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Qui a tué nos villages ?

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 09:00

 



Jean-Claude Delalonde, président de l’Association nationale des CLI (ANCCLI), réagit à l'annonce de François Fillon de lancer un audit sur les centrales nucléaires en France. Sa position est, dans la forme, moins virulente que celle de son collègue Jacques Maugein, également membre de l'ANCCLI, qui avait qualifié de "ridicules les propos de M. Fillon" dans une interview publiée le 25 mars sur le site de la Gazette. Il n'en reste pas moins, sur le fond, très prudent quant aux intentions réelles du gouvernement.


Le 23 mars 2011, le Premier ministre a chargé l’ASNd’un audit sur les centrales françaises et demandé à ce que les CLIen soient informées «au fur et à mesure de l’avancement des travaux».  Cela vous satisfait-il ?

J’applaudis cette initiative des deux mains… même si cet audit arrive tard, après l’accident au Japon, c’est-à-dire sous la contrainte. Nous sommes donc déterminés à y contribuer, sauf si notre participation devait se réduire à avaliser un cahier des charges élaboré entre experts de l’IRSN, de l’ASN, du CEA,d’Areva et d’EDF.


Dans ce cas, nous démissionnerions.


Car la société civile a son mot à dire sur le nucléaire. S’il y avait demain un accident en France, elle serait en première ligne. (…) 

Source La Gazette des Communes

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 20:10

Symbole de notre indépendance militaire et énergétique, le nucléaire est une affaire d'Etat. Plongée au cœur du lobby de l'atome. Par Guillaume Malaurie.

C'est formidable, le hasard. Quelques jours après le début de la catastrophe de la centrale nucléaire de Fukushima, une brochette de personnalités a priori très différentes les unes des autres ont toutes prononcé la même petite phrase : « Si les Japonais avaient eu un réacteur EPR français, ça ne serait jamais arrivé !» Un argument massue invérifiable, contestable, mais efficace. Parmi ces porte-parole, il y eut dans le rôle de l'expert Thomas Oudré, haut responsable de l'Agence de Sûreté nucléaire, côté élus, les députés Philippe Daubresse (UMP) ou Christian Bataille (PS), mais aussi Henri Guaino, conseiller de Sarkozy, le multicarte Claude Allegre, et même l'éditorialiste Eric Zemmour dont on ignorait jusque-là les compétences en physique nucléaire.


Précisons tout de même que cet EPR 100% antichoc et antifuite n'existe en vrai nulle part au monde et est toujours en chantier en Finlande où il accuse quatre ans de retard sur l'agenda initial pour des problèmes de sécurité : il aura fallu ajouter 25% de ferraillage dans le béton de l'enceinte à la demande des Finlandais. Mais peu importe : pour les supporters de l'EPR, il s'agit d'une grande cause nationale. Il faut donc marteler l'argument de l'excellence atomique française. Mobiliser les hussards de l'atome un peu désorientés, les amis hésitants, les obligés récalcitrants et donc organiser les relais d'opinion. Question : qui est à l'origine de la version originale de la petite phrase sur l'EPR reprise en chœur ? Le 16 mars, Anne Lauvergeon, la patronne d'Areva, en donne une version impeccable devant les députés : « S'il y avait eu des EPR à Fukushima, il n'y aurait pas de fuites possibles dans l'environnement, quelle que que soit la situation. » (...)

Intérêts économiques et stratégiques

Depuis un demi-siècle, les intérêts économiques et stratégiques du nucléaire civil sont si vertigineux qu'ils se confondent avec l'intérêt supérieur de l’État. Cela peut se concevoir... A condition toutefois que la puissance publique inspire confiance et puisse rassurer l'opinion quand survient un pépin ou un accident dans une centrale. Or, depuis des lustres, le grand bond de l'énergie nucléaire repose sur des non-dits, des silences, des secrets. Il aura fallu Tchernobyl et la fable du nuage radioactif bloqué aux frontières du Rhin pour que l'imposture soit révélée : «La crédibilité des organismes officiels liés au nucléaire demeure aujourd'hui faible, voire très faible », note Frédérick Lemarchand, sociologue du risque à l'université de Caen. Le cataclysme en cours à Fukushima n'arrange rien... Alors le lobby, qui sent bien que le pacte avec les Français se dégrade, se réfugie dans la communication. Exemple très récent : dès le début de la crise, surgissait sur toutes les chaînes de télévision un « expert » jusque-là inconnu et réputé indépendant.

Son nom : Francis Sorin. Présenté comme « directeur du pôle information de la Société française d’Énergie nucléaire », il affiche une neutralité de bon aloi. Sauf que sa « société savante » n'est, à y regarder de plus près, rien d'autre qu'une filiale associative de la filière nucléaire, qui relaie donc très fidèlement sa doctrine. (...)

