Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
1°) Macron à terre : l’élite déclenche sa machine médiatique pour détruire la France Insoumise
Article du 19 octobre 2018 «Courrier du Soir » Une analyse du journaliste Cheikh DIENG
La machine médiatique est en marche pour freiner l’essor fulgurant de la France Insoumise. Il y a quelques jours, j’avais dénoncé la perquisition arbitraire qui a visé Jean-Luc Mélenchon et la France insoumise. Je trouve étrange et totalitaire que de simples soupçons suffisent à perquisitionner l’appartement d’un homme politique représentant du peuple ou qui que se soit.
Ce qui m’a le plus inquiété dans cette opération politique destinée à fragiliser la seule et unique opposition à Emmanuel Macron est désormais la guerre médiatique qui s’est en suivie. Depuis quelques heures, les médias, au lieu de se focaliser sur la question de fond qui consiste à se poser la question de savoir si les perquisitions avaient lieu d’être ou pas, ont préféré semer la discorde au sein de la France Insoumise.
Ce vendredi, le média Ouest France s’est plutôt focaliser sur un incident qui a opposé Mélenchon à une journaliste du sud dont la question n’avait pas bien comprise par Jean-Luc Mélenchon. Ouest France, dans son article, a préféré esquiver la question de fond et a plutôt insisté sur l’indignation que le comportement de Mélenchon a suscitée chez les élus de l’Assemblée Nationale.
Comme par hasard, tous les médias mainstream (Le Figaro, Le Monde, France Info…) qui avaient ouvertement et honteusement fait campagne à Emmanuel Macron ont relaté ce vendredi les soi-disant factures de la société Médiascop, dirigée par Sophia Chikirou, qui avait géré la communication du candidat de la France insoumise à la présidentielle 2017.
Ce vendredi, peu d’entre eux ont effectué un travail de fond pour mettre les choses au clair. Dans une affaire aussi grave où il y a clairement une volonté de détruire un opposant qui a le vent en poupe, le travail d’une presse sérieuse n’est point de chercher les petites phrases, mais plutôt d’alerter l’opinion nationale et internationale sur les manquements d’une justice qui, à mon avis, n’est plus impartiale.
Je tiens à souligner que la LREM a été ouvertement accusée d’irrégularités dans ses comptes de campagne. Le candidat Macron avait en effet bénéficié d’importantes ristournes et de prix cassés. Ces ristournes, dénoncées par Le Monde et Médiapart, étaient pourtant jugées « normales et régulières » par la Commission d’enquête, la même qui avait validé les comptes de campagne de Mélenchon avant de retourner sa veste. Dans mon précédent article, j’avais fourni des chiffres à l’appui. Pourtant, il n’y a jamais eu de perquisitions au siège LREM et cela pose problème. La suite sur «Courrier du Soir »
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2°) Les perquisitions de Mélenchon et LFI seraient-elles illégales ?
25 octobre 2018 | « Polémia » Par Arnaud Dotézac, journaliste suisse
♦ Après plusieurs articles sur la question, nous publions à nouveau un texte concernant les perquisitions ayant touché Jean-Luc Mélenchon et la France Insoumise. Comme pour les autres articles, il nous semble essentiel de rappeler que de nombreux points de divergence, parfois cruciaux, existent évidemment entre les positions de la France Insoumise et les nôtres. Reste qu’il est néanmoins essentiel d’analyser ces perquisitions à l’aune d’une radicalisation inquiétante du pouvoir.
C’est ce que ce propose de faire Arnaud Dotézac dans ce texte polémique qui attaque frontalement la légalité des perquisitions.
L’art de la manipulation consiste à faire faire quelque chose à quelqu’un qui va dans le sens des intérêts du manipulateur et contre les intérêts du manipulé, de telle sorte que le manipulé soit perdant dans tous les choix qui s’offrent à lui. Les perquisitions dans les locaux du parti de Jean-Luc Mélenchon et à son domicile privé, ainsi que ceux d’une dizaine d’autres personnes qui lui sont liées, sont bien symptomatiques d’une manipulation, en ce que l’opération l’enfermait dans le dilemme suivant:
– soit il ne disait rien et il apparaissait comme un coupable désigné et résigné,
– soit (et cela pouvait être évidemment anticipé compte tenu de sa personnalité) il s’offusquait et il se marquait tout seul du fer rouge des séditieux, irrespectueux des lois et des institutions.
