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Qui a tué nos villages ?

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 07:42

 

Le président de la République avait annoncé « trente-cinq policiers supplémentaires » sur le terrain à Nouméa et « trente-cinq réservistes dévolus aux tâches administratives, pour permettre aux policiers d’aller sur le terrain ». Ce ne sera pas tout à fait le cas.


Entre les annonces et la réalité, il y a toujours une (petite) différence. Devant Jean Lèques, qui l’avait questionné sur les problèmes de délinquance et de sécurité, Nicolas Sarkozy avait annoncé trente-cinq policiers et trente-cinq réservistes supplémentaires à Nouméa ainsi que la création d’un Groupe d’intervention régional (GIR).

Lundi après-midi, Gaël Yanno a été reçu par le ministre de l’Intérieur Claude Guéant pour avoir le détail de ces annonces. Lui et Pierre Frogier avaient interpellé le président de la République sur la hausse des chiffres de la délinquance. Les annonces découlaient directement du courrier que les deux députés lui avaient adressé.

De cet entretien, il ressort en fait qu’il n’y aura pas trente-cinq nouveaux policiers supplémentaires pour compléter les effectifs. Il s’agit, en fait, surtout de redéploiements. « Dix-neuf des trente-cinq policiers sont déjà en Nouvelle-Calédonie, en poste à la police de l’air et des frontières et à l’école de formation de la police nationale », explique le député. Ils accomplissent actuellement des tâches administratives ou sont formateurs. Ils seront affectés dans les rues de Nouméa, à la sécurité publique. Ces redéploiements nécessiteront donc une réorganisation des deux services dégarnis.

 

Adjoints. Les 16 autres seront de véritables créations de postes, à une petite nuance près : il s’agira d’adjoints à la sécurité, dont la fonction est d’« assister les policiers dans leurs missions de prévention », indique le site du ministère de l’Intérieur. Les épaulettes bleu ciel de leur uniforme permettent de les reconnaître facilement.

Le président de la République avait également annoncé « 35 réservistes pour dégager les policiers des tâches administratives et leur permettre d’aller sur le terrain ».

Qui sont-ils ? La réserve civile a été créée en 2003 pour compenser la baisse des effectifs dans la police nationale. Elle s’adresse aux retraités de la police nationale, âgés de moins de 65 ans. Mais, à partir de cet automne, suite à l’adoption de la loi Hortefeux, la réserve sera étendue à tous les citoyens. Les réservistes seront armés et pourront être appelés à prêter main-forte aux forces de l’ordre, après avoir été formés sur le tas. Chaque volontaire pourra être mobilisable jusqu’à 90 jours par an. Lire la suite sur Les nouvelles Calédoniennes 

 

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 15:54

 

« Conformément aux exigences du Ministère de l’Intérieur,le nombre de reconduites d’étrangers en situation irrégulière devient l’objectif prioritaire de la DDSP pour le reste de l’année 2011. Pour rappel, l'objectif (...) est fixé à 35 pour le département de Loir-et-Cher (zone police et zone gendarmerie). Nous sommes actuellement à 6 reconduites effectives, ce qui est insuffisant». Ainsi s'exprime un directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) dans une Note de service datée du 25 juillet dernier, mise en ligne sur le site du Réseau Éducation Sans Frontières (RESF). Et son cas n'est pas isolé même si, ailleurs, des consignes ont pu être données oralement, comme nous l'indiquent les représentants du syndicat Unité SGP Police ainsi que cet officier supérieur de gendarmerie qui souhaite naturellement rester anonyme.

La « politique du chiffre » est bien connue non seulement des policiers et des gendarmes qui la critiquent régulièrement, mais aussi du grand public. Au fil des ans, la presse (Le canard enchaîné, Libération, Le Monde...) a révélé à plusieurs reprises la façon dont les forces de l’ordre reçoivent localement des objectifs chiffrés très précis qui ne concernent pas seulement la « baisse de la délinquance » et la « hausse du taux d’élucidation » qu’il faut impérativement afficher en fin d’exercice. Derrière ces obligations générales médiatisées, arrivent aussi des consignes plus ou moins discrètes concernant tel ou tel type de délinquance.

Le dilemme du policier

C’est la « délinquance de voie publique » qui concerne le plus les citoyens dans leur vie quotidienne, mais qui est aussi difficile à combattre pour les policiers et les gendarmes, s’agissant généralement d’une petite délinquance anonyme. Pour améliorer l’élucidation sans faire trop augmenter le nombre de faits enregistrés (c’est le dilemme), il vaut mieux s’occuper d’infractions que l’on est certain de résoudre à 100 %. La « meilleure » façon de faire est d’interpeller ce que l’on appelle des « shiteux » en jargon policier. Traduisez : « personnes mises en cause pour usage de stupéfiant ». Entre 2002 et 2010, ces infractions ont augmenté de 75 % (dans l'activité policière, non dans la réalité), soit la plus forte augmentation de toute la période. De même, avec les « infractions à la police des étrangers », les faits sont élucidés en même temps qu’ils sont constatés. Entre 2002 et 2010, ces infractions ont augmenté elles de 50 %.

