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Qui a tué nos villages ?

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 09:39

 

 

Un militaire au bord de la faillite pour cause de soldes non-payés

Ce père de famille affirme que l'armée lui doit 10.000 euros d'impayés...

Il est militaire, gradé de la Légion étrangère, il a fait l’Afghanistan et il est ruiné. C’est un père de quatre enfants au bord de la faillite personnelle qui a décidé d’alerter les médias sur son cas, relayé ce jeudi par Midi Libre. En cause: l’armée française et son logiciel informatique de gestion des salaires, mis en place il y a un an et qui connaît depuis de nombreux ratés.


«Je suis au bord de la faillite personnelle et mon banquier me prend pour un mythomane», se lamente le sous-officier d’Alès (Gard) qui préfère rester anonyme. «Je ne veux pas nuire à l’institution qui n’y est pour rien. Mais j’ai une femme et quatre enfants. Il faut bien les nourrir. Et j’ai des crédits comme tout le monde. Entre être sanctionné et pouvoir faire manger ma famille, j’ai choisi.» Il affirme que l’armée lui doit un retard de solde et de primes de près de 10.000 euros.

Problème connu de l’armée

Le problème est bien connu de l’armée. Au mois de mars dernier, plusieurs dizaines de femmes de militaires avaient manifesté devant le ministère de la Défense à Paris pour réclamer le paiement de soldes et de primes non payées. Comme le rappelle Midi Libre, l’armée a même mis en place un numéro vert pour recenser et régler les problèmes causés par son logiciel informatique «Louvois» (Logiciel unique à vocation interarmées de la solde). L a suite sur 20 Minutes 



 

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 16:34

 

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 19:48

 

Communiqué de presse du 8/10/2012 - Vendredi 5 octobre 2012, lors des états généraux de la démocratie territoriale, le Président de la République a annoncé que « les départements se verront confier l’ensemble des politiques du handicap et de la dépendance, hors du champ de l’assurance maladie ».

 

Ainsi sans aucune concertation avec les personnes concernées, le Président de la République cède aux départements une grande partie de la politique du handicap : le sort de 20 000 salariés handicapées des entreprises adaptées, de 120 000 travailleurs d’ESAT, de 700 000 majeurs protégés et de près de 1 000 000 bénéficiaires de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) parait ainsi scellé.

 

Un tel transfert de compétence « au profit » des conseils généraux traduit la volonté de l’Etat de se désengager de la politique du handicap. L’Etat ne jouera plus aucun rôle dans l’égalité de traitement des personnes handicapées. Leur sort risque de dépendre de la bonne ou mauvaise santé financière des départements.

 

Une telle décision semble guidée avant tout par une logique de réduction de déficits de l’Etat, le handicap n’étant ainsi perçue que comme une charge à transférer au profit de collectivités elles-mêmes exsangues et qui pourraient être tentées au travers de la manne financière ainsi transférée - plus de 11 milliards d’euros - de détourner ces sommes pour assurer leur propre équilibre.

 

L’Unapei refuse une telle décentralisation de la politique du handicap et demande sans délai l’ouverture d’une concertation avec le Chef de l’Etat et les personnes concernées. Source UNAPEI

 

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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 16:22

 

 

Un homme est mort hier matin après s'être jeté dans le vide depuis son appartement HLM de Cugnaux. Un huissier venait lui signifier un arrêté d'expulsion.

 

Un homme de 59 ans, employé par la Poste, est mort hier matin à l'hôpital Rangueil, à Toulouse. Les soins prodigués par les pompiers et une équipe du SMUR 31, venus à son secours peu après 9 heures, place de la Libération à Cugnaux, ont permis son évacuation vers les urgences mais l'homme n'a pas survécu à ses blessures. Il est mort quelques minutes après son admission. Vers 9 heures, alors que ce locataire se trouvait chez lui, un huissier s'est présenté avec un serrurier. À la demande de la préfecture, saisie par la Patrimoine Languedocienne suite à de nombreux loyers impayés, l'officier du ministère public venait signifier un arrêté d'expulsion.

