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  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
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Qui a tué nos villages ?

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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 09:29

 

 

A l’instar des manifestations mondiales contre le FMI, l’OMC ou encore le G20, cette fois-ci, ce sont des Européens qui ont décidé de se faire entendre des dirigeants. Des dizaines de milliers de manifestants venus de toute l’Europe ont commencé à défiler samedi 8 octobre à Wroclaw, en Pologne, où se tient une réunion des ministres des Finances de l’Union européenne.

 

Dénonçant les bas salaires et les licenciements, « Les Indignés », comme ils se nomment, s’insurgent contre les plans d’austérité votés et décidés entre les gouvernements européens. La Confédération européenne des syndicats (CES), organisatrice de la manifestation, a pu voir plus de 30.000 participants fouler les rues de Wroclaw.

 

« Les droits des travailleurs sont des droits de l’Homme »

 

L’“Agence France Presse” rapporte qu’un autobus rouge londonien à étage, transportant des membres de la fédération syndicale polonaise OPZZ, était recouvert de pancartes proclamant : « les droits des travailleurs sont des droits de l’Homme » ou encore « nous soutenons le droit à des emplois et des salaires décents ».

 

Alors que l’Eurogroupe n’a toujours pas décidé du sort de la Grèce, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont rencontrés dimanche 9 octobre afin de s’accorder sur un plan de soutien coordonné en faveur des banques européennes menacées par un nouveau plan de sauvetage de la Grèce, au bord de la faillite malgré toutes les mesures prises.

 

Selon le FMI (Fonds monétaire international), les besoins en capitaux des banques européennes pour supporter une forte décote de leurs créances grecques pourraient atteindre 200 milliards d’euros. Alors que l’Europe est en pleine récession, les gouvernements vont devoir à nouveau trouver l’argent chez les plus démunis. Lire la suite sur Témoignage.re

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:56
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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:55

 

 

ETATS-UNIS - Le mouvement anticapitaliste gagne de l'ampleur...

Ils sont jeunes et ils sont en colère. Depuis près de trois semaines, le mouvement Occupy Wall Street (OWS) a pris d'assaut le centre symbolique de la finance mondiale pour protester contre les inégalités et le « capitalisme dérégulé ». Mecredi, une nouvelle marche a eu lieu à New York, après le blocage du pont de Brooklyn le week-end dernier. Un autre rassemblement s'est également tenu à Washington, pour faire pression sur le Congrès.


Michael Moore et Noam Chomsky en renfort

Après des débuts modestes, la fièvre activiste a gagné une cinquantaine de villes américaines, depuis les premiers sacs de couchage du berceau new-yorkais de Zuccotti Park, rebaptisé « Liberty Plaza », jusqu'à Philadelphie, Chicago ou Los Angeles. « On a vu ce qu'il se passait à Athènes, au Caire, à Madrid ou à Londres. Une conscience démocratique est en train d'émerger, même aux Etats-Unis », explique à 20 Minutes Lukas Dasquez, un étudiant de 19 ans qui a mis ses cours entre parenthèses. Selon lui, « après avoir sauvé Wall Street, Barack Obama doit tenir sa promesse et aider Main Street, notamment en augmentant les impôts pour les plus riches ». A deux reprises, il a perdu ce bras de fer contre les républicains. « A lui de montrer qu'il a des “cojones” et qu'il est vraiment le président du changement », tranche Lukas. Lire la suite sur 20 Minutes 

 

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:51

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:50

 

Un rassemblement de salariés du secteur médico-social, en marge du congrès de la FEHAP, a tourné au drame, ce jeudi matin à la Cité Internationale de Lyon. Suite à un gazage des CRS et un mouvement de foule, trois femmes ont fait une chute de 3 m après qu'une grille au sol a cédé. Deux d'entre elles sont grièvement blessées. Des blessures "qui ne sont pas directement liées à une charge des forces de l'ordre" se défend la préfecture dans un communiqué.

 

A l'appel des syndicats, ils étaient 1500 manifestants -selon la police- venus de la France entière, à se rassembler, ce jeudi matin, devant le Centre des congrès de Lyon où se tenait l'assemblée de la Fédération des Etablissements Hospitaliers et d'Aide à la Personne (FEHAP). Ils entendaient riposter contre la casse des conventions collectives du secteur médico-social.

