

A l'issue d'un long bras de fer et de discussions entamées avec la direction le 14 janvier, les grévistes ont indiqué avoir obtenu satisfaction sur leur revendication.

 

"Le centre bénéficiera en 2011 du même niveau d'emploi qu'en 2010, alors que 243 suppressions de postes sont prévues pour le courrier dans les Bouches du Rhône", a expliqué à l'AFP Richard Garro, responsable CGT à la Poste. "Ce niveau d'emploi stable va nous permettre d'avoir un volant de remplacements constitué uniquement de fonctionnaires ou de CDI, sans recours à l'intérim", a-t-il ajouté. (…) 

Source Le Parisien

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 09:28

 

Pour voir le diaporama du jour : http://www.dailymotion.com/video/xh...

Hier les grévistes du 2e recevaient les leaders du Front de Gauche Pierre Dharréville, Jean-Luc Mélenchon, Christian Picquet .


A l’issue de la 134e journée de conflit, le blocage des négociations entre les salariés du centre de distribution du 2e arrondissement et la direction reste malheureusement d’actualité. Faute d’avancées sur les questions centrales du conflit.

Pour mémoire, ce qui a mis « le feu aux poudres » et qui a suscité dès le 7 octobre un mouvement de grève suivi à 100% par les salariés, cadres compris, c’est le problème du statut des nouveaux embauchés qui reste toujours entier.


La direction persiste à avoir recours aux travailleurs intérimaires dans le centre. « Ce qui pose le double problème de la baisse de la qualité du service public et de l’intérêt même des employés précaires dont nous réclamons qu’ils puissent avoir la garantie d’emplois stables. Si quelques avancées avaient pu être enregistrées, le syndicat et les salariés, comme le comité des usagers et les associations qui nous soutiennent souhaitent que la direction, pour trouver une issue rapide au conflit, s’engage clairement pour mettre fin à la précarité. »

Pure provocation

Mettre des salariés précaires à la place de permanents, c’est un délit et c’est de la pure provocation. Alors que l’on a besoin d’embauches sérieuses, c’est le chômage qui est organisé.


Les salariés sont révoltés par un communiqué de la direction prétendant que le conflit se poursuivait sur la question du paiement des jours de grève. Tout à fait faux. Ce qui est en jeu dans ces négociations, c’est de mettre en lumière la responsabilité de la direction dans la durée de ce conflit. 134 jours que l’on leur colle sur le dos, alors que cette même direction a attendu 100 jours avant de s’asseoir autour d’une table de négociations.

900 emplois supprimés dans les services courrier des BDR entre le 1/1/2007 et le 31/12/2011

Par Richard Garro, jeudi 17 février 2011, 18:18

5545 emplois [1] au 1/1/2007 dans les services courrier des BDR contre 4657 au 31/12/2011. 888 emplois supprimés au total, dont 250 annoncés pour 2011. Avec une multiplication par 5 de l’intérim (0,8% d’intérim début 2007 contre environ 5% en 2011. Moins d’emplois et plus de précarité pour plus de souffrance au travail et moins de qualité de service, c’est l’équation destructrice de La Poste. L’avenir de celle-ci ? C’est les postiers, (fonctionnaires, CDI, CDD, intérimaires), et les populations, et leur combat commun, pour l’emploi stable, les conditions de travail, le service public, qui le préserveront. Personne d’autre.

Détournement de courrier dans le 16ème : la responsabilité de la direction et la pertinence de la lutte à Marseille 02

Un facteur intérimaire du 16ème arrondissement marseillais a été interpellé le 14/2 par les services de police. Dans son véhicule ont été retrouvées plusieurs centaines de lettres détournées au cours du 1er semestre 2010.


70 usagers auraient été lésés. Un fait divers qui met en lumière le conflit des facteurs et cadres de Marseille 02. Ceux-ci en grève depuis 133 jours réclament la relance de l’emploi stable, la titularisation en CDI des intérimaires et CDD.


