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Qui a tué nos villages ?

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 09:29

 

Supérieure à 80 ans, l’espérance de vie en France est l’une des plus élevées au monde. Mais les disparités d’espérance de vie et les inégalités d’espérance de vie en bonne santé entre les catégories socioprofessionnelles sont importantes. Article extrait de Retraite et société.

 

L’espérance de vie française est l’une des plus élevées au monde dépassant 80 ans depuis le début des années 2000 (Pison, 2005). Les conséquences de cette grande longévité sur l’état de santé de la population sont devenues un enjeu majeur de santé publique. Les années de vie gagnées au cours des dernières décennies sont-elles des années vécues en bonne santé ou avec des maladies, des incapacités ou en situation de dépendance (Fries, 1980 ; Kramer, 1980) ? Les dynamiques démographiques et sanitaires doivent être analysées conjointement afin d’évaluer les besoins de la population et d’y répondre par une offre de soins, d’assistance ou de prise en charge adaptée. Mais l’analyse de ces dynamiques devient aussi fondamentale pour évaluer les chances de participation sociale des plus âgés compte tenu de leur état de santé. On s’interroge notamment sur les chances de participation au marché du travail des personnes de plus de 50 ans. Cette question s’inscrit naturellement dans le débat public alors que l’augmentation de la durée de cotisation requise pour obtenir une retraite à taux plein se poursuit depuis 1993 et qu’on évoque un possible report de l’âge légal de départ à la retraite au-delà de 60 ans. (…) 

Source Observatoire des Inégalités

Le dossier 

 

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 09:27

 

L'attitude de l'armée fait depuis le début de la contestation l'objet de toutes les spéculations.

 

«L'armée ne tirera pas sur le peuple», dont elle considère les demandes «légitimes». Un porte-parole de l'armée a jeté le trouble, lundi en début de soirée, en intervenant en direct sur les ondes de la télévision d'État, alors que les manifestants anti-Moubarak prévoient aujourd'hui une grande marche vers le palais présidentiel. Les militaires avaient déjà prévenu samedi qu'ils n'interviendraient pas contre les manifestants, et les scènes de fraternisation ont achevé de convaincre les Égyptiens que «le peuple et l'armée ne font qu'un», le slogan le plus entendu depuis vendredi au Caire. Mais tous les Égyptiens s'interrogent pour savoir s'il faut y voir un «lâchage» en règle du raïs.

 

L'attitude de l'armée fait depuis le début de la contestation l'objet de toutes les spéculations. Beaucoup d'experts voient dans le flottement des derniers jours le signe de dissensions au sein de la hiérarchie militaire. Pour compliquer les choses, les deux hommes de confiance nommés dimanche par Hosni Moubarak, le premier ministre Ahmed Chafiq, ancien commandant en chef des forces aériennes, et le vice-président Omar Souleiman, ex-chef des services de renseignements militaires, ont la réputation de ne pas entretenir les meilleures relations. Ajoutant à la confusion, les deux hommes se sont dits, l'un après l'autre lundi, mandatés pour dialoguer avec l'opposition.

 

Premier entrepreneur du pays (…) 

Source Le Figaro

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 08:54

 

 

Vendredi 21/01/2011, après les "serrages de mains aux élus, lors d’une manifestation pacifique de citoyens et d'élus venus soutenir leur communauté de communes (CdC Autour d'Anduze) menacée d'éclatement par la volonté d'expansion de l'agglomération d'Alès, le commandant de gendarmerie présent a réprimé avec une violence inouïe.

 

Gazage et matraquage sans aucune sommation alors qu'il n'y aucune violence ni dégradation. Une vidéo amateur montre clairement les faits : des manifestants pacifiques, des élus (en écharpe), des personnes âgées gazés et matraqués, des manifestants blessés et des enfants qui courent. Si c'est ainsi que les préfets entendent mener la réforme territoriale, ça promet. Tout cela est lamentable.  Nous avons besoins de tous les citoyens pour dénoncer ce qui s'est passé ce jour là à Anduze. N'hésitez pas à diffuser largement ce message à l'ensemble de vos contacts.

 

 

 

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 08:45

 

 

Le gouvernement botswanais coupable de ‘traitement dégradant’.

Un cas décrit comme une ‘déchirante histoire de souffrance et de désespoir’.