Le drame s'est noué après un gazage des CRS qui s'est accompagné d'un mouvement de foule. L'une des grilles installées au sol, devant la brasserie de la Cité Internationale, a cédé entraînant plus de 3 mètres plus bas, trois salariées de la Clinique Mutualiste de Saint-Etienne. Lire la suite sur LeProgrès 





 

 

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:49

 

Les sympathisants du Front de gauche ont escaladé hier soir deux bâtiments abandonnés depuis plus de dix ans, square Vilmorin et au Pont-Dulys

 

À 18 heures précises, jeudi au square Vilmorin, l’équipe du Parti communiste français, section de la Communauté d’agglomération Sophia Antipolis était présente devant la verrue de la place Vilmorin. Ce bâtiment, muré et abandonné depuis plus de dix ans, devait être réhabilité. Mais il attend toujours de l’être. Cécile Dumas, Gérard Piel, Denis La Spesa (conseillers municipaux communistes) et Robert Voarino (« A gauche vraiment ! ») ont donc choisi d’y coller une immense banderole en rose et bleue sur laquelle on pouvait lire : « Immeuble muré depuis plus de dix ans : que fait le ministre maire, président de la Casa ? »

 

« Trois mille familles en attente de logement »

 

Une demi-heure plus tard, la même équipe est allée escalader un autre bâtiment abandonné au Pont-Dulys, à l’angle de la rue des Liserons et de l’ex-RN7. L’hôtel Balanéa attend lui aussi depuis plus de dix ans de trouver un repreneur. Sur sa façade, le commando a donc écrit en rouge : « Ici, quarante logements sociaux possibles depuis dix ans. Que fait le ministre maire président de la Casa ? »

 

Le PCF, par cette action symbolique, a souhaité dénoncer le manque de logements sociaux dans la Casa. « Trois mille familles sont en attente de logement social alors que des hommes, des femmes et des enfants dorment dans des voitures, végètent dans des caves, des garages ou des caravanes. La ville d’Antibes est en dessous des 7 % de logements sociaux, proteste Gerard Piel. Il y a environ trois cents logements vacants à Antibes et quinze mille dans la Casa. L’une des solutions pour nous c’est le droit de préemption des maires de la Casa pour les aider à réaliser le logement social nécessaire. J’espère, par exemple, que la ville d’Antibes saura saisir l’opportunité d’acheter les vingt studios du Valdor, chemin de Saint-Jean que vend Univac… » Lire la suite sur NiceMatin

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:47

 

Après New York, Boston et Chicago, la grogne des Américains s'étend à la capitale du pays.

 

Après New York, Boston et Chicago, les manifestations contre les excès de la finance gagnent la capitale américaine. Pour ce premier rassemblement, jeudi à Washington, le rendez-vous a lieu place de la Liberté, un square situé non loin du ministère de l'Économie. Tout un symbole. À midi, les manifestants remontés du collectif Occupy Wall Street sont quelques centaines à être venus crier leur ras-le-bol. "Dans les années 80, Gordon Gekko, le héros du film d'Oliver Stone, Bûcher des vanités, disait vive la cupidité ! Vingt ans plus tard, on a des générations de Gekko qui ont pris le peuple et l'économie en otage", clame sur l'estrade un militant, après qu'un Égyptien de la place Tahrir a encouragé la foule à se battre. Une fois n'est pas coutume, la France est prise en exemple. "Vous ne pourriez pas nous envoyer quelques Français qui nous apprennent à descendre dans la rue ?" plaisante Chuck, un quinquagénaire employé dans les transports venu avec sa femme Tina, qui a perdu son emploi.

Sur l'esplanade, certains ont planté des tentes, d'autres tapent sur une grosse caisse, alors qu'un peu plus loin un groupe a peint des maisons en carton avec la mention "saisie par la banque". Le tout sur fond de pancartes aux slogans éclectiques comme "Guérissez l'Amérique, taxez Wall Street", "Préservez notre régime de santé", "Stop à la guerre" ou encore "Fermez la Fed". Marc Petitpierre, un col bleu venu de Virginie-Occidentale, brandit un écriteau "Mangeons les riches". "C'est une façon de parler, assure-t-il. Mais on veut au moins qu'ils assument la responsabilité du merdier dans lequel ils nous ont mis." "On a donné trop de liberté aux entreprises et aux compagnies pétrolières. Il faut les taxer", renchérit une institutrice, mère de deux grands adolescents. Lire la suite sur LePoint 



 

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:46

 

 

Les indignés en marche vers Bruxelles ne pourront pas établir leur campement au Parc Elisabeth. Le bourgmestre de Koekelberg, Philippe Pivin (MR), a refusé que le rassemblement se fasse devant la Basilique.


A 24 heures de l'arrivée, les groupes, qui marchent depuis Madrid, Barcelone ou Toulouse ou qui débarquent en train, ne savent pas encore où ils vont séjourner.