 

Trop de crédits à la consommation

 

L'homme de loi s'est présenté à la porte du logement, place de la Libération à Cugnaux, après de nombreux courriers qui étaient restés sans réponse. Il aurait alors entendu du bruit dans l'appartement. Et c'est quand le serrurier a commencé à ouvrir la porte que le locataire s'est jeté dans le vide, depuis le balcon du 3e étage.

 

«Depuis environ deux ans, nous avons essayé d'aider cet homme qui faisait face à un surendettement important lié notamment à des crédits à la consommation, explique Pascal Barbottin, le responsable de la Patrimoine Languedocienne. Nos équipes ont essayé de l'aider, de l'inciter à effectuer des démarches vers le centre d'action sociale de sa commune ou vers la commission de surendettement. Mais nous ne pouvons pas nous substituer à la personne pour effectuer ces démarches…» La victime, qui travaillait, n'aurait pas répondu aux différents courriers envoyés par le propriétaire. Pas davantage de réponse aux appels téléphonique ou même aux visites à domicile. «Les conséquences sont terribles mais comment faire ?, s'interroge le patron de la Languedocienne. Nous avons peut-être mal évalué le repli sur lui-même de cet homme mais la procédure d'expulsion nous échappe. La décision finale a été prise par la préfecture…»

 

Sollicités hier, la préfecture et l'huissier n'ont pas souhaité répondre à nos questions.

 

«Personne ne nous a avertis» La suite surLa Dépêche

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19 septembre 2012 3 19 /09 /septembre /2012 12:26

Laurent C., un policier de la CRS 24, qui avait écopé de six mois disciplinaires pour manquement au devoir de réserve, garde apparemment une profonde amertume de sa douloureuse expérience.

Il vient en effet de publier un article qui l’honore : « Les suicides dans la police » où il dénonce le nombre de cas en augmentation qui seraient dus entre autres selon lui à un sentiment de dévalorisation de la profession suite à de récentes affaires mettant en cause des policiers de la base jusqu’au plus haut niveau de la hiérarchie.

Tant que ce métier ne sera pas soumis au contrôle d’une autorité indépendante (magistrats du siège) comme c’est le cas chez nos voisins européens qui considèrent avec effarement que la police contrôle ...la police ( ce que dénonce vigoureusement Daniel Vaillant, ancien ministre de l’Intérieur dont cinq de ses anciens collaborateurs ont été victimes de forfaitures de la part de collègues officiers de l’IGS et qui en sont sortis brisés), tant que le peuple aura l’impression qu’il existe deux poids deux mesures dans les verdicts des tribunaux , tant qu’un procureur se verra mis au placard pour un réquisitoire somme toute modéré contre des gardiens de la paix coupables du fait le plus grave qu’on puisse reprocher à un policier, ( travestir la réalité pour obtenir la condamnation d’un innocent en vue de se protéger), le lien de confiance d’avec la population ne sera pas rétabli et la sûreté du citoyen plus assurée.

Et les manifestations de soutien de collègues avec véhicules de fonction et en uniformes devant un tribunal autorisées alors par la hiérarchie et mettant ainsi une pression scandaleuse sur des magistrats dans un pays dit « de droit » n’ont pas arrangé les choses. La suite sur Blog Médiapart

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 17:39

Ce qui était "inacceptable" pour François Hollande le 14 juillet est devenu presque normal. Même Arnaud Montebourg, qui s'était déchaîné avant l'été contre PSA Peugeot Citroën lors de son annonce de 8 000 suppressions de postes et de la fermeture de l'usine d'Aulnay en 2014, juge aujourd'hui que "des mesures de redressement sont indispensables".