 

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 12:53

 

La catastrophe nucléaire de Fukushima n'empêche pas Areva de préparer son avenir boursier... Le groupe nucléaire public devrait ainsi déposer dans les prochains jours à l'AMF une demande de conversion de ses certificats d'investissement en véritables actions, selon la presse économique. Rappelons que les CI Areva actuellement cotés ne représentent que 4% du capital du groupe, et ne disposent pas de droits de vote, contrairement à des actions. Areva espère ainsi que la conversion sera réalisée d'ici au 30 juin...

 

Techniquement, cette cotation permettra aux actionnaires actuels (l'Etat, le CEA, la CDC, EDF et le fonds koweitien KIA) de céder des titres à terme s'ils le souhaitent, et ouvrira la voie à une nouvelle augmentation de capital, la deuxième après l'injection en décembre dernier de 900 Millions d'Euros par l'Etat français et un fonds koweitien, qui détient aujourd'hui 4,8% d'Areva.

 

C'est justement ce fonds souverain, KIA, qui a exigé en entrant au capital d'Areva, que le groupe soit coté en Bourse avant le 30 juin, afin d'offrir une porte de sortie à son investissement, qui est toutefois assorti d'un "lock-up" de 18 mois... Mais si la cotation d'Areva n'est pas réalisée avant le 30 juin, KIA dispose d'une option pour vendre ses parts à l'Etat français à un prix au moins égal à celui qu'il a déboursé, soit 600 Millions d'Euros...

 

Même si son calendrier semble inapproprié au vu des événements qui se déroulent actuellement au Japon, la cotation rapide des actions Areva évitera donc à l'Etat français le risque d'avoir à débourser 600 ME... (…)

Source Boursier.com

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 07:45

 

Une nouvelle vidéo passe actuellement sur le Net. 5 minutes d’un flot qui emporte tout sur son passage : véhicules, bateaux, immeubles, ponts, murs, digues...

Quelques soient les contrôles qui seront faits (Les contrôleurs d’hier peuvent-ils dire aujourd’hui le contraire de ce qu’ils disaient hier ?), cette énergie est incontrôlable, car gérable seulement dans une situation normale ou présupposée sachant qu’on ne pourra jamais savoir exactement quelle sera la force de la colère de dame nature.

En voyant cette vidéo, on imagine non seulement une centrale au milieu du flot, mais également les déchets nucléaires enfouis "enattendantleurretraitement"... Bien sûr, peut-être pas demain, ni après demain, mais sommes nous des parents responsables si aujourd’hui nous faisons tout pour le bonheur de nos enfants, en se fichant complètement de l’avenir de leurs petits-enfants ?

Parce que "Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants."



 

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 19:40

 

L'accident nucléaire au Japon met en danger la vie des travailleurs de la centrale de Fukushima et pose des problèmes sanitaires majeurs, d’autant plus importants que les populations sont plus proches de la source et sont atteints plus rapidement par le panache radioactif.


Celui-ci se déplace autour de la terre et doit atteindre la France ces jours-ci. Il ne s'arrêtera pas à nos frontières contrairement à ce que les autorités de notre pays nous ont affirmé il y a 25 ans lors de l'accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl.


Il est indispensable d'avoir les informations les plus indépendantes et fiables possibles concernant ce qui se passe au Japon et dans les différents pays, ainsi que sur les niveaux de risque encourus.


Nous invitons les soignants et les citoyens à suivre régulièrement les informations délivrées par la CRIIRAD : Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur la Radioactivité.


http://www.criirad.org/


Les calculs sur les retombées du nuage, pour ces jours-ci, en France métropolitaine, montrent qu’elles devraient être extrêmement faibles et ne pas nécessiter de précaution particulière ; toutefois il n’y a pas de seuil en dessous duquel on puisse affirmer que la radioactivité est sans risque pour la santé à long terme.


Ce troisième accident majeur de l'histoire du nucléaire (Après Three Mile Island aux USA en 1979 et Tchernobyl en Ukraine en 1986) montre à quel point il est important que tout soit mis en oeuvre pour une sortie du nucléaire le plus rapidement possible.

Communiqué du Syndicat de la Médecine Générale

 

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 19:37

 

 

Sur fond de catastrophe nucléaire au Japon, plus de deux cent mille manifestants à travers l'Allemagne ont réclamé samedi 26 mars la fermeture des centrales allemandes, à la veille d'une élection régionale qui fait figure de plébiscite sur la politique énergétique d'Angela Merkel.