La Cour d’appel botswanaise a pris la décision de rejeter un jugement qui interdisait aux Bushmen l’accès à l’eau sur leurs terres ancestrales.

Appuyés par Survival, les Bushmen avaient fait appel d’une décision de la Haute cour botswanaise de 2010 qui leur interdisait l’accès à un puits dont ils dépendent pour s’approvisionner en eau. Le panel de cinq juges a estimé que :

-  les Bushmen ont le droit d’utiliser leur ancien puits qui avait été interdit par le gouvernement ;
-  les Bushmen ont le droit de forer de nouveaux puits ;
-  l’attitude du gouvernement à l’égard des Bushmen équivalait à un ‘traitement dégradant’ ;
-  le gouvernement est redevable des frais du procès en appel engagés par les Bushmen.


Se réjouissant de cette décision, un porte-parole bushman a déclaré : ‘Nous sommes très heureux que nos droits soient enfin reconnus. Cela fait si longtemps que nous attendons ce moment. Comme tout être humain, nous avons besoin d’eau pour vivre. Nous avons aussi besoin de notre terre. Nous prions pour que le gouvernement nous traite désormais avec le respect qu’il nous doit’.


En 2002, le gouvernement botswanais a expulsé les Bushmen de leurs terres ancestrales dans la réserve du Kalahari central. Ils ont alors intenté un procès au gouvernement et après quatre années de bataille judiciaire, la Haute cour botswanaise a reconnu qu’ils avaient été évincés de manière ‘illégale et anticonstitutionnelle’ et qu’ils avaient le droit de retourner sur leurs terres ancestrales.


Cependant, le gouvernement a tenté par tous les moyens d’empêcher les Bushmen de retourner chez eux, notamment en scellant l’unique puits dont ils disposaient dans la réserve. Bien que privés d’eau, de nombreux Bushmen purent rentrer chez eux, survivant grâce à l’eau de pluie et des melons qu’ils cultivent dans le désert, ou parcourant de longues distances à pied ou à dos d’âne pour s’approvisionner en dehors de la réserve.


Les Bushmen ont intenté un nouveau procès au gouvernement afin de récupérer l’accès à leur puits. Cependant, le juge Walia qui présidait l’audience de 2010 s’était prononcé en faveur du gouvernement argumentant que ‘si les Bushmen vivaient dans l’inconfort, ils ne pouvaient s’en prendre qu’à eux-mêmes’. Sa décision a été renversée de manière unanime par la Cour d’appel qui a statué qu’interdire l’accès au puits relevait d’un ‘traitement dégradant’ contraire à la Constitution.


L’attitude du gouvernement vis-à-vis des Bushmen a été amplement condamnée : la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples l’a critiqué pour leur dénier le ‘droit à la vie’ et le Rapporteur spécial des Nations-Unies sur les peuples indigènes a estimé que les Bushmen étaient confrontés à des conditions de vie ‘déplorables et dangereuses en raison de leur manque d’accès à l’eau’.


Aggravant la détresse des Bushmen, le gouvernement a fait forer dans la réserve de nouveaux puits exclusivement destinés à la faune sauvage et a autorisé la compagnie Wilderness Safaris à implanter un lodge touristique de luxe avec piscine au cœur même de leur territoire. Une pétition appelant Wilderness Safaris à installer son lodge en dehors du territoire bushman a recueilli à ce jour 30 000 signatures.


Le gouvernement a également donné son feu vert à la compagnie Gem Diamonds pour exploiter un gisement de diamants d’un potentiel de 3 milliards de dollars dans l’une des communautés bushmen et continue d’interdire la chasse alimentaire dans la réserve.


Stephen Corry, directeur de Survival International, a déclaré aujourd’hui : ’C’est une immense victoire, tant pour les Bushmen que pour le Botswana. Nous espérons que cette décision sera respectée par les autorités et qu’elle ne sera pas perçue comme un obstacle à leurs efforts visant à chasser les Bushmen de la Réserve pour faire place à l’exploitation diamantifère. Il appartient désormais au président Khama de décider si oui ou non la position du gouvernement changera à la lumière du verdict. Il s’agit au demeurant d’une victoire pour les droits de l’homme et pour la primauté du droit au Botswana’.

