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  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
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Qui a tué nos villages ?

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17 février 2020 1 17 /02 /février /2020 10:22

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12 octobre 2018 5 12 /10 /octobre /2018 09:29

Et voici les 70 députés qui ont voté pour empêcher tout débat sur le statut des accompagnantes d’enfants handicapés :

Damien Adam, Aude Amadou, Didier Baichère, Aurore Bergé, Pascal Bois, Céline Calvez, Émilie Cariou, Lionel Causse, Jean-René Cazeneuve, Sylvie Charrière, Fannette Charvier, Fabienne Colboc, François Cormier-Bouligeon, Dominique David, Marc Delatte, Nicolas Démoulin, Jacqueline Dubois, Laurence Gayte, Perrine Goulet, Véronique Hammerer, Pierre Henriet, Sacha Houlié, Yannick Kerlogot, Rodrigue Kokouendo, Aina Kuric, Frédérique Lardet, Célia de Lavergne, Fiona Lazaar, Gaël Le Bohec, Fabrice Le Vigoureux, Jean-Claude Leclabart, Roland Lescure, Monique Limon, Richard Lioger, Didier Martin, Thomas Mesnier, Amélie de Montchalin, Sandrine Mörch, Zivka Park, Patrice Perrot, Béatrice Piron, Pierre-Alain Raphan, Cécile Rilhac, Véronique Riotton, Stéphanie Rist, Mireille Robert, Laurianne Rossi, Laurent Saint-Martin, Jean-Bernard Sempastous, Bertrand Sorre, Bruno Studer, Marie Tamarelle-Verhaeghe, Adrien Taquet, Stéphane Testé, Huguette Tiegna, Laurence Vanceunebrock-Mialon, Annie Vidal, Patrick Vignal, Brigitte Kuster, Philippe Berta, Marguerite Deprez-Audebert, Marc Fesneau, Isabelle Florennes, Jean-Luc Lagleize, Fabien Lainé, Philippe Latombe, Jean-Paul Mattéi, Philippe Michel-Kleisbauer, Bruno Millienne, Michèle de Vaucouleurs.

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25 avril 2018 3 25 /04 /avril /2018 16:19

Quelques réponses aux questions que se posent lycéens, étudiants et parents

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18 février 2018 7 18 /02 /février /2018 09:10
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15 décembre 2017 5 15 /12 /décembre /2017 13:38

Vu le vide sur les bancs de l'Assemblée, il semblerait que peu de députés soient intéressés par l'avenir de nos enfants...

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6 février 2017 1 06 /02 /février /2017 14:47
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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 19:00
Austérité : les dépenses d’éducation par élève atteignent leur niveau le plus bas depuis quinze ans

Sur fond de réforme des collèges, quels sont les moyens alloués par élève pour assurer leur scolarité ? Selon le ministère de l’Éducation nationale, les dépenses par élèves ont augmenté de 500 euros en dix ans. Mais si l’on se penche en détail sur les chiffres fournis, le discours officiel peut être mis en doute. Une étude réalisée par le syndicat Force ouvrière montre au contraire que ces dépenses, en grande majorité assurées par l’Etat et les collectivité locales, diminuent. Pour le collège, la France consacrerait même moins d’argent par élève qu’il y a 15 ans. Priorité à la jeunesse ?

Le temps n’est plus aux restrictions budgétaires : la dépense par collégien aurait augmenté de près de 500 euros entre 2006 et 2013. C’est ce qu’affirme le ministère de l’Éducation nationale, alors que les syndicats ont manifesté ce 19 mai contre la réforme du collège proposée par la ministre Najat Vallaud-Belkacem, qui a pourtant inscrit le texte au Journal officiel dès le lendemain. Des dépenses en augmentation ? Les chiffres du ministère eux-mêmes montrent pourtant le contraire.