Contre le développement de la précarité et pour la préservation de la qualité du service public

Et le détournement de courrier intervenu dans le 16ème, antithèse de la qualité du service, peut n’être considéré que comme la conséquence ultime du recours massif à l’intérim par la direction du courrier.


On notera également le recours massif à l’intérim pour assurer ladite « continuité de service » dans le cadre du conflit du 2ème. Etat de fait inquiétant pour les usagers qui, pour une fin de conflit et le retour de leurs facteurs, réclament une réelle négociation et la satisfaction des revendications d’intérêt général des grévistes. « Facteur c’est un métier » assurent ces derniers. Un métier à adosser à un statut pérenne et protecteur, qui intègre la déontologie professionnelle (dont le respect des correspondances et de leur confidentialité), pour un service public pérenne et protégé. On remarquera, de ce point de vue, que le statut de fonctionnaire, assermenté, offre toutes les qualités nécessaires, d’où la revendication CGT de titularisation sous statut de fonctionnaire des contractuels et la réouverture de concours.


Statut de l’emploi à La Poste et qualité du service public postal sont indissociables, c’est le message des facteurs et cadres du 2ème arrondissement marseillais. Le combat continue. (17/2/2011)

Notes

[1] En équivalent /agent/année, comprenant la force globale de travail (fonctionnaires, CDI) + la force de travail variable (CDD, heures supplémentaires, intérimaires).

 

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 12:43

 

 

Anciens professeurs, médecins ou policiers sont aussi appelés en renfort

 

Tour d’horizon des autres secteurs de la fonction publique qui, faute d’effectifs suffisants, font appel ponctuellement à des retraités volontaires

 

ÉDUCATION NATIONALE

Des retraités payés 20 € de l’heure

Depuis plusieurs années, l’Éducation nationale fait appel à des retraités, non seulement pour des surveillances d’examen mais aussi pour des remplacements. Plusieurs académies proposent ainsi aux professeurs ayant cessé leur activité depuis un ou deux ans de devenir vacataires. Ils seraient plusieurs centaines en France à avoir répondu par l’affirmative. Un chiffre qui devrait augmenter dans les prochaines années, selon le ministère.

 

Ils sont mobilisés principalement pour assurer les remplacements de courte durée – moins de quinze jours – de professeurs absents, les plus difficiles à assurer. Ils devraient à l’avenir être appelés en début d’année scolaire pour aider les établissements à s’organiser. Du point de vue du ministère, ces enseignants expérimentés présentent l’avantage d’être opérationnels immédiatement.

 

Mais pour Michèle Houel, vice-présidente du Syndicat national des collèges et lycées, la démarche est inopportune. « À la retraite, difficile de rester au courant des nouveaux programmes. Surtout si, après avoir enseigné en lycée, on vous propose de travailler en collège. Et puis, il faut être un minimum en phase avec son public, qui, lui, reste jeune », fait-elle valoir.

 

Pour beaucoup, l’appel lancé aux enseignants retraités est d’autant plus regrettable qu’il est le corollaire des suppressions de postes, 16 000 cette année. « Je ne me voyais pas prendre la place des jeunes », confie Anne-Marie Marion, 64 ans, qui en 2008, à peine retraitée, s’est vu proposer par son ex-proviseur de recommencer à donner aux élèves de BTS ses cours de communication en langue allemande.

 

Si elle a refusé, c’est aussi que, durant les dernières années de sa carrière, « les conditions d’enseignement s’étaient beaucoup dégradées ». Sans parler de la rémunération : « On me proposait une vingtaine d’euros par heure de cours. Autant faire des ménages… »

 

SÉCURITÉ

2 200 retraités réservistes dans la police

Au total, 2 200 retraités réservistes exercent aujourd’hui dans la police, de source parlementaire. L’agent Émeriau, 61 ans, fait partie de ces seniors qui ont fait le choix de prolonger leur activité après 55 ans. Il assure la sécurité des audiences en cour d’assise. « Si je continue, c’est que j’ai du mal à me détacher du métier, avoue-t-il. Avant de préciser : « Je veux aussi compléter ma retraite, qui n’est qu’à 75 % de mon ancien salaire d’actif. »(...) 