Mais l’arrestation de clandestins a aussi une autre fonction aux yeux du gouvernement : elle permet de remplir les objectifs d’expulsion d’étrangers. Et, à l’approche de l’élection présidentielle, il semble que le gouvernement ait décidé d’afficher plus que jamais de « bons chiffres » en la matière. Après que la loi du 16 juin 2011 (dite loi Besson) ait modifié profondément le droit des étrangers en restreignant les garanties procédurales des migrants (voir l'analyse de la Cimade), l’heure est maintenant à la mise à exécution. C’est en tous cas ce à quoi s’emploie fortement depuis cet été le ministère de l’Intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales... et de l’immigration. Par Laurent Mucchielli Lire la suite sur son blog du Monde 



 

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 07:36

 

 

Dans une indifférence quasi-générale, que "les vacances" ne suffisent pas à expliquer, l'Etat vient d'être condamné à trois reprises en quelques semaines par la justice administrative en raison des conditions d'existence qui ont cours dans ses prisons. Des personnes détenues dans les maisons d'arrêt de Nanterre, Bois-d'Arcy, Rouen et Marseille ont ainsi obtenu réparation d'atteintes à leur dignité (cellules trop exiguës, toilettes non cloisonnées, absence de ventilation, mauvaise hygiène des locaux, impossibilité de circuler pour les détenus handicapés…).

 

Le constat n'est certes pas nouveau : du Sénat à la Cour européenne des droits de l'homme, en passant par le contrôleur général des lieux de privation de liberté, la Commission nationale consultative des droits de l'homme ou le Comité européen pour la prévention de la torture, on ne compte plus les alertes officielles. En 2000 (déjà !), une commission d'enquête parlementaire avait ainsi observé que "les conditions de détention dans les maisons d'arrêt étaient souvent indignes d'un pays qui se targue de donner des leçons à l'extérieur dans le domaine des droits de l'homme". Le titre de son rapport était plutôt éloquent : "Prisons : une humiliation pour la République". Le genre d'humiliation auquel on s'habitue, apparemment…

 

Il n'y a pourtant aucune raison de penser que la situation va s'améliorer, bien au contraire. Le 1er juillet, la France comptait 73 320 personnes sous écrou (un "record") dont 64 726 détenus, contre 49 718 et 49 342 dix ans plus tôt (soit + 47,5 % et + 31,2 % !) et 68 659 et 62 113 l'année dernière (+ 6,8 % et + 4,2 %). En un an, le nombre de détenus "en surnombre" a augmenté de 14 % pour atteindre 11 185 (ce qui représente 20 % de l'ensemble des détenus, 32 % dans les maisons d'arrêt). Le 1er juin, il n'y a jamais eu autant de détenus dans les prisons françaises (64 971). 37 établissements pénitentiaires ont un taux d'occupation supérieur ou égal à 150 %, dont 5 au-delà de 200 %.

 

On compte ainsi 367 détenus pour 180 places à Béthune (203,9 %), 882 pour 588 à Villepinte (150 %), 239 pour 94 à Nouméa (254,3 %), 89 pour 40 à La Roche-sur-Yon (222,5 %), 604 pour 371 à Gradignan (162,8 %), 163 pour 90 à Auxerre (181,1 %) (chiffres au 1er juillet 2011, selon la direction de l'administration pénitentiaire)… par Matthieu Bonduelle, secrétaire général du Syndicat de la magistrature Lire la suite sur le Monde  Via Laurent Mucchielli 

 

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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 07:34

 

 

"Travailler plus pour gagner plus." Cette bravade politicienne devenue célèbre, les policiers du Clapas peuvent désormais la faire leur. Comment ? Tout simplement parce que l’Hérault, comme 43 autres départements, a été récemment choisi par le ministère de l’Intérieur pour servir de zone test. But de la manœuvre : l’optimisation opérationnelle.

En langage moins abscons et pour faire bref, chaque policier va pouvoir effectuer des heures supplémentaires ou revenir travailler un jour de repos. Mais cela, tout en respectant "les temps de repos physiologiques" entre deux services, indique une note écrite de la main du directeur central de la sécurité publique, le 11 juillet dernier.

