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Qui a tué nos villages ?

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 08:57

 

 

Environ 60 000 personnes ont formé samedi une chaîne humaine pour protester contre l'énergie nucléaire, en l'Allemagne, alors que la menace d'un accident nucléaire planait au Japon.

 

Environ 60'000 personnes ont formé une chaîne sur 45 km, entre une centrale nucléaire à Neckarwestheim et la ville de Stuttgart», capitale du Bade-Wurtemberg, a dit Jochen Stay, de l'association Ausgestrahlt (Irradié).

 

Dans cette région est prévue dans deux semaines une élection régionale à risque pour la chancelière Angela Merkel. Son parti conservateur CDU risque d'y être détrôné, après un demi-siècle de règne, par les Verts et les sociaux-démocrates, en raison notamment d'un vigoureux mouvement de contestation d'un vaste chantier de rénovation autour de la gare de Stuttgart.

 

Plusieurs associations écologistes avaient appelé à l'organisation de cette chaîne humaine, dans le but de faire monter la pression à deux semaines de ce scrutin en Bade-Wurtemberg, région-clé pour «la politique énergétique à l'avenir».

 

L'exemple japonais

 

Le collectif appelle à récidiver avec des «veillées anti-nucléaires» à travers l'Allemagne lundi à partir de 18H00 locales (17H00 GMT). (…) 

Source 20 Minutes

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 08:54

 

Près d'un Français sur 100 habite une résidence mobile. Un rapport parlementaire dresse un bilan de la loi Besson de 2000 qui visait à créer des aires d'accueil adaptées pour les 500.000 gens du voyage. Les parlementaires veulent faire évoluer la loi pour l'adapter aux besoins d'aujourd'hui, et appellent à un "pacte de confiance" entre les pouvoirs publics et ces populations.

 

La commission des lois de l'Assemblée nationale vient de rendre public ce 9 mars 2011 un rapport d'information portant sur le "bilan et l'adaptation de la législation relative à l'accueil et l'habitat des gens du voyage". Plutôt qu'une approche sécuritaire du sujet, trois députés - Didier Quentin (UMP), Charles de La Verpillière (UMP), Dominique Raimbourg (PS) - ont choisi de mener une analyse approfondie de la mise en œuvre de la loi du 5 juillet 2000. En privilégiant ce point de vue administratif et pratique, les parlementaires aboutissent à un rapport technique très complet. Ils présentent 15 mesures concrètes pour améliorer ces politiques publiques. Des propositions dont certaines ont toutes les chances de se retrouver sous peu dans un texte de loi.

 

Quel bilan de la loi du 5 juillet 2000 ?

 

Jusqu'en 1990, aucune loi n'organisait l'accueil et le stationnement des gens du voyage par les communes. En 1990, a été adoptée la première loi Besson qui imposait une obligation d'accueil plus morale qu'effective. Avec la deuxième loi Besson (5 juillet 2000), le contexte d'intervention a été profondément modifié. Chaque département a dû élaborer conjointement avec le préfet un schéma départemental d'accueil des gens du voyage. Des obligations chiffrées de création de places ont été fixées. Cependant, dix ans après cette loi, les députés estiment que "sa mise en œuvre est très progressive et encore insuffisante". Fin 2009, seulement 20.000 places aménagées dans des aires de stationnement sont en service pour un objectif de 40.000. Cet écart conséquent entre les objectifs et les réalisations s'explique "d'abord par des obstacles objectifs" estime le rapport, et non pas, sauf exceptions, par de la mauvaise volonté de la part des élus locaux.

 

Le problème est d'abord financier : chaque place coûte entre 20 à 25.000 euros, et le taux de subvention de l'Etat est de l'ordre de 50%. De plus, depuis le 1er janvier 2009, l'Etat ne subventionne plus les projets des communes n'ayant pas déposé de demande avant cette date. Mais la question n'est pas que financière : le manque de disponibilité foncière, les difficultés naturelles (terrains marécageux, etc.), la longueur des procédures d'urbanisme sont autant d'obstacles à la mise en œuvre de la loi. Le rapport souligne également qu'aucun préfet n'a jamais utilisé son pouvoir de substitution à l'encontre d'une commune qui ne respectait pas ses objectifs. Ce pouvoir de substitution consiste à ce que le préfet achète le terrain et fasse les travaux puis inscrive comme dépense obligatoire dans les comptes de la commune ces opérations. Les députés envisagent de simplifier le droit pour que ce pouvoir de substitution soit plus facilement utilisé, éventuellement en confiant aux organismes HLM le soin d'aménager les terrains. (…)

Source Localtis Info

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 15:51

Discussion générale

Mme la présidente. La parole est à Mme Martine Billard.