C'est en ces termes que le ministre du redressement productif devait s'exprimer mardi 11 septembre à l'Assemblée nationale après avoir remis aux syndicats et à la direction de PSA le rapport d'Emmanuel Sartorius, l'expert qu'il avait mandaté fin juin pour se pencher sur le plan social du groupe.

Dimanche, lors de son intervention sur TF1, le président de la République avait indiqué que l'Etat "accompagnera" le mouvement de reconversion des salariés concernés par le plan social. "Il reste de nombreuses questions en suspens et nous entendons que ce plan soit rediscuté et limité au strict nécessaire", nuance M. Montebourg. Lundi, Pierre Moscovici assistait pour sa part aux cent ans du site de Sochaux, que le ministre de l'économie connaît bien pour être depuis des années un élu de la région.

En moins de deux mois, l'exécutif a complètement revu sa position concernant le plan de suppression de 8 000 postes de PSA Peugeot Citroën, qui inclut la fermeture de l'usine d'Aulnay, en Seine-Saint-Denis, à l'horizon 2014. "Aujourd'hui, des mesures de redressement sont indispensables", convient Arnaud Montebourg.

PAS DE SCOOP La suite sur Le Monde 

 

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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 12:27

Un policier de 47 ans s'est suicidé à son domicile à Louresse-Rochemenier (Maine-et-Loire) avec son arme de service dans la nuit de mardi à mercredi, deux jours après avoir pris ses nouvelles fonctions au commissariat de Saumur.

"Nous sommes tous consternés et atterrés par ce geste qu'on a du mal à comprendre. Nous n'avons pas eu le temps de le connaître et ignorons tout de son passé", a expliqué à l'AFP le commandant de la police de Saumur, Philippe Benoît.

En poste il y a quelques semaines encore en Seine-Maritime, le brigadier avait intégré sa nouvelle affectation lundi. Il venait d'emménager avec sa famille.

Le vice-procureur d'Angers, Xavier Lenoir, s'est rendu sur place dans la nuit. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie. La suite sur France3 Pays de Loire

Dernière heure :

Pessac (33). Un policier se suicide

 

 

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 16:53

 

A Aulnay-sous-Bois, du côté de l’usine PSA, c’est la rentrée aujourd’hui. Après des congés et une semaine de chômage technique. Vous avez pu suivre, iciet , que le site est bel et bien menacé de fermeture en 2014, condamnant les salariés de PSA, ceux de la sous-traitance et leurs familles. C’est dans ce climat que les PSA ont repris le chemin de leur boîte ce 4 septembre au matin, pendant que leurs bambins prenaient, eux, la direction de l’école.

 

J’ai suivi, sur les chaînes d’absence d’info, cette reprise. J’ai écouté le camarade Jean-Pierre Mercier, délégué CGT, expliquer les mesures prises par la direction : renforcement des équipes de vigiles, « sécurisation » d’un bâtiment pour éviter les éventuelles séquestrations de cadres, directives pour faire considérer tout dépassement du temps de pause ou toute discussion hors des temps prévus pour comme du « temps de grève ». Un arsenal préventif aux relents… que vous voudrez bien qualifier de vous-mêmes. Et qui a bien dû coûter quelques centaines de milliers d’euros. Mais, c’est bien évidemment d’une réaction violente des syndicalistes que le pouvoir en place tient à prévenir le bon téléspectateur.


Dans cette mission, l’inénarrable Arnaud Montebourg, déjà étrillé dans ces colonnes, justifie pleinement le mal que j’en dis en appelant les syndicats à « faire preuve de responsabilité économique ».Pour être sûr de se bien faire comprendre, il en a rajouté : « Les syndicats doivent penser à tous ceux qui restent, les 100 000 salariés de Peugeot ».Ce sont bien évidemment les syndicalistes qui envisagent de délocaliser leur outil de travail au motif que les bénéfices de PSA sont orientés à la baisse par rapport à l’exercice précédent. Ce sont bien évidemment les syndicalistes qui condamnent dix milles (!) personnes au chômage dans un département qui a déjà connu plus que son comptant de plans de licenciements. Putain, Arnaud ! La décence, ça te dérange à ce point-là ? A tout le moins, il est en cohérence avec les courbettes qu’il a prodiguées au lobbyultra-minoritaire mais patronal appelé le MEDEF.

