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  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
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Qui a tué nos villages ?

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16 avril 2018 1 16 /04 /avril /2018 19:21
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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 15:12
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9 avril 2018 1 09 /04 /avril /2018 12:11

 

L’entretien du lundi. Il a débuté sa carrière à Paris-Normandie avant de travailler à France Inter, Europe 1 et RTL. Haut dirigeant de TF1 pendant vingt ans, Étienne Mougeotte a

également dirigé les rédactions du Figaro. Entre 2012 et fin 2017, il a été directeur général de Radio Classique. Son invité du jour est Alexis Corbières.

Alexis Corbières, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon pendant la campagne présidentielle s’est imposé comme une voix forte de France Insoumise. Député de Seine-Saint-Denis, il est très présent dans les médias pour soutenir les positions de son mentor avec le sourire et le léger accent d’un professeur d’histoire originaire de Béziers.

Vous soutenez tous les mouvements sociaux : cheminots, fonctionnaires, enseignants, étudiants etc.. en espérant leur convergence. Votre objectif est-il de bloquer la France ?

Faut-il rappeler toutes les choses positives que les grèves ont apportées ? Les congés payés, le droit à la retraite, la réduction du temps de travail, etc.

Notre objectif n’est pas de bloquer la France mais de bloquer Macron. Il n’y a pas une majorité de Français qui veuille casser le Code du travail, mettre en souffrance l’hôpital public, fermer des écoles, limiter l’accès à l’université, baisser les retraites, stigmatiser les chômeurs, dénigrer les fonctionnaires, mépriser les cheminots et libéraliser la SNCF.

Aussi, je crois pertinent, qu’en plus des journées de grève, cette opposition populaire se matérialise le samedi 5 mai dans une grande marche nationale et citoyenne pour dire « stop à Macron » !

Quand Olivier Besancenot ou Benoit Hamon militent pour l’union de toutes les forces de gauche, Jean-Luc Mélenchon apparaît en retrait. Souhaitez-vous réellement l’union des gauches ?

Le plus important c’est l’union du peuple. C’est lui la cible incessante des attaques du gouvernement et c’est lui qui doit se défendre. Aujourd’hui, c’est aux problèmes des gens qu’il faut s’intéresser, pas aux problèmes d’ego des partis politiques ! Avec la France Insoumise, nous voulons d’abord et avant tout unir et fédérer les abstentionnistes, les milieux populaires et les citoyens... Tous les mouvements et ceux qui veulent se mettre au service de cette tâche sans autre ambition sont les bienvenus.

« Il y a tant de secteurs qui ont besoin d’argent public »

Passerez-vous des alliances pour les élections européennes, l’an prochain ? Ou préférez vous aller seuls à la bataille...

Seuls ? Avec 7 millions de voix, 17 députés à l’Assemblée nationale et un mouvement politique qui compte plus de 550 000 soutiens à travers le pays ? La suite sur Paris-Normandie

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27 mars 2018 2 27 /03 /mars /2018 17:42
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19 mars 2018 1 19 /03 /mars /2018 13:23
Naoto Kan: «Il faut fermer au plus vite les centrales nucléaires»

Sept ans après la catastrophe nucléaire de Fukushima (survenue le 11 mars 2011), l'ancien

premier ministre japonais, Naoto Kan, en poste à l'époque, était en tournée en France du 12 au 16 mars 2018. De nombreuses actions pour la sortie du nucléaire sont organisées actuellement autour de ce triste anniversaire.

 

C'est le 14 mars dernier à Strasbourg devant des élus et des militants anti-nucléaires que l'ancien premier ministre japonais Naoto Kan a déclaré qu'il fallait "fermer au plus vite les centrales nucléaires" car "une centrale nucléaire sûre est une centrale fermée". A 80 km de Strasbourg,  à Fessenheim, est basée la doyenne des centrales nucléaires françaises. Deux jours avant, on apprenait que l'Autorité de sûreté nucléaire ouvrait la voie au redémarrage du réacteur 2 de cette centrale grabataire mise en service en 1977 ! Dans un communiqué, le Réseau Sortir du nucléaire dit que cette "décision inacceptable est un signe de plus de la soumission de l’ASN aux industriels." Espérons que cette centrale située sur une zone sismique va ENFIN fermer en 2019 ! Evidemment, sur le cas de la centrale de Fessenheim, Naoto Kan est catégorique : "plus les centrales sont vieilles, plus vite il faut les fermer. Je suis complètement opposé à la prolongation de vie des anciennes centrales." 

 

Et Naoto Kan sait de quoi il parle. Il a démissionné en août 2011, cinq mois après le Genpatsu-shinsai de Fukushima (accident combinant les effets d'un accident nucléaire et d'un tremblement de terre) à cause de sa "forte impopularité après sa gestion de la crise nucléaire". Il faut écouter cet ancien pro-nucléaire notamment quand il expliquait en 2016 son positionnement avant cette date fatidique du 11 mars 2011 :

"Auparavant, j’étais un peu comme tout le monde. Il n’y avait jamais eu de véritables accidents nucléaires au Japon et un mythe de la sécurité s’était mis en place. Pendant longtemps, beaucoup de fonctionnaires japonais y ont cru, et je suis l’un d’entre eux. Le 26 avril 1986, il y a certes eu l’accident de la centrale de Tchernobyl. Mais nous pensions que c’était lié à l’ancienne Union soviétique et qu’au Japon, un pays très sûr, un tel accident ne pouvait arriver. Or cela s’est produit. Et ce fut pire qu’à Tchernobyl!"