À première vue et pour qui connaît le salaire de certains fonctionnaires de police, cette proposition semble aguichante. Et ce, même si le taux horaire a été limité à 12,32 € bruts. Bref rien d’ostentatoire. Ainsi, pour l’année en cours, on apprend que la direction départementale de la sécurité publique de l’Hérault a reçu une enveloppe de quelque 172 000 € pour le paiement de ces heures supp’. Lire la suite sur MidiLibre 





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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 07:15

 

Les Norvégiens se posent la question, après le massacre sur l’île Utøya. Cette interrogation, certains avaient osé la formuler en France, il y a quelques dizaines d’années. J’étais de ceux-là. Enfin, il ne s’agissait pas de désarmer les policiers, mais d’adapter leur armement en fonction de leurs missions. L’évolution de la société nous a donné tort. L’armement des policiers n’a jamais été si conséquent. La course en avant a même pris un tel élan, que, lorsqu'une une arme non létale est mise au point, comme le lanceur de balles de défense (le Flash-Ball), on cherche immédiatement à la rendre plus puissante, donc plus dangereuse. Et pourtant, les policiers sont des « gardiens de la paix ». Ils ne sont pas là pour combattre qui que ce soit, mais pour assurer l’ordre. La paix civile. C’est tellement vrai que s’il y avait une menace d’insurrection, les pouvoirs de police seraient transférés à l’autorité militaire. Une règle qui, au passage, aurait dû être prise en compte avant de rattacher les gendarmes au ministère de l’Intérieur.


Trond Berntsen, le policier norvégien qui assurait la surveillance du camp d’Utøya, aurait-il pu neutraliser Anders Behring Breivik, s’il avait été armé ? Rien n’est moins sûr. On imagine un garde-champêtre face à un dément en croisade ! Mais dans ce cas précis, la véritable question était ailleurs. Ce n’était même pas le temps de l’intervention. La police est tombée dans le piège tendu par ABB. Et, tandis qu’elle se démenait pour faire face à un attentat à l’explosif, il appliquait froidement le deuxième volet de son plan. Non, ce qui nous paraît incompréhensible, c’est qu’un meeting politique regroupant 600 jeunes à quelques dizaines de kilomètres de la capitale ait pu être organisé sans qu’il y ait le moindre service d’ordre ! Pour nous, Français, c’est inimaginable. En région parisienne, dès que trois pékins se réunissent, ce sont des dizaines de cars de CRS et de gendarmes mobiles qui sont embusqués à proximité, prêts à foncer, si nécessaire.

Une autre culture - mais quand même… Lire la suite sur Moréas/ Blog Le Monde 



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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 07:01

 

Dans une lettre d’adieu, la jeune policière qui s’est suicidée lundi à Villeneuve-Loubet mettait en cause ses conditions de travail et sa hiérarchie. Ses collègues demandent l’ouverture d’une enquête.

Marre de cette vie de con”... C’est en ces termes que Nelly Bardaine débutait sa lettre d’adieu, découverte peu après son suicide survenu lundi matin. Décrite comme un “excellent élément” par nombre de ses collègues, la jeune femme de 35 ans a mis fin à ses jours avec son arme de service, alors qu’elle se trouvait dans son véhicule.


"Il semble qu'il y ait eu des manquements grave qui ait conduit à ce geste désespéré. Nous espérons que des sanctions soient prises" Laurent Martin de Frémont, du syndicat Unité Police SGP-FO


Dans son courrier, la fonctionnaire – qui était rattachée à la cellule anticambriolage du commissariat de la ville – expli­que être excédée par les réformes en cours et la politi­que du chiffre qui “compli­quent la tâche de la police”. Lire la suite sur Métro


 

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 08:22

 

 

La banque Goldman Sachs a reçu récemment du procureur de New York une citation à comparaître pour son rôle louche durant la crise des subprimes. Une enquête pénale se profilerait-elle, enfin ? Depuis le début de cette crise, la finance américaine ressemble en effet à une gigantesque "scène de crimes". Cependant, les fraudes massives ayant déclenché la plus grande crise financière depuis un siècle attendent encore leurs procureurs, leurs policiers et leurs juges. L'explication d'un phénomène macroéconomique par le crime peut sembler dérisoire, anecdotique, voire naïve. L'opinion publiée - celle des élites ayant accès aux médias - s'empresse comme toujours de diaboliser une perspective aussi dérangeante, en agitant de commodes épouvantails : théorie du complot, boucs émissaires, effet de diversion, populisme.

Tous veulent imposer un aimable récit des causes de la crise au moyen d'explications fatalistes (la théorie des cycles), magiques (une catastrophe) ou lénifiantes (dysfonctionnements des marchés). Pourtant, peu de crises financières dans l'histoire ont comporté une dimension criminelle aussi évidente, une telle masse critique de fraudes.

