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Qui a tué nos villages ?

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 16:04
Le ministre de l’Intérieur a promis 123 millions d’euros pour les locaux et voitures de police. Une jolie cagnotte qui compense à peine les coupes budgétaires précédentes de la police.

La réalité dépasse trop souvent la fiction. Dans une scène du film « Polisse », les policiers de la Brigade de protection de mineurs s'aperçoivent qu'il leur manque une voiture au moment de partir en opération dans Paris. Dans la réalité, de vrais policiers pourraient très bien être confrontés à ce genre de problèmes. Pire, ils pourraient même se retrouver avec des voitures hors d’usage. Frédéric Péchenard, patron de la police, disait lui-même en juin, qu’au vu du budget automobile de ses services, les policiers devraient rouler pendant 28 ans avec leurs véhicules. Pendant ce temps là, certains délinquants roulent avec de grosses cylindrées flambant neuves.

 

La sortie de Péchenard a dû faire réagir Claude Guéant. Le ministre de l’Intérieur vient de promettre un crédit supplémentaire de 123 millions pour le budget de fonctionnement de la police en 2012. On compte 73 millions pour l’immobilier pour les « constructions, restructurations et modernisations de commissariats » et 50 millions pour le parc automobile, soit 2200 nouvelles voitures. Une même somme est consacrée pour les véhicules de gendarmerie.

 

Mais cette jolie cagnotte sera-t-elle suffisante ? Depuis 2007, la police a été victime de nombreuses coupes budgétaires. Pour 2012, 3148 postes de policiers et gendarmes seront supprimés selon le député PS Jean-Jacques Urvoas. Dans son rapport sur la politique de sécurité, la Cour des comptes pointe elle la baisse du budget de fonctionnement notant que, dans les Directions départementales de la sécurité publique, ces dépenses (loyers exclus) « après avoir augmenté de 7,8 % en 2007, ont été réduites de 2,1 % en 2008, puis stabilisées en 2009 et réduites à nouveau de 25 % en 2010 à 139,7 M€ » (page 43 et 44).
 

Perte de 113 millions en 4 ans

Et depuis 2008, les budgets de fonctionnement de la police (prévus en loi de finances initiale) baissent malgré la hausse des prix de l’énergie et autres, tombant même en dessous du niveau de 2007. Comme on le voit sur ce tableau http://www.marianne2.fr/docs/sanstitre2.png , en 4 ans, la police a perdu 112,9 millions d’euros en budget de fonctionnement passant de 856 655 058 à 743 707 164 millions d’euros de 2008 à 2012. Par exemple, les dépenses pour l'entretien des locaux sont tombées de 15,7 à 8,7 millions d'euros de 2007 à 2010 selon la Cour des comptes. Les 123 millions de Guéant ne font donc que compenser les coupes budgétaires précédentes. 

 

Que du vent Lire la suite sur Marianne2

 


 


 

 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 16:03

 

 

En quête de nouvelles recettes, le gouvernement semble opter pour une hausse de la TVA. Cette augmentation d'impôts toucherait surtout les catégories populaires et irait à l'encontre des engagements pris par le Président en matière de fiscalité.

 

La mesure risque d'être explosive. Elle semble être dans les tuyaux gouvernementaux. Selon plusieurs parlementaires de l'UMP, le gouvernement envisage d'augmenter la TVA en créant un nouveau taux intermédiaire entre 5,5% et 19,6%. Dans une interview aux Échos, Jean-Pierre Raffarin indiquait : «La question du taux intermédiaire de la TVA est posée.» Quant à Louis Giscard d'Estaing, vice-président de la Commission des Finances à l'Assemblée, il affirme que «sur la TVA, il y a une marge de manœuvre». D'autres députés confirment «qu'en terme de rendement, c'est la TVA qui rapporte le plus.» Jamais cette initiative n'avait été évoquée avec autant d'insistance. C'est pourquoi alors que Bercy planche sur de nouvelles mesures d'austérité, elle apparaît de plus en plus crédible. Nicolas Sarkozy sera certainement amené à aborder la question ce soir à la télévision. D'autant qu'une hausse de la TVA prendrait à revers l'un des fondamentaux de sa politique basée sur le refus de l'augmentation des impôts.

Des conséquences pour les plus faibles

 

Cette mesure ouvrirait un boulevard à la gauche car l'augmentation de la TVA serait surtout préjudiciable aux couches moyennes de la société et aux catégories populaires. En outre, l'UMP serait contrainte de réviser son angle d'attaque vis-à-vis de François Hollande. Elle ne cesse de vilipender le projet socialiste porteur de hausses d'impôts selon elle. En mettant en place une augmentation de la TVA, elle se priverait d'une telle argumentation.