 

N’attendant rien de Montebourg, j’escomptais questionner Moscovici, son supérieur du Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie avec lequel, parmi d’autres blogueurs, j’avais rendez-vous hier soir. J’ai en mémoire quelques chiffres. PSA n’a réalisé que 588 millions d’euros de bénéfices mais va dépenser un milliard d’euros (!) pour fermer Aulnay. D’un autre côté, le Crédit Immobilier de France, la banque bien connue (si, si, cherchez bien) se voit offrir la garantie de l’Etat à hauteur de 20 milliards d’euros. On peut donc impunément saigner l’industrie automobile française, mettre à mort 10 000 personnes, tant que les banques sont sauvées. A cette question, Moscovici ne répondra pas. Une urgence l’a contraint à annuler notre rendez-vous collectif. Je ne lui en tiens pas grief, le seul souci reste que ma liste de question s’allonge de jour en jour. La suite sur Le Cri du Peuple 

 

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 16:18

 

 

Ces derniers jours, dans la torpeur de la période estivale, une ministre n’a pas hésité à prôner « l’abolition de la prostitution ». Vaste programme ! aurait proclamé le Général De Gaulle, je ne sais s’il s’agit d’une stratégie de communication ou d’un nouvel accès de politique moraliste, mais lancer les forces de sécurité dans une offensive pénale contre la prostitution c’est prendre le risque de démontrer la faiblesse d’un état au travers d’une énième loi inapplicable qui n’aurait d’autre conséquence que d’épaissir le code pénal et d’allonger la liste des échecs en matière de politique de sécurité.

La ministre justifie cette potentielle nouvelle prohibition au nom de la protection des femmes soumises aux réseaux mafieux. Évidemment c’est un noble objectif, mais au lieu de rester dans l’incantatoire je propose d’observer d’un peu plus près les enjeux.

 

RAPPEL HISTORIQUE

 

Tout d’abord il est bon de remarquer que la prostitution s’est révélée depuis longtemps comme une activité stigmatisée officiellement au nom de la morale et de la religion mais officieusement tolérée. C’est en 1254 que Louis IX prend une ordonnance interdisant la prostitution condamnant lourdement les prostituées et les proxénètes. Mais en 1256 soit deux ans plus tard, une nouvelle ordonnance de Louis IX revient sur l’interdiction stricte de la prostitution, les prostituées sont seulement dès lors, éloignées des lieux de culte. A la fin du 18ème siècle, la prostitution représenterait 13 % de la population féminine. Plus tard c’est au nom de l’hygiène que la prostitution est non plus prohibée mais réglementée, c’est l’âge d’or des maisons closes. Selon les quelques chiffres recueillis au 19ème siècle, les volumes de prostituées et de clients seraient bien supérieurs à ceux d’aujourd’hui en proportion de la population d’alors. En 1946, la loi dite « Marthe Richard » conduit à la fermeture des maisons closes. En 2003, une loi rétablit l’infraction de « racolage passif ». A noter enfin que les prostituées se sont organisées dans un mouvement revendicatif en 1975. En 2009, à l’issue des assises européennes de la prostitution à Paris le Syndicat du travail sexuel (STRASS) voit le jour en France ainsi qu’en Grande Bretagne. L’interdiction de la prostitution est donc une très vieille idée, par le passé c’était au nom de la morale religieuse, puis l’hygiène et aujourd’hui c’est la protection de la dignité humaine qui est avancée pour mettre fin à cette activité.