Martine-Billard_Roughol.jpegMme Martine Billard. Monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, nous discutons aujourd’hui en deuxième lecture du projet de loi relatif à l’immigration, à l’intégration et à la nationalité, et vous avez trouvé de nouveaux arguments pour justifier ce texte. Aujourd’hui, l’afflux soudain de migrants rendrait ce texte nécessaire ; une situation exceptionnelle, selon votre expression,monsieur le ministre. Vous êtes tellement obnubilés par les questions d’immigration que vous avez perdu toute capacité d’analyse des événements. Ainsi, votre première réaction par rapport à la fantastique vague de démocratie dans les pays du Maghreb et du Machrek n’est pas de vous émerveiller de ce mouvement courageux des peuples pour la démocratie ; vous agitez la peur des migrations.

M. Claude Goasguen, rapporteur. Cela n’a rien à voir !

Mme Martine Billard. C’est ainsi que M. Goasguen, rapporteur de la commission des lois, a osé dire au début de son intervention : « La situation s’est considérablement dégradée ».

M. Claude Goasguen, rapporteur. Sur le plan de l’immigration, c’est sûr !

Mme Martine Billard. Voilà le regard que vous portez sur la chute de dictatures corrompues. C’est significatif ! Nous, nous nous félicitons de la chute de ces régimes dictatoriaux et corrompus. Le débat que nous allons avoir sur ce texte n’aura pas simplement pour but de démontrer le caractère nauséabond de votre politique. Après la gestion catastrophique de la politique étrangère dans une période aussi importante que celle des révolutions citoyennes, après le remaniement ministériel et après le discours de Nicolas Sarkozy au Puy-en-Velay, ce débat sera aussi celui de l’image de la France. La France n’est pas un pays qui tolère que l’on attise les haines, ni pour des raisons politiciennes et électorales ni pour aucune autre raison. Elle est encore moins un pays qui accepte que des politiques xénophobes soient conduites, en son nom, par son propre gouvernement, tournant ainsi le dos au pacte républicain.

C’est pourtant ce qu’a fait Nicolas Sarkozy dans son discours du Puy-en- Velay. Il tourne le dos ouvertement au principe de laïcité lorsqu’il tente une nouvelle fois d’assimiler l’identité de la France à l’identité chrétienne, réduite d’ailleurs au catholicisme. Il attise la haine et la différence de l’autre en excluant de fait tous ceux qui ne s’y reconnaissent pas.

M. Jean Proriol. Ce que vous dites est faux !

Mme Martine Billard. Il ferait mieux de se souvenir que notre identité se fonde sur des principes d’égalité et de séparation de l’Église et de l’État, principes qui ne sont pas négociables. La question qui nous est posée est de savoir si nous acceptons que la France soit le pays du rejet et de la haine ou celui qui prend exemple sur le souffle de liberté et de fraternité des peuples arabes. En revenant sur un certain nombre de dispositions du texte, les sénateurs ont d’ailleurs a été plus sages que les députés de droite n’ont su l’être en première lecture. Ils ont repoussé l’extension de la déchéance de nationalité. Ils sont revenus sur les mesures concernant le droit de séjour des étrangers malades. Ils ont introduit des facilités de démarches pour le renouvellement des cartes d’identité des personnes nées à l’étranger. Ils avaient même cassé l’augmentation des peines encourues pour un mariage blanc. Mais la commission des lois de l’Assemblée est revenue systématiquement sur toutes les dispositions positives votées par les sénateurs, y compris les éléments relatifs à la saisine du juge des libertés et de la détention.

M. Philippe Goujon. Heureusement !

Mme Martine Billard. Aujourd’hui, un étranger en rétention dans un centre comparaît devant le juge des libertés et de la détention au bout de quarante-huit heures, avant qu’il ne soit statué sur sa libération. La commission des lois a accepté de nouveau la disposition repoussée par le Sénat qui écarte la décision du juge des libertés en reportant son intervention à cinq jours. Avec ce délai, le juge administratif interviendra avant le juge des libertés pour décider de la légalité de la mesure d’expulsion, avant que l’on ait statué sur la légalité de sa rétention.