Source La Croix

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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 09:58

 

 

Alors que la question du nombre de fonctionnaires fait l'objet de débats politiques récurrents, le Centre d'analyse stratégique (CAS) a rendu public ce 8 février son "Tableau de bord de l'emploi public". L'objectif de ce document d'une centaine de pages ? Comparer la situation française à celle de ses voisins européens. Ceci afin de suivre "la progression des réformes de la fonction publique en France et à l'étranger", a indiqué Vincent Chiriqui, directeur général du CAS, lors de la présentation du rapport. Mais comment faire, alors que chaque pays a sa propre histoire et donc des systèmes administratifs, éducatifs et de santé différents de ses voisins ?

 

Les chercheurs du CAS ne se sont pas laissés effrayer par la difficulté de l'exercice. Ils ont choisi des données macro-économiques de la comptabilité publique de chaque pays, puis ont mesuré "l'emploi public" à l'aune du seul critère à peu près commun aux 19 pays développés étudiés : les emplois financés sur ressources publiques. Dans ce cadre entrent, pour la France, les agents publics (fonctionnaires et contractuels des trois fonctions publiques) ainsi que les emplois "sous-traités" (personnel des agences, des organismes de sécurité sociale). A ce premier cercle, le CAS ajoute les emplois financés par des "transferts en nature", comme les médecins libéraux. En effet, explique Vincent Chiriqui, "d'un point de vue économique ces activités peuvent être assimilées à des quasi-concessions des services publics confiées à des agents privés". (…) 

Source Localtis Infos

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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 09:49

 

 

Le gouvernement espérait, le 10 février, convaincre les syndicats de la Fonction publique du bien-fondé de son projet visant à réduire la précarité, projet dans lequel ceux-ci voient un détournement du statut des fonctionnaires.

 

Le parlement sera saisi d’un projet de loi dès le printemps 2011, a annoncé le gouvernement dans un « projet d’accord », transmis mercredi 9 février aux syndicats, avec pour but de « favoriser l’accès à l’emploi titulaire des agents contractuels » et « mieux prévenir » les « situations de précarité ».

 

Les trois fonctions publiques (État, hôpital et collectivités) emploient 870.000 non-titulaires, dont une partie en contrats à durée déterminée, sur un total de 5,2 millions de salariés.

 

Appel à l’exemplarité des employeurs publics – Ce projet d’accord était passé jeudi au peigne fin par les partenaires sociaux, au cours d’une sixième séance de négociation depuis janvier. A la mi-journée, rien n’avait encore filtré, sinon l’absence d’avancées importantes et la confirmation que le gouvernement veut se donner le temps de convaincre.(...) 

Source La Gazette des Communes

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 09:15

 

 

Nouvelle conséquence de l’application du plan d’austérité du gouvernement : après les travailleurs touchés par l’aggravation du chômage et la réforme des retraites, après les retraités visés par la diminution de leur pouvoir d’achat, après les fonctionnaires frappés par des suppressions massives de poste et une remise en cause de leur statut, après les CRS qui lancent une grève de la faim, ce sont cette fois-ci les magistrats et les policiers qui d’un commun accord décident de passer à l’action. Ils sont en effet la nouvelle cible de Nicolas Sarkozy et de la politique d’austérité de l’UMP. Jamais la magistrature n’a connu une grève aussi importante, ce qui montre bien l’ampleur des dégâts de la politique de l’UMP.

 

Un magistrat à la télévision pour expliquer les causes d’un mouvement de grève dans tous les tribunaux : telle est la dernière conséquence de la politique de casse sociale menée par l’UMP.

A peine un mois après la mise en œuvre du premier des trois budgets du plan d’austérité du gouvernement, le mouvement de protestation atteint un point sans doute inimaginable voici encore quelques mois.