 

L'un des organisateurs, l'association "Ausgestrahlt", a annoncé que 250 000 personnes avaient défilé dans quatre grandes villes d'Allemagne pour réclamer la fin immédiate de l'exploitation des 17 réacteurs nucléaires du pays. Selon cette association, 120 000 étaient présentes à la manifestation berlinoise, la police de la capitale allemande, estimant pour sa part qu'elles étaient "plus de 100 000". A Munich, sous la pluie, la police évoquait "au moins 25 000 personnes" et les organisateurs 40 000, tandis qu'à Hambourg et à Cologne, les organisateurs en ont compté respectivement 50 000 et 40 000 qui se sont ralliées au mot d'ordre : "Fukushima nous exhorte à éteindre tous les réacteurs".

"PIQÛRE DE RAPPEL"

"Ce sont les plus grandes manifestations contre le nucléaire en Allemagne à ce jour", s'est réjoui le collectif des organisateurs dans un communiqué commun. (…) 

Source Le Monde



 

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 19:36

 

 

Sous-informés par les autorités, de plus en plus conscients du risque d'une catastrophe dont ils sont, pour la plupart, dans l'incapacité d'évaluer la gravité, les Japonais sont désormais d'autant plus inquiets que fait aujourd'hui surface, à la lecture de la presse et grâce aux témoignages d'experts nucléaires diffusés sur des chaînes privées de télévision ou sur des blogs, l'arrière-plan nauséabond de ce drame : la puissance de ce que, par pudeur, on nomme le "lobby nucléaire".


Un milieu riche et puissant dont le coeur bat au ministère de l'économie, du commerce et de l'industrie (METI), qui a la haute main sur la politique nucléaire, et dont les ramifications comprennent la Fédération des compagnies d'électricité (FEPC), l'Agence de sûreté industrielle et nucléaire (NISA), les groupes industriels qui construisent les centrales - Toshiba et Hitachi en tête - et les opérateurs.


Ce lobby, qui voit d'anciens hauts fonctionnaires des ministères et agences liés au nucléaire "pantoufler" dans des compagnies d'électricité, est passé maître dans l'art de verrouiller l'information. Il finance d'importantes campagnes publicitaires dans la presse et à la télévision pour assurer que le nucléaire est parfaitement sûr. (…) 


LEMONDE

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 19:33

 

 

Deux semaines après le plus grand séisme de l'histoire du Japon et l'énorme tsunami qui a suivi, la situation


Le Japon a annoncé samedi avoir mesuré des niveaux d'iode radioactif 1.250 fois supérieurs à la norme légale en mer  près de la centrale en péril de Fukushima, renforçant les craintes d'une  rupture de l'étanchéité d'un ou plusieurs réacteurs. Cette forte concentration aggrave les risques de contamination alimentaire par les produits de la mer dont raffolent les Japonais. Le nouveau relevé d'iode 131 a été effectué vendredi par la compagnie  d'électricité gérant le site, Tokyo Electric Power (Tepco), et rendu public samedi par l'Agence japonaise de sûreté nucléaire.

 

"Si vous buvez 50 centilitres d'eau courante avec cette concentration d'iode, vous atteignez d'un coup la limite annuelle que vous pouvez absorber. C'est un niveau relativement élevé", a expliqué un porte-parole de l'Agence de sûreté. Il a toutefois ajouté que, si la radioactivité relâchée dans l'océan se  diluait avec les marées, la quantité absorbée par les algues et animaux marins pourrait être moindre.

 

"En outre, la concentration d'iode se réduit de moitié tous les huit jours, donc lorsque les gens mangeront les produits de la mer, sa quantité aura probablement fortement diminué", a-t-il précisé. Pour autant, la situation n'empire pas à la centrale mais la vigilance reste de mise, a déclaré samedi le secrétaire général du gouvernement japonais, Yukio Edano.

 

Greenpeace va effectuer ses relevés (…) 

Source LCI/TF1

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 17:57

 

 

EDF : Deutshe Bank dégrade à vendre

 

(AOF) - Deutsche Bank a dégradé sa recommandation sur EDF de Conserver à Vendre et abaissé son objectif de cours de 35 à 26 euros. Le broker pense que l'accident nucléaire au Japon va entraîner une hausse de 20% (9 milliards d'euros) des dépenses de maintenance des centrales nucléaires du français d'ici 2015. Le bureau d'études estime qu'EDF risque de générer en France un free cash flow négatif durant les 5 prochaines années tandis que sa dette va augmenter de 13 milliards d'euros à 45,3 milliards. En conséquence, le courtier a abaissé de 14% sa prévision de bénéfice par action jusqu'en 2013.

 

Sans visibilité sur la hausse potentielle des tarifs avant les élections présidentielles de 2012, Deutsche Bank estime que le profil de risque d'EDF est devenu fondamentalement pas attractif, et ce alors que le marché sous-estime les prochaines dépenses d'investissement du groupe.