Vous avez aussi renforcé une nouvelle fois, de façon absurde et grotesque, la condamnation des mariages blancs, repoussant à sept ans de prison et 30 000 euros d’amende les peines encourues, alors qu’il faudrait abroger ce dispositif. D’abord, celui-ci est d’une qualité juridique tout à fait douteuse. On se demande bien comment les autorités vont pouvoir prouver qu’il y a eu « escroquerie aux sentiments ». La logique de l’article reflète bien votre idéologie. Il fait peser sur les étrangers cette idée de présomption de fraude et de

tentative de tricherie permanente. Au final, cela revient à en faire un délit plus grave que celui de recel, par exemple, et plus grave que la détention du produit ou du résultat d’un crime. Vous en faites une peine équivalente à celle de l’ex-dictateur du Panama, Noriega, que le tribunal correctionnel de Paris a condamné à sept ans de prison, mais lui c’était pour le blanchiment de l’argent de la drogue !

Quant à la déchéance de nationalité, non seulement il s’agit au départ d’une mesure absurde à usage politicien, mais vous avez même été tentés d’en étendre encore le périmètre aux délinquants condamnés trois fois à la prison. Cette mesure, quel qu’en soit le périmètre, aurait créé une nationalité à deux vitesses. Il est parfaitement scandaleux de prétendre mettre en tel système en place. Démagogique, il est par ailleurs parfaitement contraire à la Constitution qui stipule, dans son article 1er, que tous les Français sont égaux devant la loi quelle que soit leur origine. En effet, la déchéance de nationalité propose de classer les personnes entre « Français de souche » et « Français d’origine étrangère », rompant ainsi avec la logique d’égalité et créant des « Français en sursis ». Enfin, l’instauration de cette double peine est contraire à la Convention du Conseil de l’Europe que la France a signée, qui interdit la déchéance de nationalité pour des motifs de droit pénal général.

La commission des lois a également rétabli les mesures à l’encontre des sans-papiers souffrant d’une pathologie grave. Cela fait des années que vous essayez de revenir sur les dispositions existantes. Le texte revient ainsi sur la possibilité de régularisation des sans-papiers malades. Il remet également en cause la disposition introduite en 1997 qui interdit l’éloignement des personnes gravement malades. Il s’agit là d’un recul considérable qui va encore plus loin que ce que la loi prévoyait initialement, qui est très éloigné de ce que proposent les directives européennes et condamne de fait des milliers de personnes à une mort certaine. En remplaçant l’idée d’accessibilité par la notion de disponibilité des soins, vous renvoyez les étrangers résidant habituellement en France à une profonde inégalité. Les soins sont formellement disponibles partout dans le monde, sans qu’il soit pour autant possible de se faire soigner ou de se payer les traitements. Combinée à la réforme de l’AME, une telle disposition nous expose à de graves problèmes de santé publique. Les microbes n’ont que faire des frontières ou de savoir si le porteur a des papiers en règle. Il relève de la santé publique, si ce n’est de l’intérêt général, de soigner ces personnes. Toutes les associations se sont alarmées de cette mesure, qui est par ailleurs tout à fait contraire, encore une fois, à vos engagements. Je me souviens des débats en première lecture, notamment des engagements du Plan national de lutte contre le sida.

Au final, vous créez un véritable régime d’exception pour les immigrés. À vouloir sans cesse détourner l’attention des causes du chômage et de la précarité, vous cassez durablement le tissu social. Vous feriez mieux de vous occuper de tous ceux qui cherchent à échapper à l’impôt, plutôt que des migrants qui cherchent simplement à fuir la misère et la pauvreté. Si le sujet n’avait pas été aussi grave, on aurait presque pu ironiser lorsque le Président de la République a déclaré au Puy-en-Velay que « ce sont ceux qui contribuent à toute la chaîne de solidarité qui participent de l’image et de l’identité de la France ». C’est pourtant le même Gouvernement qui n’hésite pas à engager des poursuites contre celles et ceux qui viennent en aide aux personnes fuyant la misère, les guerres et les violences en tout genre. Au final, ce quatrième texte en sept ans est celui qui souffle sur les braises du Front national, celui du racisme libéré, celui qui légitime l’idée que l’immigration serait coupable de tous les dégâts causés par les politiques libérales, depuis trop longtemps maintenant. À décomplexer ce sentiment, vous embourbez la France dans une scandaleuse image d’elle-même. C’est ainsi que Mme Brunel, députée UMP, n’hésite pas à emboîter le pas au Front national en proposant de remettre les immigrés dans les bateaux, quand Marine Le Pen propose de les repousser dans les eaux internationales. Comment peut-on oublier toute humanité au point de renvoyer consciemment à la mort des êtres humains qui ne sont coupables que de rechercher une vie meilleure ?

