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Qui a tué nos villages ?

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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 12:30

 

Les Français vont être plus nombreux à payer l’impôt sur le revenu cette année. Pourquoi? C’est la conséquence, jusqu’ici passée inaperçue, de la non-prise en compte de l’inflation dans le calcul de l’impôt.

 

La surprise va être de taille pour 100000 à 200000 foyers français. Alors qu’ils étaient jusqu’ici dispensés d’impôt sur le revenu, ils devront en septembre envoyer un chèque au fisc.

 

Pourquoi? Sans s’étendre sur les conséquences de la mesure, le gouvernement a annoncé, lors du deuxième plan de rigueur en novembre 2011, le gel du barème de l’impôt sur le revenu (IR), et ce pour deux années consécutives (2012 et 2013).

 

Une vraie rupture car, depuis quatre décennies, la grille sur laquelle repose le calcul de l’impôt était révisée chaque année pour tenir compte de la hausse du coût de la vie (c’est ce qu’on appelle l’indexation sur le taux d’inflation). Or, il y a bien eu augmentation des prix l’an dernier (2,1%) et, malgré cela, l’ajustement traditionnel n’a pas eu lieu.

 

Douloureuse découverte… en septembre

 

Résultat : plus de 100000 foyers vont payer l’impôt pour la première fois cette année; par effet domino, nombre de contribuables pourraient changer de tranche, et plus généralement ceux qui ont gagné plus d’argent en 2011 paieront plus en 2012. « Le gel du barème a un effet mécanique : cela conduit à une augmentation généralisée de l’impôt sur le revenu », décrypte Vincent Drezet, du Syndicat national unifié des impôts (Snui). Lire la suite sur Le Parisien 

 

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 11:58

 

 

Les inégalités de revenus se sont accrues au cours des dix dernières années. Le revenu annuel moyen des 10 % les plus modestes s’est élevé de 610 euros entre 1999 et 2009, celui des 10 % les plus riches de 8 190 euros.

 

Le jugement que l’on peut porter sur les inégalités de revenus dépend de l’échelle de temps et de l’instrument de mesure que l’on utilise. Contrairement à une thèse répandue, la question n’est pas de "faire dire ce qu’on veut aux chiffres", mais de se mettre d’accord à la fois sur les dates d’observation et les outils.

 

Depuis les années 1970

 

L’outil utilisé le plus souvent pour mesurer les inégalités de revenus est le rapport entre ce que touchent les 10 % les plus riches et ce que touchent les 10 % les plus pauvres. C’est une mesure relative des inégalités. Les statisticiens appellent cet indicateur, le "rapport interdécile". Plus exactement, il ne s’agit pas de ce que "touchent" les plus riches et les plus pauvres, mais de valeurs limites : le rapport entre le niveau de vie minimum des 10 % les plus riches (ce qui s’appelle un décile, le neuvième) et le niveau de vie maximum des 10 % les plus pauvres (un autre décile, le premier). Tout cela, après impôts directs et prestations sociales.

 

Avec cet outil, et si l’on observe les choses depuis les années 1970, la diminution est nette : le rapport interdécile est passé de 4,6 à 3,4. On peut bien parler d’une baisse des inégalités qui a eu lieu entre 1970 à 1984, ensuite l’évolution est très faible.

 

L’évolution entre 1999 et 2009

Il est juste de mesurer les évolutions des inégalités sur une longue période, les commentaires sur les variations d’une année sur l’autre n’ont pas grande valeur compte tenu des écarts de mesure. Mais remonter 40 ans en arrière est tout de même une bien longue période. Si l’on se concentre sur les dix dernières années, l’observation est différente. Surtout si à la place des "déciles", on observe le revenu moyen de chaque tranche de 10 %. Une très forte progression des 5 % les plus riches peut ne rien modifier à la valeur du neuvième décile (celui qui sépare les 90 % les moins riches des 10 % les plus riches), mais elle va accroître la valeur moyenne de la tranche. Les moyennes comprennent des très bas et des très hauts revenus, qui ne sont pas pris en compte quand on ne s’intéresse qu’aux valeurs limites des tranches.

