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Qui a tué nos villages ?

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 13:08

Vie Publique

22.07.2010

 

Le 13 juillet dernier, le ministère Ministère de l’éducation nationale a rendu publics le nombre et la répartition des postes offerts aux concours de recrutement pour l’année 2011.

 

Les documents publiés concernent aussi bien le premier degré (recrutement des professeurs des écoles) allant de la première année de l’école maternelle à la dernière année de l’école élémentaire (enfants de 2 à 11 ans) que le second degré avec les concours de recrutement permettant d’enseigner en collège, en lycée, en lycée professionnel ou d’assurer des fonctions d’orientation ou d’éducation. Au total, 11 600 postes seront offerts aux concours en 2011. Ce chiffre est en baisse pour la cinquième année consécutive : pour 2010, il y avait encore 15 125 postes offerts et, en 2007, pratiquement le double (environ 22 000). Cette forte baisse touche cette fois essentiellement le premier degré : seulement environ 3 000 postes sont offerts aux concours contre 6 577 pour 2010. Dans le second degré, le nombre de postes reste à peu près identique à celui de l’année précédente (8 600 postes contre 8 548 pour 2010).

 

Les syndicats enseignants contestent le fait qu’il y aurait un "surnombre" d’enseignants dans le premier degré justifiant cette baisse constante du nombre de postes mis au concours. Selon eux, dans ce "surnombre" sont abusivement intégrés les enseignants exerçant des remplacements et ceux affectés à des tâches de soutien pour élèves en difficulté. Avec les organisations étudiantes, ils insistent aussi sur l’aspect pénalisant, voire décourageant, de cet effondrement des débouchés pour les étudiants alors que la réforme du recrutement des professeurs des écoles allonge notablement la durée de leur formation : master (bac + 5) au lieu de licence (bac + 3).

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 13:05

 

Localtis Info

23 juillet 2010

 

A l'occasion de leur audition par la commission des affaires sociales du Sénat, Jean-Louis Deroussen, président du conseil d'administration de la Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf), et Hervé Drouet, directeur général, ont apporté des précisions intéressantes sur la gestion du revenu de solidarité active. Interrogé sur le coût de gestion du RSA, le directeur général de la Cnaf a indiqué, qu'en 2009, celui-ci avait été conforme au budget prévu soit 100 millions d'euros. Si l'enveloppe prévisionnelle de gestion a ainsi été tenue, Hervé Drouet a cependant indiqué que la gestion du RSA est plus coûteuse que celle du RMI. En 2009, cette différence tenait au basculement entre les deux prestations - intervenu le 1er juin -, qui a engendré des dépenses spécifiques : campagne d'information auprès des allocataires du RMI et de l'allocation de parent isolé (API), mise en place des tests d'éligibilité, création des plates-formes... Mais, au-delà de ces effets temporaires de mise en place d'une nouvelle prestation, le coût de gestion du RSA demeure plus élevé que celui du RMI "en gestion ordinaire". Le directeur général de la Cnaf explique cette différence persistante par le fait que "l'instruction du dossier exige une collecte beaucoup plus approfondie des données socioprofessionnelles, utile pour faciliter l'insertion sociale et professionnelle". Il n'apporte toutefois pas de précisions sur le pourcentage de cet écart.

 

Hervé Drouet a également indiqué que la branche famille avait finalement bénéficié de 1.257 créations de postes, autorisées par le gouvernement pour faire face à la mise en place et à la montée en charge du RSA. Mais il souligne que ces créations "ont été compensées par le non remplacement d'un départ à la retraite sur deux, si bien que l'effectif est constant par rapport au début de la convention (la convention d'objectifs et de gestion 2009-2012, NDLR)". Les créations de postes étant spécifiquement affectées au RSA, ce dernier a néanmoins bel et bien bénéficié d'un renfort de moyens.