Source Survival

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 08:41

 

Le 29 janvier, un article de Michel Chossudowsky sur le site Global Research(Canada), intitulé « The Protest Movement in Egypt: "Dictators" do not Dictate, They Obey Orders », souligne le rôle de longue date de Hosni Moubarak et Zine el-Abidine Ben Ali en tant que « fidèles serviteurs » des intérêts des puissances occidentales. Il rappelle notamment le « programme dévastateur » imposé à l'Egypte par le Fonds Monétaire International (FMI) depuis 1991. L'article met également en évidence le danger de voir se mettre en place une sorte de « régime de remplacement » à façade démocratique mais qui, sur les questions essentielles, se bornerait à poursuivre la même politique tout en opérant un rapprochement avec les lobbies financiers et industriels des Etats-Unis. Pareil, et au détriment notamment des réseaux d'influence français équivalents, dans le cas de la Tunisie.

 

Le 29 janvier, Romandie Newsdiffuse à son tour une dépêche intitulée « Egypte: reprise des émeutes - Moubarak nomme un vice-président ». Le vice-président désigné, Omar Souleïmane, étant jusqu'à ce jour le responsable des services de renseignement égyptiens.

 

Dans une deuxième dépêche, Romandie Newsfait également état de la nomination d'un Premier Ministre après la démission du gouvernement. Il s'agit en l'occurrence du général ministre de l'Aviation, Ahmad Chafic. Au même moment, une actualité du Parisiendéclarée « en direct » porte le titre « Egypte : au Caire, les manifestants font le siège de la place Tahrir ». Les manifestants demandent toujours le départ d'Hosni Moubarak. Au même moment aussi, alors qu'un « retour au calme » apparent est annoncé en Tunisie (Euronews), se tient à Davos la réunion annuelle du Forum Economique Mondial. D'après Le Figaro, le nouveau gouverneur de la Banque de Tunisie, Mustapha Kamel Nabli, y a notamment déclaré : « la démocratie est bonne pour l'investissement ». D'après Investir en Tunisie, la cotation reprendra lundi à la Bourse de Tunis. Europe 1fait état d'une réunion sur l'Egypte à la Maison Blanche le 29 janvier.

 

De son côté, la Maison Blanche a mis en ligne une note de blog intitulée « President Obama on the Situation in Egypt: "All Governments Must Maintain Power through Consent, Not Coercion" », avec des déclarations de Barack Obama du 28 janvier sur l'Egypte qui font suite à un entretien téléphonique avec Moubarak le même jour. Autant d'éléments qui incitent à examiner de près les avis rendus il y a moins d'un an par le FMI sur la situation en Egypte, avec un clair soutien à la politique du président égyptien, élève appliqué de ses « experts ».

 

La situation économique des populations tunisienne et egyptienne, dans le contexte d'une politique largement pilotée par le FMI, a été l'un des grands déclencheurs des crises récentes.

Mais sur ce plan, la politique des nouveaux gouvernements sera-t-elle fondamentalement différente ? Rien ne tend, à ce jour, à le prouver.


S'agissant de l'Egypte, l'article de Michel Chossudovsky  rappelle, notamment, la politique de déréglémentation du prix de la nourriture, de vastes privatisations et d'austérité générale imposée par le FMI et appliquée pendant deux décennies par le régime de Moubarak. Il en a résulté l'appauvrissement de la population et une déstabilisation générale de l'économie.


A des modalités près, la même politique suivie depuis deux décennies par les gouvernements des pays dits riches qui, de surcroît, se sont livrés à des délocalisations sans précédent de leur économie, de leur recherche et de leur haute technologie. La crise actuelle de l'économie mondiale en a été le résultat.

Voir également nos articles :

Le FMI et la Tunisie
Alliot-Marie et la Tunisie

et l'article de Michel Chossudowsky « La Tunisie et les dictats du FMI » 

 

En avril 2010, les « experts » du Fonds Monétaire International apportaient encore leur bénédiction à la politique d'Hosni Moubarak, comme en témoigne le communiqué :

IMF Executive Board Concludes 2010 Article IV Consultation with the Arab Republic of Egypt

La suite 

Source Courrier international

 

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L’Egypte en flammes

 

Une puissante vague de colère des masses arabes misérables et sans travail ébranle le jeune, vorace et brutal capitalisme des pays d’Afrique du Nord et du Moyen Orient soutenu par le vieux et sanguinaire capitalisme d’Europe et d’Amérique. Anticipation d’une vague sociale qui ne peut se conclure en faveur de la grande majorité de la population que par l’entrée en scène de la classe ouvrière.