 

Dans le programme de sa tournée en France, les député-e-s Europe Écologie - Les Verts ont invité Naoto Kan à donner une conférence de presse au Parlement Européen ce 14 mars dernier. Dans une interview accordée au quotidien belge L'Écho, il explique :

 "Oui, j’étais persuadé du haut niveau de la technologie japonaise. Comme Premier ministre, j’avais planifié le passage de la part du nucléaire du Japon de 30% à 50%. J’avais signé cela. Mais après Fukushima, j’ai annulé ce plan et décidé que nous allions sortir du nucléaire."

 

La veille, ce "repenti du nucléaire" était à l’Assemblée nationale à l'invitation des député-e-s de la France Insoumise. Il a rappelé et expliqué quelques faits marquants de la catastrophe de Fukushima qui l'ont amené à devenir un militant anti-nucléaire engagé : "On ne peut pas courir un tel risque pour les territoires et les populations. Aucune technologie ne peut nous protéger. Le jeu n’en vaut pas la chandelle. J’ai donc décidé de consacrer le reste de ma vie à me battre pour que le nucléaire disparaisse." Par jean-pierre favier la suite sur Médiapart

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9 mars 2018 5 09 /03 /mars /2018 15:20
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8 mars 2018 4 08 /03 /mars /2018 13:24
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8 mars 2018 4 08 /03 /mars /2018 13:10
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5 mars 2018 1 05 /03 /mars /2018 08:43
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3 mars 2018 6 03 /03 /mars /2018 10:55

Muriel Ressiguier, interroge la Ministre de la Transition énergétique et solidaire chargée des

Transports, sur les préconisations du rapport dit « Spinetta » concernant les petites lignes ferroviaires en France.
Le rapport « L'avenir du Transport ferroviaire », remis par Jean-Cyril Spinetta le 15 février dernier, à Monsieur Le Premier ministre, Edouard Philippe, est construit autour de deux axes principaux :

« Le premier établit le constat d’un système de transport ferroviaire peu performant, coûteux pour les finances publiques, reposant sur des modèles économiques structurellement déséquilibrés [...]

Le second rassemble les recommandations de la mission autour de trois thèmes principaux : recentrer le transport ferroviaire dans son domaine de pertinence, créer les conditions d’un retour à l’équilibre économique, et préparer l’ouverture à la concurrence. »


Un rapport qui ne prévoit pas de fermetures unilatérales par l’exécutif. Il compte augmenter fortement la redevance payée par les régions pour utiliser le réseau ferroviaire et les pousser à fermer des lignes tout en rejetant sur elles la responsabilité de la décision.

Nous nous trouvons face à un rapport dans la droite ligne de la doxa libérale habituelle. Au lieu de toujours pointer le « coût » que peuvent engendrer les services publics, nous devrions garder à l'esprit qu’il s'agit en réalité d’un investissement de l’Etat pour l’intérêt général.

Les petites lignes participent au maillage du territoire, au développement économique de nos communes et sont un moyen de transport écologique et durable. La fermeture pure et simple de 9000 kilomètres de voies, aurait des conséquences désastreuses.

Sur la période 2006-2015, les contrats de plan Etat-Région (CPER) ont permis d’investir 1,5 milliard d’euros pour pérenniser les petites lignes et 1,7 milliards sont prévus pour 2015-2020 , ce qui est déjà peu au regard de l’état inquiétant des réseaux de chemins de fer.

Ce rapport remet en cause les CPER mais ne semble pas s’insurger contre le coût exorbitant de grands projets inutiles, comme par exemple celui de la nouvelle gare LGV de la Mogère (un partenariat public privé) : cette gare « fantôme », au coût de 200 millions d’euros, où circuleront seulement huit trains par jour !

En réalité, il est vital de pérenniser ces petites lignes. En Occitanie, par exemple, les lignes de proximité représentent 50 % des lignes du territoire, contre 30 % en moyenne au niveau national. Si le rapport était appliqué, cette région qui est une des plus vastes de France, serait grandement pénalisée et cela entraînerait une véritable injustice territoriale, car le rail y est un enjeu majeur de désenclavement, d'aménagement du territoire et de développement économique.

En poursuivant la fermeture de ce réseau, le gouvernement irait à l’encontre de ses propres préconisations environnementales.

Le gouvernement, qui semble s’inspirer de ce rapport contesté pour préparer une nouvelle réforme de la SNCF, inquiète notamment l’association des maires de France, les associations des usagers et les syndicats de cheminots.

Derrière la baisse des dépenses publiques, leitmotiv libéral d’usage, il s’agit en fait de la suppression du statut des cheminots et de la fin du service public indispensable qu’est la SNCF, dont la privatisation avait déjà commencé.
 

Madame la ministre, allez-vous maintenir un investissement pour le développement des petites lignes en France? Pouvez-vous certifier qu’il n’y aura pas de désengagement de l’état en transférant la responsabilité et la charge d’exploitation aux seules régions? Et vous engagez-vous à maintenir le statut des cheminots?


 

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