La dépense moyenne par élève a chuté de 7% entre les années scolaires 2010-2011, alors que Luc Chatel (UMP) était ministre de l’Éducation nationale, et 2013-2014, sous son successeur Vincent Peillon (PS). C’est ce que révèle une analyse détaillée réalisée par le syndicat Force ouvrière, à partir des documents de synthèse publiés chaque année par la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) du ministère. Ces dépenses moyennes par élève prennent en compte toutes les dépenses d’éducation : celles de l’État pour payer les enseignants, l’administration, la documentation pédagogique ou la médecine scolaire par exemple, celles des collectivités locales pour assurer l’entretien des établissement l’activité des cantines ou des transports scolaires, celles engagées par les ménages pour l’achat de fournitures liées à l’école [1]. État et collectivités assurent 84% des dépenses et les ménages 7,5%.

Loin des tendances à la hausse annoncées par le ministère, pour tout le second degré (collège et lycées), le niveau de dépense moyen par élève est aujourd’hui au plus bas depuis 2006. La baisse des dépenses par élève serait de 6% pour le collège et de 10% pour les lycées d’enseignement général et technologique, sur ces quatre dernières années. La suite sur BastaMag

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 17:04

Une compagnie pétrolière promouvant les gaz de schiste et pratiquant l’évasion fiscale est autorisée par les autorités éducatives à venir faire cours dans les écoles : une pratique courante, comme le révèle Reporterre.



Le lobbying ne se déroule pas que dans les couloirs des ministères, de l’Assemblée nationale, de la Commission de Bruxelles, voire au sein de l’Elysée. C’est aussi dans les écoles que les grandes entreprises parviennent à s’insinuer, proposant aux enseignants des "outils pédagogiques" pour les aider à remplir le programme éducatif. Mais elles reçoivent l’appui des autorités du ministère de l’Education, comme le prouve le document que nous publions et que nous a envoyé une lectrice scandalisée - elle-même enseignante - à l’adresse planete (at) reporterre.net.



Il s’agit d’une lettre envoyée à en-tête de la République française par le Directeur académique de l’Académie de Bordeaux aux chefs d’établissement du second degré et écoles primaires de son ressort. Il les invite à réserver un bon accueil à l’entreprise Total, dont les "collaborateurs" pourront intervenir dans les classes pour des cours d’1h30.



6 photo 1 total bordeaux v 2-836b3



"Tout comme les années précédentes" écrit-il, "dans le cadre du programme ’Planète Energies’ mis en place par le groupe Total en 2005, des collaborateurs de l’entreprise pourront intervenir dans les classes de CM1 à la Seconde, à la demande des enseignants, afin d’aborder la problématique énergétique."



Le directeur joint une présentation du programme Planète Energies, qui "propose des clés de compréhension sur toutes les énergies et leurs défis. Cette démarche pédagogique consiste à intervenir gratuitement dans des classes du CM1 à la 2e pour une durée d’1h30 environ afin de traiter de sujets en cohérence avec les programmes scolaires en vigueur :
- les énergies, renouvelables et fossiles
- la nécessité de limiter la consommation des énergies fossiles
- le développement des énergies renouvelables
- la découverte de l’entreprise TOTAL et de ses métiers pour les classes de 3e et de 2nde.



Nous fournissons aux professeurs et aux élèves de la documentation gratuite et adaptée au niveau de chaque classe. Nos animateurs (collaborateurs TOTAL) participent sur la base du volontariat et disposent du matériel informatique nécessaire."



6 Photo 2 total-kit pedagogique v 2-4b203



Il va de soi que l’information délivrée par une entreprise qui pratique l’évasion fiscale pour ne pas payer d’impôts en France, qui promeut le gaz de schiste et qui exploite les sables bitumineux en Alberta (Canada) a une vision neutre et désintéressée des questions d’énergie.



L’agro-industrie se pose en professeur d’agriculture

Total n’est pas seul à venir faire de la propagande (pardon, de l’enseignement "gratuit") dans les écoles de la République.

La chaîne de distribution E. Leclerc s’insinue elle aussi dans les écoles pour y faire de la publicité sous couvert de mener "des actions environnementales".

Les grandes cultures agro-industrielles viennent de leur côté meubler l’esprit des chères têtes blondes sous le sigle de "L’école des céréales", dont le site internet propose un "partenariat pédagogique" aux enseignants : La suite sur Reporterre

 

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 06:54

 

 

Sur 14 pays riches comparables, la France est au dernier rang en matière de dépense par élève au primaire, au 11e rang pour l’enseignement supérieur et au 7e pour le secondaire. Un choix de société. Par Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.