 

AOF - EN SAVOIR PLUS

 

Les points forts de la valeur

- EDF est le leader du marché français de l'électricité et un des leaders européens de l'énergie avec de fortes positions, au Royaume-Uni et en Italie.

- Le groupe présente un beau potentiel de développement car les besoins énergétiques futurs sont énormes : d'ici une dizaine d'année, 1 milliard de personnes devraient accéder à l'électricité dans le monde.

- En mettant la main sur British Energy, EDF devient le principal acteur de la relance du nucléaire en Grande-Bretagne. Cela répond à sa volonté de devenir le premier acteur mondial dans ce domaine.

- EDF est considéré, grâce à ses filiales Edison et EDF Energy, comme un véhicule pour jouer la convergence du marché européen de l'électricité.

- EDF a mis fin à l'automne 2010 au conflit qui l'opposait à son partenaire américain Constellation Energy, alors que les marchés redoutaient une longue bataille procédurale. EDF va donc pouvoir poursuivre son développement aux Etats-Unis et participer au renouveau du nucléaire civile Outre-Atlantique.

- Même si depuis 2007 le marché français est ouvert à la concurrence, le leadership d'EDF n'est, pour le moment, pas menacé du fait de prix de revient très compétitifs grâce à ses réacteurs nucléaires.

- L'électricien devrait obtenir un délai supplémentaire de cinq ans pour constituer la soulte destinée au démantèlement des centrales nucléaires (près de 17 milliards d'euros au total). L'échéance serait reportée à juin 2016. Cette décision va permettre au groupe de se consacrer à ses projets de développement et à son désendettement.

- La cession, surprise, de sa participation de 45,01% dans le quatrième groupe énergétique allemand, EnBW, au Land de Bade-Wurtemberg permet à EDF d'alléger son endettement de 7 milliards d'euros.

 

Les points faibles de la valeur

- Les incertitudes sur le tarif qui sera retenu pour l'électricité vendue aux concurrents dans le cadre de la loi Nome (Nouvelle Organisation du Marché de l'Electricité) pèsent sur le titre. Cette loi, qui entre en vigueur courant 2011, va obliger EDF à céder une partie de sa production nucléaire - jusqu'à un quart - à ses concurrents à un prix inférieur à celui du marché. Le prix sera fixé par décret début 2011.

- Le groupe a acheté la paix sociale en accordant une augmentation de plus de 4% des salaires, qui devrait s'élargir aux 35.000 salariés de la filiale de distribution ERDF, ce qui va peser sur ses coûts.

- La croissance externe a provoqué une forte croissance de l'endettement net.

- La croissance à l'international est parfois contrariée comme le démontre le départ surprise d'Allemagne.

  • L'intervention de l'Etat, qui détient près de 85% du capital, brouille la visibilité. (La suite)

  • Source LCI Bourse en Ligne

 

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 09:21

 

 

Allemagne: neuf réacteurs nucléaires sur 17 éteints à partir de samedi

 

L'Allemagne inquiète de la centrale de Fessenheim

 

Suisse : Contre le nucléaire français trop proche de la Suisse

 

Espagne : Les déchets nucléaires resteront en France

Ben voyons !


Italie: pause de réflexion sur le nucléaire avec un moratoire d'un an

 

Turquie : Nuage japonais sur le projet nucléaire en Turquie

 

France : Sarkozy défend ses choix, plaide pour le dialogue entre politiques et chercheurs

Mais on va faire un "audit" ...

 

L'Autorité de sûreté nucléaire chargée d'un audit des centrales françaises

"En lisant l’article on s’aperçoit que le cahier des charges date de 2006... donc rien de nouveau sous le soleil nucléaire "

 

Audit des centrales : "subterfuge"

L'audit des 58 réacteurs nucléaires français, annoncé par le Premier ministre François Fillon, n'est qu'un "subterfuge visant à éviter la remise en cause de l'industrie" de l'atome dans l'Hexagone, a estimé jeudi l'association Observatoire du Nucléaire.

 

Il s'agit d'une "opération de contre-feux dont le résultat, qui doit être annoncé dans 6 mois, est connu à l'avance : l'Autorité de sûreté nucléaire expliquera que les réacteurs français sont +parfaitement sûrs+", assure l'Observatoire du Nucléaire dans un communiqué. Suite 

 

Gageons qu’il y aura des "réajustements" à effectuer qui n’ont pas été pris en compte dans le coût du kw, (il fallait être attractif en conservant un prix qui ne comptait ni le coût du démantèlement, ni de l’enfouissement...) En 5 ans, le gouvernement compte augmenter ses prix de 30% :

Nouvelle hausse du prix de l’électricité ?

 

 

 

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