L’an passé, l’actualité des luttes avait vu sur le devant de la scène des travailleurs marchant par millions contre la politique du gouvernement. Malgré le succès éclatant de ces mobilisations, le gouvernement a décidé de passer en force. Il a fait voter la réforme des retraites, et dans la foulée le premier budget de son plan de rigueur. Rappelons que l’objectif du gouvernement est de trouver 100 milliards d’euros en trois ans, et pour cela il compte en priorité réduire les dépenses publiques.


Un mois à peine après la mise en œuvre du premier budget du plan de rigueur, la protestation touche une partie de la fonction publique que d’aucuns auraient pu croire à l’abri : la police et la justice.

Ce sont d’abord les CRS qui ont usé de tous les moyens à leur disposition pour empêcher le gouvernement d’appliquer des mesures d’austérité. Certains ont même été jusqu’à faire une grève de la faim.

 

Personne n’est épargné (…) 

Source Témoignages.re

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 08:58

 

Appel unitaire

Le mouvement social de l’automne 2010, qui s’est développé autour d’exigences communes sur les salaires, l’emploi et les retraites, fort du soutien d’une large majorité de la population, restera marqué par son ampleur et sa détermination. Dans cette mobilisation interprofessionnelle, les personnels de la Fonction publique ont été massivement présents.

L’ensemble des observateurs a souligné le rôle qu’ont joué dans notre pays le haut niveau de la protection sociale, les services publics et l’importance de l’emploi public pour lutter contre la crise financière. Ces atouts sont menacés par la politique d’austérité menée par le gouvernement au risque de compromettre la sortie de crise.

La politique salariale conduite dans la Fonction publique est, à cet égard et pour les personnels, particulièrement pénalisante.

Des années de politique de moindre augmentation de la valeur du point par rapport à l’inflation ont conduit à une perte considérable du pouvoir d’achat de tous les agents de la Fonction publique de l’hospitalière, de la territoriale et de l’Etat.

Le gel projeté pour 2011, celui fortement envisagé pour 2012 et 2013, créeraient une situation sans précédent, porteuse de lourds reculs sociaux et de bradage des qualifications. Et ce, d’autant qu’ils se cumuleraient avec la forte augmentation des retenues pour pension dans l’inacceptable loi de réforme des retraites.

Il est urgent d’imposer d’autres choix, d’en finir avec l’artificielle opposition emplois / salaires.

Les organisations syndicales de la Fonction publique exigent du gouvernement :
-  des augmentations salariales, notamment par l’augmentation de la valeur du point, assurant le rattrapage des pertes accumulées depuis 2000 et la progression du pouvoir d’achat ;
-  une meilleure reconnaissance des qualifications ;
-  une amplitude réelle des carrières.

Pétition signable sur le site : http://salairesfonctionpublique.fr/

27 janvier 2011

Union syndicale Solidaires

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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 07:45

 

Selon le GSSIAP (Groupement des professionnels des Services de Sécurité Incendie et d’Assistance à Personnes), il existe en France un risque de privatisation partielle de la sécurité civile.


C'est ce qu'il dénonce dans un communiqué du 10 janvier : "Malgré l’interdiction du cumul d’activité imposée clairement par les textes, des sociétés entrainées par des lobbyistes refusent d’appliquer la loi en vigueur allant même jusqu’à faire une lettre ouverte au Ministre de l’intérieur afin de jeter le discrédit sur les prises de position du Bureau de Police Administrative (Ministère de l’intérieur) qui, à de nombreuses reprises, a rappelé aux sociétés de sécurité privées qu’elles ne peuvent pas proposer de prestation de sécurité incendie. Sauf si celles-ci se spécialisent et n’effectuent que cette prestation".


Le député PS Jean-Jacques Urvoas a du reste officiellement saisi le ministre de l'Intérieur par le biais d'une Question écrite (n° 97646) publiée au Journal Officiel le 11 janvier 2010.

Par Laurent Mucchielli / 11 01 2011 / Source

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 compteur

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