Ces spécialistes de la négation sont souvent ceux qui, durant les décennies d'euphorie (1980-2000), ont été aveugles à l'anomie grandissante des marchés financiers. Hier incapables d'anticiper la crise, ils s'empressent aujourd'hui d'en dissimuler les tréfonds les plus choquants, ce qui signe des deux côtés de l'Atlantique la faillite quasi généralisée de l'expertise universitaire et médiatique.

Lire la suite sur le blog de Laurent Mucchielli



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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 13:31

 

La police teste les patrouilles en binôme

 

Sécurité Le dispositif est expérimenté à Strasbourg avant une possible généralisation nationale

 

A deux, c'est mieux ? Avec celles de Nice, Mantes-la-Jolie et Poitiers, la police strasbourgeoise expérimente, depuis lundi, les « patrouilleurs ». Au lieu de se composer de trois fonctionnaires comme habituellement, 21 patrouilles se font « désormais à deux », précise le préfet Pierre-Etienne Bisch. Rien de plus, ni de moins qu'auparavant. Testé deux mois, le dispositif pourrait ensuite être généralisé à l'ensemble du pays par le ministre de l'Intérieur Claude Guéant.

 

Pas d'effectifs en plus

Au niveau strasbourgeois, le « concept », qui n'a pas donné lieu à une hausse des effectifs, concerne 220 policiers circulant à pied, à VTT ou en voiture. Il permet de passer le nombre des patrouilles de 45 à 52 dans l'agglomération. « Les patrouilleurs s'inscrivent dans une logique d'organiser le plus de rondes possibles au bon moment et au bon endroit, c'est-à-dire là où le plus de délits sont commis », explique Luc-Didier Mazoyer, le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP).

Lire la suite sur Minutes (…) 

 

Lire aussi

Des policiers réservistes rappelés sur les plages

Mais encore

MARSEILLE - Des policiers roumains pour les délinquants roumains

 

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5 mai 2011 4 05 /05 /mai /2011 07:27

 

Malgré une certaine bonne volonté des avocats et des policiers, l'incertitude règne encore sur la marche à suivre. 

«On se regarde en chien de faïence, mais personne n'a le choix» , résume un avocat parisien de permanence, relatant ses premiers face-à-face avec les policiers, auprès des personnes gardées à vue. Depuis un peu plus de deux semaines, les avocats ont fait leur entrée dans les commissariats, la Cour de cassation a exigé le 15 avril dernier que les conseils soient présents à côté des mis en cause pendant les interrogatoires, et ceci sans attendre la mise en œuvre de la réforme tout juste votée. Quotidiennement, désormais, le choc des cultures se produit.


Les deux camps, sur leur quant-à-soi, y ont toutefois mis du leur. «La présence d'une tierce personne pacifie beaucoup les choses, assure Grégoire Etrillard, pénaliste qui a déjà assisté plusieurs gardés à vue. L'officier de police comme le mis en cause, rassuré par la présence d'un conseil, sont plus calmes… Du coup l'ambiance est différente.»


En face, les officiers de police judiciaire ont le plus souvent accepté de donner une «feuille de route» indicative à l'avocat, de façon qu'il sache, dans la mesure du possible, s'il doit se tenir à disposition pour d'autres interrogatoires à venir. L'un d'eux, en pleine empathie avec ses anciens adversaires : «Je n'imaginais jamais que les policiers travaillaient dans des locaux aussi délabrés !» Lire la suite sur le site du Figaro 



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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 06:46

 

Notre ami Gérard du Comité DA Arles a organisé cette Université populaire participative le 9 avril dernier, sur la Justice.

 

Le panel d'invités était de grande qualité :

- Jean-Pierre ROSENCZVEIG, Président du Tribunal pour enfants de Bobigny (93),

- Alain BISIACH, Vice Président du Tribunal de grande Instance de Tarascon, Juge d'application des peines et membre du syndicat de la magistrature,

- Laurent MUCCHIELLI, sociologue spécialiste de la délinquance, Directeur de recherches au CNRS,

- Jean-Louis DEMERSSEMAN, avocat pénaliste au barreau de Montpellier, membre du Syndicat des Avocats de France,

- Marie-Noëlle SARIS, avocate spécialisée en droit de la famille, au barreau de Tarascon.

 

Lors de ce débat, de nombreux thèmes ont été abordés , dont vous trouverez quelques extraits dans les vidéos suivantes :

- Transferts de compétences

- Réforme de la Justice et politiques gouvernementales

- Indépendance de la Justice

- Indigence de la justice,

- Le temps et l'argent (aide juridictionelle et réforme de la garde à vue)

- Délinquance

 

 

 

 

 


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