 

L’AMPLEUR DU PHENOMENE

 

Bien qu’il faille être très prudent en matière d’activité clandestine, l’Office central de la répression de la traite des êtres humains recense entre 18 000 et 20 000 prostituées en France. Le syndicat STRASS conteste ce chiffre arguant qu’il ne tient compte que de la prostitution de rue. Pour les autres pays européens dans lesquels la prostitution est une activité règlementée on compte effectivement davantage de prostituées, 400 000 en Allemagne par exemple. Pour la clientèle, il y a lieu de penser qu’il faille rester également prudent dans l’interprétation des chiffres notons cependant qu’il semble qu’entre 1992 et 2006 le nombre de client serait resté stable.

 

LA SITUATION EN EUROPE

 

Les Pays Bas et l’Allemagne ont choisi de reconnaître cette activité qui correspond dès lors à une règlementation comme tout autre commerce. En Suisse, les travailleurs du sexe disposent de leur caisse de retraite. La Suède a, au contraire pris la décision de punir le client. En France une association, le Nid, milite pour ce qui se veut apparaître comme une troisième alternative « l’abolition de la prostitution » selon le schéma passé de « l’abolition de l’esclavage ». Bref la situation est assez contrastée en Europe sur le sujet.

 

L’ABOLITION EN PASSANT PAR LA PROHIBITION

 

Chacun l’aura compris, il est utopique de penser que la prostitution puisse disparaisse de nos sociétés. Selon Janine Mossuz-Lavau directrice de recherche au Cevipof : « Le phénomène ne va pas disparaître comme cela, une telle mesure serait surtout dangereuse. Cela va repousser encore plus dans la clandestinité celles qui se prostituent. Elles seront les victimes de plus de violences et elles auront plus besoin de protection ce qui devrait renforcer le proxénétisme. »

Il est prétendu souvent que la prostitution est le plus vieux métier du monde, je n’en suis pas sûr, mais depuis des siècles la question de l’interdit est posée et malgré les diverses mesures, aucune force de sécurité n’est parvenue à la faire disparaître. Si la protection des femmes devenues esclaves des réseaux mafieux est une saine préoccupation, doit-on pour autant parler d’abolition ?

Il est désormais clairement établi qu’un certain nombre de prostituées ont délibérément choisi cette activité commerciale. Certaines professionnelles considèrent que : « l’on ne tient pas compte de leur parole et que l’on finit toujours par en arriver à des discours de dame patronnesse sur la nécessité de sortir ces pauvres filles du pauvre milieu dans lequel elles sont tombées ». Par Serge SUPERSAC Commandant de police honoraire de la police nationale. Auteur de Pour en finir avec les dealers (Grasset, 2011). Lire la suite sur Laurent Mucchielli 

 

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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 19:49

 

 

Alors que le gouvernement a déclaré la guerre aux délocalisations de centres d'appels à l'étranger, le syndicat des transports parisiens (Stif), qui dépend directement de la région Ile-de-France, s'apprête à transférer un de ses services d'assistance téléphonique au... Maroc. Le Stif ne confirme pas. Mais, selon nos informations, dès le 1er février 2013, tous les appels de l'Agence solidarité transport, qui renseigne les bénéficiaires du RSA ou de la CMU sur leurs droits, seront pris en charge par des téléconseillers marocains.

 

Une nouvelle donne qui devrait se traduire par la suppression de 80 emplois en France, et à terme, par la fermeture de deux centres à Fontenay-le-Comte (Vendée) et Saint-Avold (Moselle).

 

«Nous n'avons pas d'autres solutions que d'envisager un plan social. Vu le contexte économique, nous n'avons quasiment aucune chance de trouver en l'espace de cinq mois un contrat qui nous permettra de compenser la perte de ce marché», s'emporte Frédéric Jousset, le coprésident de Webhelp qui détenait ce marché depuis 2006. La suite sur Le Parisien 

 

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