L’observation que l’on peut faire sur dix ans est sensiblement différente. Entre 1999 et 2009, le niveau de vie moyen des 10 % les plus pauvres a progressé de 8,4 % soit 610 euros, une fois l’inflation déduite. Le niveau de vie moyen des 10 % les plus riches a augmenté de 18,2 % soit 8 190 euros. L’écart relatif entre ces deux catégories a augmenté : les plus modestes touchent 6,7 fois moins que les plus aisés, contre 6,2 fois en 1999. En valeur absolue, l’écart est passé de 37 730 à 45 310 euros. En moyenne, les 10 % les plus riches ont gagné près de 8 mois de Smic net supplémentaires en dix ans. Voir les graphiques et lire l’article sur Observatoire des inégalités

Lire aussi : Riches, toujours plus 





 

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 11:56

 

 

La nouveauté concernerait cent mille à deux cent mille foyers, selon les estimations de la commission des finances de l'Assemblée nationale. Pour eux, qui étaient jusqu'ici dispensés d'impôt sur le revenu, il s'agira désormais de payer le fisc, relève Le Parisien du lundi 6 février. En cause, une mesure glissée au beau milieu du plan de rigueur de novembre 2011 : le gel du barème de l'impôt sur le revenu pour deux années consécutives, 2012 et 2013, soit sa désindexation du taux de l'inflation. En d'autres termes, il n'y a plus d'ajustement de cet impôt à la hausse des prix, qui a pourtant atteint 2,1 % en 2011 selon le quotidien.

 

Les familles non imposables, outre le fait de goûter pour la première fois aux joies de la feuille d'impôts, risquent ainsi de perdre les aides qui correspondaient à leur tranche – des tarifs de cantine aux réductions dans les transports. Les conséquences sont également non négligeables pour des milliers d'autres foyers qui, par effet domino, changeront de tranche et devront payer davantage cette année, note encore Le Parisien. La suite sur Le Monde 

 

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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 21:54

 

Par temps de grand froid, l'AS Nancy-Lorraine (L1) utilise jusqu'à 2 000 litres de fioul par jour pour éviter que la pelouse du stade Marcel-Picot ne gèle, l'amende en cas de match annulé au dernier moment pouvant atteindre 250 000 euros, a indiqué le club lundi 21 décembre.

 

La pelouse du club lorrain est ainsi bâchée et chauffée depuis le 12 décembre, et les quatre moteurs diffusant l'air chaud sous la bâche consomment environ 2 000 litres de fuel par jour, explique son directeur général, Nicolas Holveck.

 

S'il ne met pas tout en œuvre pour maintenir un terrain praticable et que la rencontre est annulée au dernier moment, le club risque de recevoir une amende de la Ligue de football de 40 000 euros, plus les frais de dédommagement de l'équipe adverse. En cas de match télévisé, les frais peuvent s'élever à 250 000 euros, poursuit M. Holveck.

 

PELOUSE CHAUFFANTE À SOCHAUX

 

A Metz (L2), le stade Saint-Symphorien est bâché et chauffé depuis le 14 décembre afin d'être maintenu à 1,5 °C. Avec les températures descendues à - 15 °C, 1 200 litres de fuel (à 60 centimes le litre) ont été utilisés pour le match prévu lundi soir, indique Jean-François Girard, responsable du stade. Le match a finalement été reporté en raison des chutes de neige qui ont rendu le terrain impraticable. La suite sur Le Monde


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Note personnelle :

Voilà qui va réchauffer le coeur des familles qui n'ont pas les moyens de se chauffer. Quant à la pollution... C'est vrai, c'est un truc de bobos !!

Enfin, on se pose la question des valaurs fondamentales du sport.

 

 

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 18:51

 

 

Le 2 février, lors d’un débat animé au Palais-Bourbon, plusieurs députés de l’opposition ont dénoncé le manque de transparence et l’insuffisance des contrôles des partenariats public-privé. Le ministre de l’Industrie, Éric Besson, a défendu ces contrats qui ont permis la réalisation de 18 milliards d’euros d’investissements publics depuis 2002.



Les députés du Front de gauche, emmenés par le communiste Roland Muzeau, vont demander une commission d’enquête parlementaire sur le nouveau centre hospitalier sud-francilien, construit en partenariat public-privé (PPP) et qui vient d’ouvrir ses portes dans l’Essonne. Selon le député, qui participait le 2 février au débat de l’Assemblée nationale sur les PPP, la création de l’hôpital sud-francilien, présenté comme le fleuron de la politique hospitalière du gouvernement, a “tourné au cauchemar”.


L’établissement, construit par le groupe Eiffage et qui a ouvert ses portes fin janvier avec huit mois de retard, a fait l’objet de 8 000 malfaçons, a rappelé Roland Muzeau, qui a égrené une série de chiffres à l’appui de son argumentation. La polémique a d’autant plus enflé qu’Eiffage a réclamé une rallonge de 100 millions d’euros et que le loyer dû par l’État dès 2011 a été réévalué de 29 à plus de 40 millions d’euros annuels… Ce loyer devra être payé pendant trente ans, avant que l’État ne devienne propriétaire de l’établissement. Roland Muzeau a stigmatisé “l’échec” de ce partenariat public-privé qui “n’a pas permis de réaliser l’établissement plus vite et à moindre coût”. En séance, l’élu des Hauts-de-Seine a exigé la communication des termes du contrat actuel.