Votre panique à la perspective de perdre les élections vous amène aux surenchères les plus sinistres au point d’en être prisonniers et de ne plus pouvoir vous démarquer du Front national. À quoi bon ? N’avez-vous pas appris depuis le temps que les électeurs racistes préfèrent l’original à la copie, le Front national à l’UMP ? Malheureusement, la situation actuelle risque de nous donner raison avec un seul point positif : vous faire perdre les élections de 2012 et nous les faire gagner. Nous refusons donc globalement ce texte. (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)

M. Claude Goasguen, rapporteur. C’est cynique !

Mme Martine Billard. C’est vous qui êtes cyniques ! Des peuples se battent contre des dictateurs et tout ce que vous trouvez à dire c’est que cela va faire des immigrés en plus !

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 15:48

 

Pour le Réseau "Sortir du nucléaire", c’est bien un accident nucléaire majeur gravissime qui se déroule actuellement au Japon, d’une gravité comparable à celle de l’accident de Three Mile Island et de celui de Tchernobyl, qui s’est déroulé il y a tout juste 25 ans.

 

Une explosion a eu lieu dans le réacteur n°1 de la centrale de Fukushima Daiichi. "L’explosion s’est produite entre 15H30 et 16H00 (heure locale) dans le réacteur N°1 de la centrale nucléaire, située à 250 km au nord de Tokyo". La structure externe du bâtiment réacteur a explosé, et le toit du bâtiment réacteur s’est effondré de l’aveu même de l’exploitant TEPCO.

 

 

 

 

Article du réseau Sortir du Nucléaire, pour lire la suite et suivre les mises à jour régulières clic

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 15:47

 

 

Ce changement de statut allait permettre un apport en fonds propres s’élevant à 2, 7 milliards d’euros (1, 2 milliards par l’Etat et 1,4 par la Caisse des dépôts.) La réforme n’a toutefois pas contredit la vocation de service universel confié à la Poste à travers sa mission d’intérêt général. L’Etat reste l’actionnaire majoritaire et les personnels conservent leur statut de fonctionnaires.

 

Ce premier volet de la réforme témoigne sensiblement d’un attachement au rôle historique que joue la Poste en France. Elle dispose en effet d’un monopole du transport du courrier qui remonte à Louis XIV, en 1672 plus exactement.

 

Malgré une forte protestation de la part des usagers lors de l’organisation d’une votation citoyenne, au cours de laquelle 2, 3 millions de personnes se sont clairement opposées à ce changement de statut, le président de la Poste Jean-Paul Bailly a réaffirmé sa nécessité et a insisté sur le fait que « l’essentiel des postiers est beaucoup moins préoccupé par ce changement de statut que par les enjeux et l’avenir de La Poste et du courrier face à l’avènement de la société numérique ».

 

En effet, la part du courrier transporté de manière traditionnelle n’a cessé de diminuer au cours de ces dernières années. D’autres modes, dont notamment le marché du courrier électronique, se sont affirmés comme de nouveaux concurrents sérieux. On envisage d’ailleurs un recul de 30% du nombre de lettres postées d’ici à 2015, du fait de l’essor de l’outil numérique.

 

Mais si le changement de statut de la Poste semble répondre à la nécessité pour le groupe de s’adapter aux évolutions du marché, il s’inscrit également dans un processus d’ouverture totale à la concurrence du secteur postal européen en 2011. (…)

Source Bordeaux Eurosblog / Coraline Moro

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 15:45

Ségolène Royal, Présidente de la Région Poitou-Charentes, a participé avec Edwin Kohl, principal actionnaire de Mia Electric, à une présentation de la Mia Electric au Salon de l’Automobile de Genève.

Cette présentation fait suite à la réunion des actionnaires (Mia Electric, Gmbh, société allemande, Edwin Kohl et la Région Poitou-Charentes) du 4 mars au cours de laquelle ils ont décidé une augmentation de capital de 7 millions d'euros, ce qui va permettre à la fois de financer les investissements nécessaires et le déclenchement de prêts complémentaires de 15 millions d'euros.

La Présidente de Région a indiqué qu'elle proposerait au Conseil Régional du 28 mars de garantir un prêt bancaire de 8 millions d'euros.

Ces décisions confirment et consolident le dynamisme de MIA électric qui emploie maintenant plus de 160 salariés (contre 35 il y a 1 an). Elles garantissent également la production de la MIA à compter de juin 2011.

Cette rencontre a également permis à Ségolène Royal et à Edwin Kohl de mettre en place les fondements d'une nouvelle démarche pour lier alimentation des véhicules électriques et énergie renouvelable. Ils ont également annoncer la création d'un pôle croissance verte à Cerizay pour mettre en oeuvre ce projet.