 

Enfin, le directeur général de la Cnaf a qualifié les relations entre les CAF et les départements, autour du RSA, de "diverses, mais bonnes". Il a toutefois reconnu qu'"il reste des progrès à accomplir sur les flux d'information des caisses aux départements", car les données transmises sont "parfois trop nombreuses et ne se recoupent pas toujours". En outre, elles se révèlent parfois difficiles à interpréter. Un groupe de travail, associant les différents acteurs concernés sous l'égide du ministère de la Jeunesse et des Solidarités actives, doit faire prochainement des propositions sur ce point.

 

Jean-Noël Escudié / PCA

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 13:03

 

 

Bernard Rodenstein, pasteur à Colmar, anime depuis des lustres une association de solidarité et de réinsertion des exclus, Espoir. J’ai reçu de lui ce texte, que je livre tel quel à votre réflexion.

 

Supplique à tous les « grands » de ce monde, à commencer par Monsieur Nicolas Sarkozy :

 

ACHEVEZ LES PAUVRES, FINISSEZ-EN

 

Pourquoi, lorsque vous traitez avec vos pairs, les très fortunés, les détenteurs des vrais pouvoirs, vous ne faites jamais dans la demi-mesure ? Lorsque vous concoctez un bouclier fiscal, vous n’y allez pas par quatre chemins ! C’est du dur, du costaud ! Les milliards sont bien gardés !

 

Lorsque vous traitez de la pauvreté, je vous sens tout hésitants, votre main tremble, vous n’osez pas !

 

Déjà, quand il s’agit de leur venir en aide, vous mégotez.

 

Une pincée d’emplois aidés, un demi% d’augmentation du RSA, pas de quoi acheter une baguette de pain.

 

Vous êtes d’un chiche avec eux ! Vous donnez le sentiment de vous faire arracher les tripes quand arrive sur votre bureau la moindre proposition susceptible d’améliorer le sort de ces millions de citoyens abonnés à la misère.

 

Mais quand vous reprenez d’une main ce que vous avez péniblement lâché de l’autre, vous voilà mal à l’aise ! Vous n’osez pas. Un quelque chose vous retient.

 

Certes, vous taillez dans les dépenses sociales. Vous diminuez par ici, vous réduisez par là !

 

Avouez, Mesdames et Messieurs les puissants, que vous manquez singulièrement d’audace.

 

L’envie de couper les vivres au peuple des perdants, des exclus et des « fainéants » vous brûle.

 

C’est là que vous pourriez faire des économies. C’est là aussi que vos électeurs préférés vous applaudiraient le plus fort.

 

Mais vous jouez petits.

 

Quelques dizaines de millions par ici, quelques millions par là. Des broutilles. Des coupes insuffisantes pour revenir à l’équilibre budgétaire. Des signes trop faibles pour convaincre vos mandants fortunés.

 

Vous mécontentez tout le monde.

 

Même les pauvres !

 

Vous leur prenez trop pour qu’ils puissent subsister et pas assez pour qu’ils aient envie de vivre. Vous les mettez très mal à l’aise. Le choix que vous leur laissez est sadique.

 

Il serait tellement plus simple que vous alliez au bout de vos convictions. Ils sont des poids morts pour la société telle que vous la rêvez. Pourquoi dès lors jouer de la pitié ?

 

Eliminez-les. Finissez- en.

 

Ce sera un coup dur supplémentaire pour eux, mais ils ont tellement l’habitude des coups durs !

 

Pour vous, ce serait enfin tout bénéfice ! La place deviendrait nette. Les dépenses sociales se dégonfleraient comme un ballon de baudruche. La terre deviendrait enfin un espace de vie respirable et agréable pour tous ceux et toutes celles qui sans cesse doivent faire le tour du monde pour mettre leurs fortunes à l’abri des envieux et du fisc qui a la sale manie de vouloir en piquer pour en redistribuer aux non-méritants.

 

Je vous en supplie : un tout petit effort : soyez durs, vraiment durs avec les pauvres. Ils ne méritent rien, si ce n’est que vous les éliminiez ! Vous en mourez d’envie. Alors, pourquoi se retenir !

 

Bernard Rodenstein

 

(Association Espoir www.association-espoir.org Colmar)

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