Autrement dit, on le mettait en position de souiller son propre “territoire” politique: celui du débat démocratique respectueux des institutions (comme on l’avait fait avec Fillon sur la moralité). Force est de constater que toute la couverture médiatique et judiciaire a fonctionné d’emblée sur ce registre : on s’offusque d’une colère gravement fautive et inadmissible de la part d’un homme qui aspire aux plus hautes fonctions ; on exige un repentir public, etc.
En toute hypothèse, les perquisitions ont bel et bien été anticipées par la Chancellerie car il s’agit d’une opération interrégionale qui n’a pu résulter que de décisions coordonnées d’en haut, entre des procureurs relevant de ressorts judiciaires distincts.
L’initiative d’une telle opération interrégionale inclut également Edouard Philippe dans la boucle, en sa qualité de ministre de l’intérieur par intérim, s’agissant des arbitrages relatifs à la mobilisation en force des fonctionnaires de police judiciaire et à leur impact budgétaire. On peut d’ailleurs se demander si Gérard Collomb n’aurait pas résisté au projet de telles perquisitions illicites, ajoutant à son désir de quitter le ministère au plus vite. En quoi ces perquisitions seraient-elles donc illicites ?
Avant d’entrer dans le code de procédure pénale de 1958, l’enquête préliminaire se nommait “enquête officieuse” car elle avait déjà pour fonction de court-circuiter les droits de la défense, en place dès 1897, c’est-à-dire depuis la loi Constans qui ouvrît le bureau du juge d’instruction à l’avocat. Si on l’a légalisée ensuite, c’était à la condition expresse que l’usage de la contrainte en soit exclu, de manière à bien la distinguer du cas de flagrance ou de l’instruction. Tel fut le cas jusqu’en 2004 (Loi Perben).
Après quoi, notamment au nom de la lutte anti-terroriste, on a glissé vers deux justices parallèles: le régime de l’instruction avec enquête contraignante mais intégrant la protection des droits de la défense et l’enquête préliminaire avec contrainte mais n’intégrant pas cette protection, à la seule condition qu’un juge des libertés et de la détention l’autorise.
L’enquête préliminaire est donc de nature para-judiciaire, en ce sens que celui qui en décide est le Parquet et non la magistrature assise et que le parquet français est, comme on le sait, subordonné au ministre de la justice. Les perquisitions visant la France Insoumise ont été diligentées par l’Office Central de Lutte contre la Corruption et les Infractions Financières et Fiscales (OCLCIFF), qui inclut, rappelons-le : des policiers, des gendarmes, des officiers fiscaux judicaires mais également des experts informatiques aux contours d’agents publics parfois plus flous. Or, ces fonctionnaires rapportent à leur hiérarchie administrative. Les informations recueillies peuvent même remonter jusqu’à l’Elysée si la Coordination du Renseignement, qui y est installée, le juge utile.
La presse ne cesse de rabâcher que ces perquisitions sont normales. Ce n’est pas tout à fait vrai. Dès lors qu’elles n’étaient pas décidées par un juge d’instruction, leur régime de droit commun (« normal » donc) aurait dû être celui de l’assentiment exprès de la personne visée. Les dispositions de l’article 76 du Code de procédure pénale, sont parfaitement claires à cet égard :
“Les perquisitions, visites domiciliaires et saisies de pièces à conviction ou de biens dont la confiscation est prévue à l’article 131-21 du code pénal ne peuvent être effectuées sans l’assentiment exprès de la personne chez laquelle l’opération a lieu“.
Or, comme on le sait, ces perquisitions eurent lieu sans l’assentiment des personnes visées, autrement dit sous un régime de contrainte. Si ce régime est certes légal, il n’est plus pour autant « normal » puisqu’il est un régime d’exception justifié, en pratique, par un risque de disparition des preuves nécessitant l’effet de surprise. La suite sur « Polemia »
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3°) Mélenchon, le « casse-couille », si fort, si fragile et tellement humain
26 octobre 2018 Par Fabrice AUBERT, Jacques SALLY
Introduction : On peut critiquer Mélenchon, on peut ne pas être d’accord avec ses idées, analyses et propositions. Idées, analyses et propositions issues non d’un homme seul, mais celles d’un mouvement de citoyens engagés « insoumis » portant une démarche politique d’émancipation, dont l’origine historique remonte à Spartacus, briseur des chaines de l’esclavage. JLM est un tribun, mais il s’appuie sur les effluves qu’il ressent du peuple lui-même. Personne n’est capable de faire ses interventions de plus de 2 h devant plus de 70.000 personnes, sans avoir une force intérieure, qui résulte à la fois de sentiments puissants tellement humain et d’un énorme travail en profondeur sur la société dans tous ses domaines Economie, Philosophie, Histoire, Culture, Sciences etc. Mais l’attaque perpétrée contre le mouvement et JLM est de nature et de portée différente. Elle sous-tend d’ailleurs un « coup d’Etat invisible ».