Contrat Balard, “secret-défense” ? La suite sur Acteurs Publics 



 

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 13:37



Lire l'intégralité du rapport : "Les retraites de nababs des hauts fonctionnaires européens"


D'accord, rien de comparable avec les retraites en or des pdg, mais les 129 - très - hauts fonctionnaires de l'Union européenne (commissaires, juges, greffiers...) n'ont vraiment pas à se plaindre. Aucun régime de retraite de la fonction publique dans les 27 États membres n'est aussi favorable. Et pour cause, un commissaire européen, un juge, un avocat général de la Cour de justice... n'acquittent aucune cotisation, contrairement au fonctionnaire européen lambda qui, lui, verse 10,90 % de son traitement de base.

Mais pour ce tarif zéro, les hauts fonctionnaires de l'Union bénéficient de prestations luxueuses détaillées dans un rapport que s'apprête à publier Sauvegarde Retraites, association connue pour son obstination à traquer les abus. Ainsi, quand ils abandonnent leurs fonctions, les maîtres de l'Union peuvent toucher jusqu'à 70 % d'un dernier traitement très confortable. Les émoluments de ces "superfonctionnaires" s'élèvent, en moyenne, à 21.260 euros mensuels. Au bas de l'échelle, le greffier du Tribunal de la fonction publique touche 16.327 euros. En haut, le président de la Cour des comptes perçoit 23.405 euros et celui de la Cour de justice 26.651 euros, et cela, sans indemnités et autres suppléments familiaux (par exemple, plus de 2.000 euros par mois pour 3 enfants à charge !).

Pour obtenir les 70 % de leur dernier salaire pour leurs retraites, les hauts fonctionnaires de l'Union n'ont pas besoin de trimer 40,5 ans, comme dans le privé, en France. Il suffit de "tenir" 16 ans. La vérité oblige à dire qu'il est assez rare de parvenir à ce seuil fatidique compte tenu de la durée des mandats, mais même un court passage reste avantageux. Ainsi, Jacques Barrot, vice-président de la commission chargée des transports, au terme de seulement 5 ans de mandat, aura droit, en octobre, à une pension de 4.728,20 euros.

Les partants peuvent espérer toucher entre 300.000 et 500.000 euros La suite sur Le Point

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 19:30



Tels des signes prophétiques, des voix annonçaient bel et bien que l’actuel chef de l’État serait celui qui dégraderait la France.

Pourtant, Nicolas Sarkozy et ses cohortes avaient érigé le maintien du Triple A en priorité nationale ; à la face des Européens, le locataire de l’Élysée n’avait pas craint de se poser en sauveur suprême !

On se souvient des leçons de bonnes conduites prodiguées à la Grèce, à la gauche, au centre, et même à la droite… et des propos culpabilisants, voire des invectives, proférés contre celles et ceux qui osaient s’interroger sur les réelles motivations qui le guidaient dans sa volonté d’imposer la fameuse « règle d’or ».

Pire, ni le premier, ni le second plan de ruine de la population, baptisés « de rigueur », n’ont réussi à sauver la note française. Ainsi donc, après avoir saigné les plus fragiles, pour beaucoup, la question est la suivante : pourquoi ce gâchis humain ?

Et maintenant, que peut-il bien se passer ? Nul n’ignore qu’un nouveau plan d’austérité ferait bien l’affaire des « marchés financiers »… et que nos gouvernants, pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, sont prêts une fois encore à les satisfaire.

Car en cette fin chaotique d’un quinquennat de vaches maigres, il est plus clair que jamais que les dirigeants français servent avant tout un système. Un système qui, comme diraient les agences de notation, « dégrade » tout ce qui est humain et ce qui n’est pas monnayable.

Même paré du titre « libéral », ce système ressemble bien aux autres dispositifs totalitaires. Comme eux, il prétend faire le bonheur du plus grand nombre, au service d’une élite dont l’enrichissement vertigineux, dit-on, devrait finir par profiter à tous.

Et comme tous les autres systèmes, il porte en lui les germes de sa propre destruction… mais aussi, et c’est là le plus dramatique, celle du genre humain tout entier. Car c’est bien cette contradiction que porte le capitalisme contemporain, en consommant à toute vitesse les ressources naturelles, au détriment des 4/5ème de l’Humanité.

Cependant, ce n’est pas une fatalité. Cela découle d’une idéologie. Des hommes et des femmes (surtout des hommes d’ailleurs) en sont responsables.
Et la résignation serait une faute. Ce laisser-faire, qui n’en est pas un pour la plupart des êtres humains, n’amènera rien de bon pour nous-mêmes, ni pour les générations futures. La suite sur Témoignage Réunion

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 11:29



En 2010, les frais de déplacement en avion de Nicolas Sarkozy ont coûté 8 millions d'euros aux contribuables.
Le pire ? Certains déplacements inutiles ! Planet.fr vous livre les chiffres révélés par le Canard Enchaîné.

