Après la catastrophe de Fukushima, l'énergie nucléaire est remise en cause dans plusieurs pays. En France, la réflexion sur le projet de deuxième EPR de Penly a été «stoppée» affirme le PDG de Total. EDF et Éric Besson démentent.
À l'heure où plusieurs grands pays, comme l'Allemagne, l'Italie et la Suisse ont décidé de se désengager de l'énergie nucléaire, le projet de deuxième EPR, à Penly (Seine-maritime) - le premier EPR est celui de Flamanville (Manche), en construction - paraît plus enlisé que jamais.
Dans une interview accordée au magazine Challenges, le PDG de Total, Christophe de Margerie affirme que la réflexion sur le projet de deuxième EPR de Penly a été «apparemment stoppée». Alors que le chantier devait démarrer en 2014, le dirigeant a confié au magazine : «Il y avait un calendrier, des dates potentielles, il n'y en a plus ». Le groupe pétrolier suit l'évolution du projet de près dont il dispose d'une participation de 8,33%. Lire la suite sur le site du Figaro