Mélenchon, le « casse-couille » : Casse-couille, je connais c’est ainsi que je suis surnommé par mon propre syndicat CGT, certains disant aussi que je suis à « moitié fou » [1] ce que je revendique aussi. Au fait, qu’est-ce qu’un « casse couille » à « moitié fou » ??? Si ce n’est celui qui dérange, qui va chercher des informations non montrées et qui analyse, décortique, démonte un système comme un mécanicien démonte un moteur… En fait, en politique, un « casse-couille » est un technicien qui démonte un système et qui l’ayant démonté, en voit les contradictions profondes, lui permettant par la suite de construire une stratégie politique pouvant déboucher sur une éruption volcanique (dénommée Révolution en politique).
A force de penser avec ses mains, on se brule au feu de l’Histoire : Il en est ainsi du pragmatique « qui ne croit que ce qu’il voit ».La télévision est pragmatique. Si ça passe à la télé, c’est donc que c’est vrai, car « les images parlent L’image est pourtant immatérielle et personne ne sait comment celles-ci ont été fabriquées. Le mouvement des apparences, qui donne l’impression de la vérité est aveuglant et empêche justement de penser avec la tête. L’image nous évite l’effort de la pensée.
Galilée en chaussant ses lunettes et observant le « mouvement réel » fut traité comme « casse-couille » par l’église, risquant même le bucher, condamnés aux flammes de l’enfer, comme JLM, condamné au « tribunal médiatique ».
Karl MARX a été tellement « casse-couille » qu’il fut pourchassé par toutes les polices d’Europe devenant de fait un « nomade migrant » permanent d’où son introduction fractale : « Un spectre hante l’Europe : le spectre du communisme. Toutes les puissances de la vieille Europe se sont unies en une Sainte-Alliance pour traquer ce spectre : le pape et le tsar, Metternich et Guizot, les radicaux de France et les policiers d’Allemagne. Quelle est l’opposition qui n’a pas été accusée de communisme par ses adversaires au pouvoir ? Quelle est l’opposition qui, à son tour, n’a pas renvoyé à ses adversaires de droite ou de gauche l’épithète infamante de communiste ? ».
On ne peut réfléchir politiquement sur les événements actuels, qu’en ayant ce recul historique impossible à avoir en « économie de marché » où tout est ramené à une courbe d’offres et de demandes instantanées fixant un prix réputé d’équilibre. Quand le marché construit le prix, l’Histoire dévoile au contraire la matrice profonde de l’humanité qui pense… avant de marcher. Méfions-nous des apparences, car à force de penser avec ses mains on se brule au feu de l’Histoire.
De la lutte des classes : L’affaire Mélenchon n’est qu’un énième épisode de ce que Marx appelait ’la lutte des classes’ et que les insoumis portent à nouveau. Et là, Karl MARX pourrait, tel un spectre, témoigner et revenant hanter le cerveau des bourgeois et de leurs médias, lui qui fut vilipendé, harcelé pourchassé, et expulsé pour avoir été fou d’oser être insoumis à « l’ordre bourgeois » du système naturel de la « liberté qui va de soi ». Le « libéralisme philosophique » masquant par un rideau de fumée idéologique le capitalisme réel, concret, celui qui rend les « prolétaires » esclaves du « tout marchandise ». Demandez aux « ubérisés » et aux « déliveros » de notre temps ce qu’ils ressentent… [2]
Quelle que soit l’humeur et les réactions de Mélenchon, Il n’y a donc aucune modernité dans ce qui se trame au plus haut niveau de l’Etat. De tout temps, les pouvoirs mis en cause ont cherché à détruire leurs opposants, utilisant les forces de « l’Etat impérium » (Justice, police, médias) en vue de conserver le pouvoir. Le Brésil en étant le dernier exemple (condamnant sans preuves Lula, donné pourtant gagnant des élections).