 

 

Depuis 5 jours les rues du Caire, d’Alexandrie de Suez et de beaucoup d’autres villes égyptiennes sont le théâtre d’une formidable vague de colère des masses qui ne supportent plus de vivre dans le chômage, la misère et la faim: après la Tunisie et l’Algérie c’est maintenant le tour de l’Egypte.

 

Les médias de l’opulent monde occidental, qui ne peuvent plus maintenant cacher la sauvage répression policière, centrent toutes leurs informations sur le «manque de réformes» et l’absence d’une «véritable démocratie»! Il a fallu attendre que les masses, bravant la répression, fassent éclater leur colère en attaquant des édifices publics, brûlant ce qu’ils pouvaient, jetant des pierres, renversant des blindés, s’affrontant au corps à corps avec la police, défiant le couvre-feu et les tirs des forces de répression, pour que ces médias reconnaissent que ces régimes soudoyés, protégés et armés par les démocraties occidentales et en premier lieu les Etats-Unis, ont maintenu l’ordre et le contrôle social par une violence policière systématique et généralisée; qu’ils ont arrêté, torturé et fait taire toute opposition par tous les moyens, pour avoir les mains libres et accumuler en quelques années d’énormes richesses pour leurs clans – et leurs parrains étrangers.


Les timides demandes faites par les Obama, Merkel, Sarkozy et cie au régime de Moubarak (et auparavant à celui de Ben Ali) pour qu’il fasse de façon urgente des concessions afin de répondre aux demandes les plus urgentes des masses (pain et travail, en définitive) démontrent à quel point les impérialistes ont été surpris par la vague d’émeutes qui s’étendent dans les pays du Maghreb et du Moyen-Orient.

 

Les Démocraties occidentales se soucieraient-elles soudainement de la misère que connaissent depuis des années les prolétaires et les masses paysannes de ces pays?

 

Pas le moins du monde! La suite 

Source Le Prolétariat Universel

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 08:40

 

 

Le ministre de l’Intérieur Dahou Ould Kablia a réaffirmé l’interdiction de toute marche pacifique dans les rues d’Alger, pour des « raisons de sécurité ». Pourtant la « Coordination nationale pour le changement et la démocratie » ( qui rassemble des syndicats autonomes, des associations et des militants politiques et des droits de l’homme) a prévu de manifester samedi 12 février pour revendiquer notamment la levée de l’état d’urgence. Et avant elle, des chômeurs veulent aussi battre le pavé. Les jours qui viennent s’annoncent agités.

Si l’on en juge par les moyens humains et matériels importants dont dispose aujourd’hui la police algérienne, il est presque impossible de braver l’interdiction de manifester. Toute tentative se transforme automatiquement en une épreuve de force. La suite 

 

Source DNDF

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 08:39

 

 

En cherchant un peu sur le web, on peut trouver un grand nombre d’indicateurs qui expliquent que Haïti, la plus petite partie de Hispaniola (l’autre, et plus grande partie de l’île, étant la République Dominicaine ou Saint-Domingue) représente un potentiel énorme en ressources pétrolières, aurifères, mais également en Iridium (métal rare du groupe du Platine qui est actuellement utilisé dans l’industrie militaire : missiles nucléaires, mais aussi dans le développement de l’industrie liée à la conquête de l’espace : fusées, système de mise en orbite, etc…).

 

A la lumière de ces éléments, on pourrait facilement en déduire que la volonté et l’énergie déployées par Washington pour déployer rapidement entre 12 et 15.000 soldats sur le sol haïtien dans une mission qui, comme l’annonce le haut commandement militaire US, se prolongera dans le long terme.

 

Dans les années 70 des travaux géophysiques ont été entrepris en divers points d’Haïti. Les forages ont signalé la présence d’huile et de gaz révélateurs de l’existence de pétrole. Des réservoirs de pétrole ont été localisés dans les sédiments marins entre 6000 à 7000 mètres de profondeur dans le Canal de la Gonâve et spécifiquement dans la Baie de Rochelois à l’Ile de la Gonâve.