 

En fait, face à la crise, à la réduction des déficits , le gouvernement se trouve dos au mur. En quête de nouvelles recettes, il prépare un nouveau plan d'austérité qui prendra en compte la révision à la baisse des prévisions de croissance, mais il ne semble pas se diriger vers un saupoudrage, préférant une ou deux mesures choc dont celle sur la TVA. Au risque de l'impopularité. Mais Sarkozy pourra se prévaloir d'un certain courage, espérant que les Français lui en seront reconnaissants.

 

De son côté, François Bayrou s'est montré favorable à une augmentation de la TVA de deux points. «Cela fait une vingtaine de milliards d'euros», a-t-il précisé. Reste à savoir maintenant à quel niveau le gouvernement fixera la barre de la hausse. Pas de précipitation dans l'attente des prochains indicateurs économiques dans une quinzaine de jours, fait-on valoir à Bercy.

 

Une trentaine de taxes créées depuis 2007 La suite sur La Dépêche

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 16:02

 

 

Tout d’abord ce plan prévoit un renforcement du Fonds de soutien européen (FSEF). Ce dernier va voir sa force de frappe portée de 440 milliards d’euros à 1 000 milliards environ. Les moyens par lequel il va être financé n’ont pas clairement été expliqués.

 

Ensuite, après d’intenses négociations, et notamment une forte pression de l’Allemagne, les créanciers de la Grêce (les banques) ont accepté de mettre la main à la poche. Ils vont effacer 50 % de la dette qu’ils détiennent, soit environ 100 milliards d’euros. Il faut aussi baisser les taux d’intérêts sur les 50 % restant.

 

Les banques européennes devront aussi augmenter leurs fonds propres de 106 milliards d’euros pour calmer les inquiétudes sur leur exposition aux titres des Etats de la zone euro qualifiés de fragiles.

 

Autre mesure : les règles d’or sur l’équilibre budgétaire seront généralisées. Dans le document final, figure aussi « l’adoption par chaque État membre de règles sur un budget équilibré transmettant le Pacte de stabilité et de croissance dans la législation, de préférence au niveau constitutionnel ou équivalent, d’ici fin 2012 », indique le texte.

 

Pour améliorer la gouvernance économique européenne, des sommets de la zone euro auront lieu deux fois par an. Ils seront présidés, au moins dans un premier temps, par le président de l’Union européenne, le Belge Herman Van Rompuy. Un changement du traité de l’UE est aussi envisagé. Lire l’article en entier sur OuestFrance 

 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 16:01

 

 

De décembre 2009 et les premières alarmes sur l’état des finances grecques au plan adopté fin octobre par la Grèce.

 

2009

Décembre : l’Union européenne (UE) tire la sonnette d’alarme sur l’état des finances publiques grecques, dont la dette atteint 350 milliards (plus de 150 % du PIB), deux mois après une première révision à la hausse du déficit du pays, à 12,7 % du PIB contre 6 % initialement prévu.

 

2010

29 janvier : l’Espagne adopte un plan d’austérité de 50 milliards d’euros.

 

2 mai : l’UE et le FMI accordent un plan de prêts de 110 milliards d’euros à Athènes qui adopte un plan d’austérité.

 

10 mai : création du Fonds européen de stabilité financière (FESF), pour venir en aide si nécessaire aux pays de la zone euro.

 

29 juillet : l’Italie adopte un plan d’austérité.

 

28 novembre : plan de sauvetage de 85 milliards d’euros de l’UE et du FMI pour soutenir l’Irlande.

 

2011

5 mai : l’UE et le FMI accordent une aide de 78 milliards d’euros au Portugal, en échange d’un programme d’austérité.

 

29 juin : nouveau plan d’austérité grec.

 

15 juillet : nouveau plan de rigueur italien. Lire la suite sur La Croix 

 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 16:00

 

 

A six mois de la Présidentielle, Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi soir à la télévision que le gouvernement présenterait rapidement un nouveau plan de rigueur budgétaire pour enrayer la crise, dans la foulée du plan de sauvetage de la zone euro adopté à Bruxelles. Deux mois à peine après la première volée de mesures d'austérité annoncée par le Premier ministre François Fillon, ce nouveau tour de vis budgétaire devrait être annoncé "dans les dix jours", selon le chef de l'Etat, en tout cas après le sommet du G20 programmé les 3 et 4 novembre à Cannes. Il a confirmé que la prévision de taux de croissance retenue pour 2012 serait révisée à la baisse et passerait de 1,75 à 1%, et qu'il faudrait en conséquence réaliser "6 à 8 milliards" d'économies en plus pour tenir les objectifs intangibles de réduction des déficits. Il a exclu une augmentation généralisée de la TVA.