Mélenchon tellement humain : la suite sur « Le grand soir »
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L'APPEL : Le temps des procès politiques doit cesser
Les signataires :
Anciens présidents
Rafael Correa, ancien Président, Équateur
Pepe Mujica, ancien Président, Uruguay
Luiz Inácio Lula da Silva, prisonnier politique, ex- Président de la république fédérative du Brésil
Dilma Rousseff, ex-présidente de la République fédérative du Brésil
Manuel Zelaya, ex-président de la République du Honduras
Chefs de partis
Amérique latine
Gleisi Helena Hoffman, présidente du parti des travailleurs, Brésil
Javier Miranda, Président du Frente Amplio, Uruguay
Gustavo Petro, sénateur colombien, ancien maire de Bogotá et leader de Colombia Humana
Afrique
Biram Dah Abeid, député, chef de file de l’opposition, Mauritanie
Oye Beavogui, Secretaire général du Parti Démocratique de Guinée – Union pour la Révolution Démocratique Africaine, République de Guinée
Hamma Hammami, porte-parole du Front Populaire Tunisien et candidat à l’élection présidentielle, Tunisie
Ibrahim Yacouba, Président du Front patriotique, Niger
Europe
Gregor Gysi, Président du Parti de la Gauche Européenne, Allemagne
Pablo Iglesias, député et secrétaire général de Podemos, Espagne
Sergei Oudalstov, Président du Front de Gauche, Russie
Ci-dessous, ne sont indiqué que les signataires Européens. Pour voir le reste du monde c'est sur www.lawfare.fr
Élus et militants politiques
Europe
Manon Aubry et Martin Schirdewan, co-présidents du groupe GUE au Parlement européen
Judith Benda, membre du bureau exécutif de Die Linke, Allemagne
Fabio des Masi, député, Allemagne
Özlem Demirel, députée européenne, Allemagne
Gregor Gysi, président du Parti de la Gauche Européenne, Allemagne
Andrej Hunko, député et vice-président du groupe Gauche Unitaire Européenne au Conseil de l’Europe, Allemagne
Miguel Urban, député européen, Espagne
Idoia Villenueva Ruiz, députée européenne, Espagne
Juan Carlos Monedero, Podemos, Espagne
Javier Couzo, ancien député européen, Espagne
Manu Pineda, député européen, Espagne
Sira Rego, députée européenne, Espagne
Marisa Matias, députée, ancienne candidate à l’élection présidentielle, Portugal
Mauricio Acerbo, secrétaire général de Rifundazione Communista – sinistra Europa, Italie
Viola Carofalo, porte-parole de Potere al Popolo, Italie
Giorgio Cremaschi, porte-parole de Potere al Popolo, Italie
Stefano Fassina, député, Italie
Richard Burgon, Membre de la chambre des communes et secrétaire d’Etat à la justice du “shadow cabinet” de Jeremy Corbyn, Royaume-Uni
Eliane Assassi, sénatrice de Seine-Saint Denis et présidente du groupe CRCE, France
Esther Benbassa, sénatrice, France
Marie-George Buffet, députée, France
Luc Carvounas, député, France
Pierre-Yves Collombat, sénateur du Var, France
Elsa Faucillon, députée, France
Sophie Camard, députée suppléante des Bouches-du-Rhône, France
André Chassaigne, président du groupe Gauche Démocrate et Républicaine à l’Assemblée nationale, France
Pierre-Yves Collombat, Sénateur du Var, France
Sergio Coronado, ancien député, France
Julien Dray, ancien député, France
Jean Lassalle, député des Pyrénées-Atlantiques, France
Georges Lefeuvre, anthropologue, ancien conseiller politique de l’Union Européenne au Pakistan
Marie-Noëlle Lienneman, sénatrice, France
Dan Moutot, militant internationaliste, France
Le groupe des députés de la France insoumise à l’Assemblée nationale et la délégation insoumise au Parlement européen
Sébastien Nadot, député, France
Noël Mamère, ancien député, ancien candidat à l’élection présidentielle, France
Angèle Préville, sénatrice PS du Lot, France
Daniel Zaidani, ancien Président du conseil départemental de Mayotte, France
Syndicalistes
Europe
Jesus Fernandez, syndicaliste CCOO, Espagne
Michael Woegerer, syndicaliste OGB, Autriche
Manuel Fernandez Corrales, syndicaliste, Belgique
Claire De Pryck, syndicaliste, Belgique
Michel Duby, syndicaliste, Belgique
Aurore Joly, syndicaliste, Belgique Isabelle Laloy, syndicaliste, Belgique
Sandrine Pierlot, syndicaliste, Belgique
Jeanne Maillart, syndicaliste, Belgique Evelyne Zabus, syndicaliste, Belgique
Jérôme Flament, syndicaliste CGT, France
Patrick Hebert, syndicaliste, France
Stéphane Jouteux, syndicaliste, France
Isabelle Laloy, syndicaliste, France
Yann Le Baron, membre du bureau national UNSA santé et sociaux, France