La présentation de la Mia illustre les atouts de la croissance verte en matire d’excellence environnementale et de créations d’emplois. Alors que la crise est encore très présente, il est essentiel de développer les filières de la croissance verte pour faire naître des nouvelles industries écologiques.

Téléchargez le document dans son intégralité 

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 15:41

 

 

"Camouflet", "désaveu cinglant": responsables politiques de gauche, associations, magistrats et policiers, ont salué vendredi la censure par le Conseil constitutionnel de 13 articles de la loi de sécurité intérieure Loppsi 2, tout en soulignant que "l'arsenal répressif" en ressort globalement renforcé.

 

Le ministère de l'Intérieur s'est pour sa part félicité que l'"essentiel" de la loi ait été entériné par les Sages, qui ont validé "les grandes orientations" du discours de Grenoble sur la sécurité prononcé en juillet par Nicolas Sarkozy. "Seules 13 dispositions ont été invalidées sur les 142 que contient la loi", a-t-il fait valoir.

 

Le PS, lui, a évoqué un "désaveu cinglant". La décision du Conseil constitutionnel "désavoue radicalement la politique irréfléchie du gouvernement en matière de justice et de sécurité", a estimé la secrétaire nationale à la Justice, Marie-Pierre de la Gontrie.

 

Le patron des députés PS, Jean-Marc Ayrault, a jugé que cette censure était "lourde" et ses "attendus sévères". "Le Conseil constitutionnel a donné raison à ce que nous ne cessons de dire : la sécurité ne se bâtit pas sur la violation du droit", a-t-il estimé dans un communiqué. (…) 

Souce AFP

 

 

***************

Note personnelle :

 

Que les candidats aux élections présidentielles, s’informent bien avant de proposer des programmes , inapplicables s'ils s'avéraient anticonstitutionnels, car ne passant pas la censure du Conseil Constitutionnel qui garantit (heureusement) cette Constitution, fondement de notre République

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 10:28

 

Le Conseil constitutionnel a censuré jeudi treize dispositions de la loi sur la sécurité intérieure (Loppsi 2) votée début février à l’initiative du gouvernement afin de renforcer l’arsenal répressif contre la délinquance et la criminalité.

Parmi les principaux passages retoqués figure la possibilité d’étendre aux mineurs les peines planchers, jusqu’ici réservées aux seuls récidivistes, une disposition jugée «contraire aux exigences constitutionnelles en matière de justice pénale des mineurs», écrit l’institution dans un communiqué.

Pour les mêmes raisons, les Sages ont rejeté la possibilité pour un procureur de convoquer directement un mineur devant le tribunal des enfants sans passer par le juge des enfants.

Toujours concernant les mineurs, le Conseil constitutionnel a validé la possibilité de prendre une décision de «couvre-feu», collective ou individuelle (pouvant être prise par un préfet ou un tribunal des enfants), mais censuré la possibilité de punir pénalement un parent dont l’enfant n’aurait pas respecté la mesure.

Pas de contrôle d'identité pour la municipale (…) 

Source Libération


************

En bref :

  • Un mineur ne pourra pas être convoqué devant le tribunal sans passer par le juge des enfants ;

  • Pas de peine pénal pour les parents dont l’enfant n’aurait pas respecté le couvre feu ;

  • Un préfet ne pourra pas procéder à l’évacuation forcée de terrains occupés illégalement ;

  • Pas de salles d’audience dans les centres de rétention administrative ;

  • Les policiers municipaux ne pourront pas faire de contrôle d’identité ;

  • S’il a validé l’extension de la vidéosurveillance (oups!) vidéoprotection, le Conseil constitutionnel n’a pas en revanche autorisé son exploitation par des personnels de droit privé

 

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 10:27

 

Avec le choix qui a été fait pour 2011 de ne toujours pas aller au-delà de l’obligation légale d’augmenter le Smic, c’est la cinquième année de suite que le gouvernement s’attaque au filet de sécurité que garantissait le salaire minimum.

Alors même que, depuis 2002, la pauvreté ne cesse en France à nouveau de gagner du terrain, comme le constate l’Insee. Et alors même qu’en 2008 la moitié des Français vivait avec moins de 1.580 euros par mois. Autrement dit, le gouvernement refuse de donner un «coup de pouce» au Smic alors que 20% des salariés gagnent moins que le salaire qu’il est censé garantir et alors que 50% des Français ont un revenu égal ou inférieur à 1,5 Smic.

C’était pourtant prévu. (…) 

Source Voilà le travail



 

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 10:23
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 compteur

Campagne 2017

Photos Campagnes

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Caranave Insoumis du Haut Vaucluse 1

 

Caravane Insoumis du Haut Vaucluse 2