 

Nicolas Sarkozy,qui intervenait jeudi soir à la télévision pour expliquer la crise qui secoue la zone euro et ses conséquences, s'est montré à la fois ferme sur la nécessité de réduire les déficits publics et rassurant quant aux conséquences de la crise sur la contribuable.

 Il a admis que la prévision de croissance économique de la France (+1,75%) retenue pour élaborer le projet de budget 2012 en cours d'examen au Parlement, devrait être révisée à la baisse et il a annoncé de nouvelles mesures d'économies.
 
"Nous avions prévu (...) 1,75%. Chacun sait bien qu'avec la crise, il y a peu de chance qu'on les fasse", a dit le Président de la République. "Nous avons décidé de revoir notre prévision et de la ramener, comme nos amis allemands, à 1% pour l'année prochaine." La suite sur RTL 

 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 15:43

 

Tunisie : les messages de la victoire islamiste

Ennahdha vainqueur confirmé, des partis gauches bientôt associés aux islamistes, des listes liées à l'ancien parti au pouvoir qui raflent une vingtaine de sièges avant de se retirer suite à la menace d'annulation pour irrégularités dans le financement, Sidi Bouzid, Kasserine, Sfax et d'autres villes à nouveau en état d'insurrection dans la nuit de jeudi à vendredi, décidément le sens de cette révolution ne se laisse pas facilement enfermer dans les clichés. La suite



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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 16:34

 

Malgré les promesses du chef de l’Etat, le budget 2012 de la justice promet un modèle low cost de la justice : jurys réduits en assises, procès payants... Au détriment de l’efficacité de la machine judiciaire.

Apparemment la justice va bien. Son budget 2012 affiche une hausse de 4% et 515 postes ont été créés. Une campagne de recrutement de gardiens de prison a été lancée à grands renforts de spots télévisés. Mais, dans les faits, le Ministère de la Justice reste soumis aux exigences de la rigueur. En 2007, les magistrats avaient déjà protesté contre la nouvelle carte judiciaire qui supprimait certains tribunaux notamment dans les petites villes. La commission des Lois du Sénat vient d’ailleurs de lancer une mission d’information à ce sujet.

Et cette année, les petites économies continuent. Tout d’abord, depuis le 1er octobre, les justiciables devront payer 35 euros pour avoir accès aux tribunaux. Sont concernées les procédures civiles, devant le tribunal administratif ou les prud’hommes. Le salarié victime d’un licenciement abusif, d’un propriétaire indélicat ou en litige avec un commerçant devra payer pour pouvoir faire valoir ses droits. En revanche, les procédures pénales, concernant le droit des étrangers ou le surendettement ainsi que les personnes touchant l’aide juridictionnelle échappent, pour l’instant, à cette taxe. Le but pour le ministère de la justice : récolter 100 millions d’euros. Le Conseil national des barreaux a prévu un recours devant le Conseil d’Etat.

Mais une autre mesure pourrait avoir des conséquences tout aussi fâcheuses. En effet, la loi sur les jurés populaires votée cet été a mis en place une petite réforme passée presque inaperçue. A partir de 2012, les jurés dans les Cours d’assises ne seront plus que 6 au lieu de 9 en première instance et 9 au lieu de 12 en appel.

 

Jurys réduits à 6 aux assises Lire la suite sur Marianne2 

 



 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 16:33

 

Les demandes d’asile dans les pays industrialisés ont augmenté de 17% au premier semestre 2011

Les pays industrialisés ont observé, durant le premier semestre 2011, une augmentation de 17% des demandes d’asile dont la plupart ont été déposées par des requérants d’asile originaires de pays confrontés à des situations de déplacement prolongé, peut-on lire dans le rapport publié aujourd’hui par le HCR.

Le rapport sur les « Niveaux et tendances de l'asile dans les pays industrialisés, premier semestre 2011 » montre que 198 300 demandes d’asile ont été déposées durant la période du 1er janvier au 30 juin 2011, en comparaison de 169 300 dossiers remis à la même période, l’année dernière.

 

Alors que le nombre de demandes d’asile augmente habituellement durant le second semestre de chaque année, le HCR prévoit pour toute l’année 2011 un total de 420 000 requêtes enregistrées à la fin de cette année - soit le nombre le plus élevé depuis huit ans.