Marina Mesure, conseillère politique du syndicat de la construction, France
Jérôme Schmidt, secrétaire national SUD énergie, France
Mercedes Landolfi, CGIL, Italie
Marco Benati, CGIL, Italie Ermira Behri, CGIL, Italie
Monde de la culture
Europe
Malte Martin, designer, Allemagne
Paul Ardenne, écrivain et historien de l’art, France
Christian Benedetti, directeur du studio-théâtre à Alfortville, France
Magyd Cherfi, chanteur, écrivain, fondateur du groupe Zebda, France
Vikash Dhorasoo, ancien joueur de l’équipe de France de football, France
Thomas Dietrich, écrivain, activiste spécialiste de l’Afrique subsaharienne, France
Liliane Giraudon, écrivaine, France
Philippe Fouliquié, ancien directeur de la Friche Belle de mai, France
Joel Hubaut, artiste plasticien, France
Léa Le Bricomte, artiste plasticienne, France
Claude Lévêque, artiste plasticien, France
Thibault Lhonneur, producteur de « J’veux du soleil », France
Stanislas Nordey, Directeur du théâtre national de Strasbourg, France
Serge Prey, Poète, prix Guillaume Apollinaire de la poésie française, France
Gilles Peret, réalisateur, France
Gilles Perez, documentariste, France
Alban Ravassard, scénariste et réalisateur, France
Stéphane Schoukroun, metteur en scène, France
Maxime Vivas, écrivain, France
Martine Vaudeville, Comédienne, France
Edward Bond, Dramaturge, Royaume-Uni
Pipo Delbono, Metteur en scène et comédien, Italie
Alexandra Kremer, photographe, Russie
Oskaras Korsunovas, Metteur en scène, Lituanie
Erica Deuber Ziegler, historienne d’art, ancienne députée au Grand Conseil de Genève, Suisse
Intellectuels / journalistes
Europe
Emmanuel Charlot, journaliste, France
Vincent Edin, journaliste et essayiste, France
Sophie Ernst, agrégée de philosophie, France
Florence Gauthier, historienne, France
Jérôme Legarve, Informations ouvrières, France
Gus Massiah, économiste et membre du conseil international du Forum Social Mondial, France
Thomas Porcher, économiste, France
Jean-Marc Salmon, chercheur en sciences sociales, France
Daniel Shapira, Informations ouvrières, France
Carlos Schmerkin, Editeur, ancien prisonnier politique en Argentine, France
Jean-Marc Schiappa, historien, France
François Tronche, directeur de recherche, France
Dominique Bourg, philosophe et professeur à l’université de Lausanne, Suisse
Ronan Burtenshaw, rédacteur en chef du Tribune Magazine, Royaume-Uni
Maxim Shevchenko, journaliste et ancien membre démissionnaire du conseil présidentiel russe pour les droits humains, Russie
Alexey Sakhine, journaliste, Russie
Gus Massiah, économiste et membre du conseil international du Forum Social Mondial, France
Jérôme Legarve, Informations ouvrières, France
Bernard Pignerol, Haut fonctionnaire, France
Daniel Shapira, Informations ouvrières, France
Avocats et juristes
Europe
Arie Alimi, avocat, France Victor Audubert, docteur en droit public, France
Victor Audubert, docteur en droit public, France
Benoit Charruaud, avocat, France
Paul Jablonski, Avocat, France
Thomas Laslandes, avocat, France
Nicole Lorant, ancienne magistrate, France
Edwin Matutano, avocat, France
Caroline Mecary, avocate et ancienne membre du conseil de l’ordre, France
Dominique Tricaud, avocat et ancien membre du conseil de l’ordre du barreau, France
Pierre Bayenet, avocat et député du grand conseil du canton de Genève, Suisse
ONG
Europe
Gilbert Abergel, psychanaliste, ancien président du Grand Orient de France, France
Philippe Besson, représentant de l’Association Internationale de la Libre Pensée à l’ONU, France
William Bukhardt, Président de DxE France, France
Bernard Cassen, professeur émérite, président d’honneur d’ATTAC France, France
Marion Esnault, porte-parole de l’association ANV COP21, France
Michel Godicheau, représentant de l’AILP au Bureau International du Travail, France
David Gozlan , représentant de l’AILP au Bureau International du Travail, France
Pierre Khalfa, co-président de la Fondation Copernic et membre du conseil scientifique d’ATTAC
Christiane Laubary-Besson, représentante de l’AILP à l’ONU , France
Jean-Sébastien Pierre, Président de l’association de la Libre Pensée, France
Ignacio Ramonet, Ecrivain, journaliste et président d’honneur d’ATTAC, Espagne
Jean Ziegler, Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, ancien Conseiller, Suisse
L'appel peut être signé sur www.lawfare.fr