 

Parmi les zones d’intérêt potentiel, citons le Plateau Central, la partie terrestre de la Plaine du Cul-de-Sac et la Grande Caïmite. « L’état actuel des connaissances accumulées sur le potentiel pétrolier haïtien est suffisamment satisfaisant pour attirer des investissements. » conclut le rapport No 3 du Bureau des mines d’Haïti.

 

Mais pourquoi ne peut-on pas exploiter le pétrole d’Haïti et soulager la misère du Peuple haïtien ? La suite 

Source Cent Papiers

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 08:38

 

 

 

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 08:37

 

 

D’après une déclaration de Romano Prodi , Nicolas Sarkozy et Silvio Berlusconi s’apprêteraient à demander à leurs homologues, lors du Conseil Européen du 4 février, « l’intégration » du nucléaire dans « les objectifs » de l’Union, « en passant du concept d’énergie renouvelable à celui d’énergie décarbonée ». Le nucléaire bénéficierait ainsi des aides attribuées habituellement aux EnR. FNE réagit.

Dans le nucléaire, seule la pollution est durable

Pour Benoit Hartmann, porte-parole de FNE : « le greenwashing est sans limite. Voici que l’on invente le concept du nucléaire écolo ! Arguant que le nucléaire serait une énergie « décarbonée », la France s’apprêterait à justifier l’expansion de son programme nucléaire sur cette base. Mais le nucléaire est-il vraiment décarboné ? »

Extraction et transport de l’uranium, construction, fonctionnement, démantèlement de la centrale, transport et gestion des déchets radioactifs, on ne peut pas vraiment parler d’énergie décarbonée. Sans compter que le CO2 ne peut être l’unique critère pour une industrie qui ne sait pas encore comment se débarrasser de ses déchets les plus dangereux et qui ne sait pas non plus comment démanteler correctement les installations à l’arrêt et remettre en état les sites. Bel héritage pour les générations futures !

Le nucléaire tue aussi les énergies renouvelables

Pour Maryse Arditi, pilote de la mission Energie de FNE : « le soutien sans faille de l’Etat français à l’égard du nucléaire est grandement responsable du retard de la France en matière d’énergies renouvelables. Ce n’est pas par hasard si les allemands qui ont mis un coup de frein sur leur programme nucléaire sont si en avance pour le développement des filières éoliennes et photovoltaïque. »

La politique énergétique est à un carrefour. Soit nous continuons comme par le passé avec une industrie nucléaire de plus en plus omniprésente, des lignes THT sur tout le territoire et des gaz de schistes pour finir de détruire l’environnement et alimenter en carburant des 4X4 et des camions de 44 tonnes. Soit nous nous lançons dans une vraie perspective d’avenir avec un développement enfin moins consommateur d’énergie (la consommation d’électricité a encore augmenté en 2010), des énergies renouvelables gratuites et abondantes, une plus grande autonomie énergétique des territoires, une recherche active pour mieux utiliser les flux d’énergie (améliorer la performance énergétique) et un soutien renforcé aux innovations les plus performantes et les plus respectueuses de l’environnement.

Bruno Genty, président de FNE : « j’attends un message clair du Ministère de l’industrie, du Ministère de l’Ecologie et plus globalement de l’Etat sur la position qu’ils comptent défendre au sein de l’Union Européenne ».

Source France nature environnement

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 08:36

 

 

Les Algérois sont assaillis, ces jours-ci, de rumeurs sur l’imminence d’un changement de gouvernement, des rumeurs restées sans suite, mais qui suscitent un lourd climat d’attente, alors que les esprits sont encore marqués par les émeutes de début janvier. Dans l’immédiat, la contestation est relayée par une coordination civique qui appelle à une marche pacifique le 12 février prochain à Alger, malgré l’interdiction stricte de toute manifestation.

Des syndicats autonomes, des militants des droits de l’homme, des militants politiques, quelques partis comme le Rassemblement pour la culture et la démocratie se sont regroupés au sein d’une coordination, dénommée la « Coordination nationale pour le changement et la démocratie». Ils appellent à une marche nationale pacifique à Alger le samedi 12 février, pour « exiger la levée de l’état d’urgence, l’ouverture du champ politique et médiatique et la libération des personnes arrêtées durant des manifestations ou pour des délits d’opinion ». Suite 

Source Tchadonline

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