Dans son édition du 4 janvier 2012, le Canard Enchaîné dévoile les chiffres des déplacements présidentiels en avion. Ainsi, "en 2010, Nicolas Sarkozy a passé 1 218 heures à bord des aéronefs de la République ! Soit près de 24h par semaine. Pour un coût d'environ 8 millions d'euros".

Le journal révèle qu'en comparaison, le Premier ministre François Fillon n'a emprunté les avions de la République que 545 heures en 2010.

Avec ses 1 218 heures de vol en 2010, Nicolas Sarkozy ne bat pourtant pas son record de 2009 avec 1 337 heures d'avion, mais il a volé bien plus qu'en 2008 où il avait utilisé les avions de la République pendant 1 089 heures.

20,4 millions d'euros de voyage en 2009 pour Sarkozy
En réalité, ce n'est pas tant le nombre d'heure de vol que leur coût qui peuvent choquer en cette période de crise ! En effet, le président n'a pas lésiné sur les voyages durant son mandat. Ainsi, en 2009, le montant total de ses frais de voyage était estimé à 20,4 millions d'euros, soit 33% de plus que l'année précédente. Pour rappel, lorsque Jacques Chirac était président, le coût annuel de ses voyages ne dépassait pas 5 à 6 millions d'euros chaque année.

Mais cette augmentation n'est finalement pas étonnante ! Elle pourrait même être due à un certain "gaspillage". En effet, il arrive régulièrement à Nicolas Sarkozy de faire voler des avions à vide. Ainsi, dès août 2007, alors qu'il est à peine élu, Nicolas Sarkozy se vante de partir en vacances aux Etats-Unis à bord d'un avion de ligne classique, comme n'importe quel voyageur. Mais peu savent que l'avion présidentiel vide suivait derrière, au cas où...

Un avion et deux hélicoptères pour faire 262 km Lire la suite sur Planet

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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 18:13



Le salaire des délégués syndicaux est inférieur de 10 % à celui des autres employés à travail égal.

Dans les entreprises, les délégués syndicaux sont payés en moyenne 10 % de moins que leurs collègues, à caractéristiques égales (âge, poste, expérience, diplôme et sexe) et à lieu de travail équivalent (taille, secteur, région), selon une étude de l’Ecole d’économie de Paris (en anglais). Ces écarts interviennent environ cinq ans après être devenu délégué, par le biais d’absences de promotion ou d’augmentation de salaires.

La différence de salaire semble plus forte pour les représentants des syndicats réputés les plus combatifs [1]. Ces écarts de salaires concernent plus particulièrement les délégués CGT, qui gagnent en moyenne 20 % de moins que leurs collègues non syndiqués, tandis que les délégués CFDT sont payés 10 % de moins. Quant à ceux de Force ouvrière (FO) ils ne sont pas moins payés.

Lire la suite sur l’Observatoire des Inégalités

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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 18:10



Les 10 % des salariés les moins bien rémunérés touchent au mieux 392 euros, les 10 % les mieux rémunérés touchent au minimum 2 923 euros.

Etat des lieux en équivalent temps complets

Le salaire net mensuel médian s’élève à 1 646 euros [1] en équivalent temps plein (données 2009). Les 10 % des salariés les moins bien rémunérés touchent moins de 1 127 euros, et les 10 % des salariés les mieux rémunérés perçoivent plus de 3 255 euros. Au minimum, les 10 % les mieux rémunérés touchent un salaire mensuel 2,9 fois plus élevé que les 10 % les moins bien payés, pour un écart de salaire de 2 128 euros. Les 1 % les mieux rémunérés perçoivent au minimum un salaire de 7 499 euros, soit 6,6 fois plus élevé que le salaire maximum des 10 % les moins bien rémunérés pour un écart de 6 372 euros.

Les inégalités de salaires sont plus élevées chez les hommes que chez les femmes, ces dernières étant beaucoup moins nombreuses dans le haut de l’échelle. Le salaire minimum des 10 % des femmes les mieux rémunérées est de 2 751 euros, contre 3 596 euros pour les hommes. Si l’on prend en compte les 1 % les mieux rémunérés, c’est encore pire : les femmes gagnent 5 472 euros et les hommes 8 624 euros.

Si l’on prend les 50 % des salariés du milieu de la répartition (au-dessus des 30 % les moins bien payés et au-dessous des 20 % les mieux payés), on obtient des salaires mensuels nets compris entre 1 373 et 2 466 euros (pour un temps plein). C’est à ce niveau que se situent les "classes moyennes" du point de vue des salaires nets pour des temps pleins. La suite sur l’Observatoire des Inégalités

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