2011 a déjà été le théâtre de crises de déplacement majeures dans l’ouest, le nord et la corne de l’Afrique. Le rapport établit des augmentations qui y sont liées dans les demandes d’asile déposées par les Tunisiens, les Ivoiriens et les Libyens (4600, 3300 et 2000 demandes respectivement), mais l’impact de ces événements sur le nombre des demandes d’asile dans les pays industrialisés demeure toutefois limité. Lire la suite sur FTA 



Lire aussi

Les immigrés font aussi les frais de la crise grecque

Bloqués à Athènes, des migrants squattent les places. Et la population s’en accommode de moins en moins bien.
D’énormes baluchons bleus sont planqués dans les feuillages des mûriers. Des enfants joyeux jouent dans les escalators et les ascenseurs du métro qui débouche sur la place Victoria,à Athènes. Entre cent et deux cents clandestins, Afghans pour la plupart, passent leur journée à l’ombre de ces arbres.

Assis, le regard vague, discutant, téléphonant, des hommes, jeunes en majorité, attendent. Quelques semaines, des mois, plus d’un an parfois. Ils sont en transit en Grèce pour une autre destination européenne. Bloqués. Dans le quartier, ils seraient plus de 3000 selon le Centre hellénique de prévention et de soins des maladies qui se charge du suivi médical de ces populations fragiles. La suite sur FTA

 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 16:28

 

La loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques autorise notamment les soins ambulatoires sans consentement et un contrôle par le juge. Vivement décrié par les professionnels, qui dénoncent une vision sécuritaire et anti-thérapeutique, le texte paraît en outre difficile à mettre en oeuvre. Ses modalités d'application sont disparates, comme en témoignent les premiers recours en justice.

L'évolution de la législation pose des questions douloureuses : la priorité est-elle de soigner un patient ou de protéger la société contre un hypothétique danger ? Le 6 octobre, le Conseil constitutionnel a apporté sa contribution au débat, en censurant la possibilité pour les maires de prendre une mesure de privation de liberté sur le seul fondement de la «notoriété publique».

«Et si une autre psychiatrie était possible ?», interrogeait la Gazette Santé-Social en septembre 2011. Une psychiatrie qui considère «les personnes malades comme des citoyens à part entière, qui ne les réduit pas à leurs troubles et leur donne une place dans la cité», pour reprendre l'expression de Marie-Noëlle Besançon, auteure, avec le psychiatre Bernard Jolivet, des Soins en psychiatrie, une affaire citoyenne (2011, éd. de l'Atelier).

Notre dossier fait le point sur ces questions juridiques et éthiques et propose des initiatives inédites pour mettre, enfin, un terme à la discrimination dont sont victimes les personnes souffrant de maladies psychiatriques.



La Gazette Santé-Social a réuni, le 13 avril, Laurent El Ghozi, président de l'association Elus, santé publique et territoires, Tim Greacen, directeur du laboratoire de recherche de l'établissement public de santé Maison blanche, et Guy Lefrand, député (UMP), rapporteur du projet de loi.

Source La Gazette des communes 



Lire aussi :



Le Conseil constitutionnel a censuré l'article L.3213-2 du code de la santé publique autorisant les maires à ordonner l'hospitalisation d'office d'une personne sur la seule « notoriété publique ».

L'actu : 26 octobre 2011

 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 15:52

 

Dans une lettre publiée mercredi, Jean-Luc Mélenchon demande à ses partenaires de gauche d'organiser, ensemble, un référendum sur le nucléaire. "Puisque cette question n’a jamais été soumise au peuple lui-même, faisons le maintenant. Rendons-le juge du problème à trancher", écrit le candidat du Front de gauche pour 2012.

 

C'est un des sujets phares du moment, notamment dans les négociations en cours entre le Parti socialiste et Europe Ecologie - Les Verts. Dans une lettre, publiée mercredi sur le site de Marianne, Jean-Luc Mélenchon propose à ses partenaires de gauche – François Hollande (PS), Eva Joly (EELV), Nathalie Arthaud (LO) et Philippe Poutou (NPA) – de "porter tous ensemble" l'idée d'un référendum sur le nucléaire dans la campagne présidentielle. Cette question qui divise la gauche "paralyse la réflexion et l’action sur l’enjeu majeur de notre temps pour l’humanité", estime le candidat du Front de gauche pour 2012.

"Notre responsabilité est donc immense", estime Jean-Luc Mélenchon, qui considère qu'un tel sujet ne peut se contenter "d'anathèmes" ou "d'oukases contradictoires", en référence aux échanges de ces derniers jours entre PS et EELV. "Proposons à la société tout entière de s’impliquer" dans la réflexion sur la question du recours à l’énergie nucléaire, poursuit le leader du Parti de gauche.

Un "exercice de souveraineté populaire" La suite sur le JDD

 

 

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