Contrairement à Nicolas Sarkozy, la responsable du Parti socialiste français, Ségolène Royal, a mieux retenu la leçon «Tunisie».
Interrogée par la presse de son pays sur la situation en Algérie, Mme Royal a reconnu qu’il existe dans ce pays des «problèmes de libertés publiques, de libertés d’expression, de libertés de constitutions d’autres forces politiques et un problème d’échéances électorales». Elle enchaîne en s’interrogeant : «Pourquoi le peuple algérien souffre de pauvreté, de précarité alors qu’il y a tant de richesses ?» Ceci et de considérer que «c’est une véritable mutation économique et politique que le gouvernement algérien doit enclencher».
Source El Watan / 25 janvier 2011/ La suite