Sur 14 pays de l’OCDE comparables, la France est au dernier rang en matière de dépense [1] par élève au primaire, au 11e rang pour l’enseignement supérieur et au 7e pour le secondaire (collèges et lycées), comme l’indique le rapport « Regards sur l’éducation 2013 », de l’organisation internationale. Pour comparer le niveau d’investissement scolaire de la France au reste des pays riches, la moyenne de l’ensemble de l’OCDE n’a pas de sens : on met ensemble la France, le Chili, la Turquie ou le Mexique. Nous n’avons donc gardé que les pays les plus peuplés et les plus riches de cet ensemble [2].


Si l’on observe la dépense d’éducation rapportée à la richesse nationale, la France arrive en 9e position sur 14, avec 6,3 % du Pib. C’est beaucoup moins qu’au Danemark (8 %) ou en Norvège (7,6 %), mais l’indicateur est peu significatif. Pour mesurer l’investissement du pays dans le domaine de l’éducation, il faut tenir compte du nombre d’élèves à chaque niveau. On peut tirer trois leçons des chiffres de l’OCDE (voir les tableaux dans l'article).


D’abord, le constat est désormais largement admis : l’enseignement primaire est très nettement sous doté en France. Notre pays consacre par an deux fois moins à un élève de primaire (6 600 dollars) que la Norvège (12 200). La France est bonne dernière de la liste, notamment parce que les enseignants à ce niveau sont les plus mal payés des pays riches. Dans certains pays, les enseignants disposent de davantage de personnels de soutien, comme c’est d’ailleurs le cas en maternelle en France. La prime de 400 euros qui sera versée par le gouvernement ne changera en rien la situation.


Ensuite, la France arrive en 11e position sur 14 pour les dépenses par élève dans l’enseignement supérieur. Elle ne devance que l’Italie, l’Autriche et l’Espagne. Un étudiant suédois coûte 30 % de plus qu’un étudiant français. Mais les écarts sont énormes en France entre les filières sélectives (IUT, BTS et grandes écoles principalement) et les autres où les étudiants sont entassés en nombre dans des amphithéâtres, ce qui fait baisser la moyenne. La suite sur Observatoire des inégalités

 

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20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 20:08

 

Les rectorats de plusieurs académies annoncent des suppressions de postes chez les assistants d’éducation (AED). Près de 2000 postes de surveillants devraient disparaître en septembre 2013. "Inacceptable", pour le SNES-FSU.

 

Un pas en avant, un pas en arrière. Le gouvernement avait créé 2000 postes d’AED, à la rentrée 2012. Pourtant, l’enveloppe budgétaire accordée aux établissements n'a pas augmenté en conséquence. Résultat : ce serait ainsi près de 2 000 postes que les recteurs de certaines académies envisageraient de supprimer sur l’ensemble du territoire. Un nouveau recul du gouvernement pour le syndicat national des enseignements du second degré (SNES-FSU).

 

« Ces suppressions, si elles se confirmaient, aggraveraient la situation actuelle, explique Aude Lemoussu, responsable nationale du secteur AED au SNES-FSU. Le précédent gouvernement a déjà supprimé beaucoup de postes d’AED. Aujourd’hui les vies scolaires fonctionnent en flux tendu. Cette annonce touche l’ensemble de la communauté éducative, les enfants ne seront plus en sécurité dans leur établissement, il n’y aura bientôt plus personne pour intervenir en cas de bagarres ou de blessures ».

 

Et même deux pas en arrière

 

Lors de la rentrée 2013, les établissements du second degré devraient accueillir 35 000 nouveaux élèves. « C’est inacceptable, cela va dégrader le taux d’encadrement des élèves, François Hollande s’était engagé à créer des emplois d’AED, pas en détruire, ces annonces sont en totale contradiction avec les engagements, pris et renouvelés, par le président de la République et le ministre de l’Education Nationale, Vincent Peillon. C’est une politique incompréhensible » a déclaré Daniel Robin, co-secrétaire général du SNES-FSU. La suite sur l'Humanité

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Caravane Insoumis du Haut Vaucluse 2