Les indignés ont une ultime alternative : la Région leur a proposé un terrain du port, à Tour et Taxis. Ils ont refusé : ils trouvent le terrain trop isolé, trop peu accessible.  Samedi, le rassemblement devrait s'improviser.


L'idée initiale était de rassembler au parc Eisabeth des indignés d'un peu partout en Europe avec plusieurs jours de campement-forum entre ceux qui remettent en cause les absurdités du système capitaliste, la raideur des institutions politiques. Lire la suite sur RTBF

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:44

 

La construction du nouveau Centre Hospitalier Sud Francilien, entre les villes d'Evry et de Corbeil-Essonnes et en partenariat avec le groupe privé Eiffage, était présentée comme une réalisation phare, un exemple de ce qu'il conviendrait dorénavant de faire en matière de construction des établissements de santé publique. A la lumière des événements de ces derniers mois, cette catastrophe financière et sanitaire est devenu l'illustration de ce qu'il convient effectivement de ne pas faire : l'application dogmatique de ces fameux Partenariats Public-Privé (PPP) dans des domaines aussi inappropriés que celui de la construction d'un Hôpital Public.

 

Essayons de reprendre le déroulé de ce qui a abouti à ce que nombre d'observateurs qualifient aujourd'hui de véritable "scandale d'Etat". Aux alentours de l'année 2000, les conseils d'administration des deux hôpitaux décident la fermeture des sites de Corbeil-Essonnes et d'Evry, pourtant construits tous deux dans les années 80 et dans un état quasi-neuf, dans la perspective de la construction d'un site unique pour ce bassin de population. A l'époque, seuls les représentants des personnels, des usagers, et certains élus s'y opposent. Fi de toute concertation, pourtant demandée par la communauté médicale du secteur, le chantier du nouvel Hôpital est lancé. Les maires de Corbeil-Essonnes et d'Evry portent le projet. Seul le lieu d'implantation du futur site fait débat : le consensus se fait sur un terrain en pente à cheval entre les deux communes, totalement inapproprié et qui occasionnera par la suite d'importants surcoûts dans les travaux. Les décideurs font le choix du partenariat public-privé. L'attribution de la construction et de l'exploitation du site se fera parmi trois propositions, dont celle du groupe Eiffage, qui sera retenu. Cette opération constitue alors une première en matière de construction d'établissement de santé publique.

 

Depuis, l'avancée du chantier est pour le moins instable : valse des directeurs, surcoûts importants, réévaluation à la hausse du loyer à payer au groupe Eiffage… Les épisodes se succèdent, avec une accélération ces derniers mois. On découvre début 2011 que l'hôpital, truffé de malfaçons (8 000 erreurs constatées par huissiers sur le site), n'est pas prêt d'ouvrir et qu'Eiffage demande une "rallonge" de 100 millions d'euros pour terminer les travaux. Que le loyer, évalué à l'origine à 29 millions d'euros annuels, s'élèvera à près de 43 millions d'euros. Un rapport de la chambre régionale des comptes épingle quant à lui le PPP, décrivant une "opération juridique contraignante et aléatoire" et évalue à 500 millions d'euros les économies qu'aurait occasionnées une maîtrise d'ouvrage publique dans la construction du site. Enfin, nous apprenons à la fin de l'été que le directeur de l'Hôpital jette l'éponge face à des restrictions budgétaires inapplicables imposées par l'Agence régionale de santé. Par sa démission, cet homme pourtant réputé pour sa grande rigueur dans la réduction des dépenses de l'Hôpital a tout simplement refusé l'inacceptable : que des économies insensées sur l'offre de soins servent à payer le groupe Eiffage, par ailleurs grandement responsable du gouffre financier que représente cette opération. C'est pourtant ce qui semble être aujourd'hui l'orientation prise par l'Agence régionale de santé, avec un plan de restructuration contre lequel se sont levés personnels, syndicats et élus la semaine dernière.

 

Ce récit fastidieux des événements permet d'attirer l'attention de tous sur une situation ahurissante. D'une voix, le gouvernement pousse des cris d'orfraie sur les déficits et culpabilise toujours plus les citoyens sur les dépenses socialement utiles. D'une autre voix, il exonère de manière incroyable le groupe Eiffage et dilapide l'argent public en faisant passer les intérêts financiers d'un groupe privé avant ceux de l'Hôpital. Résultat : deux hôpitaux fonctionnels sont asphyxiés pour payer à un grand groupe le loyer d'un Hôpital truffé de malfaçons et dont on ignore les perspectives d'ouverture.

 

Pendant ce temps, comme ailleurs, les personnels hospitaliers n'ont cessé de voir leurs conditions de travail se dégrader, soumis à l'accréditation permanente et à une avalanche de procédures censées optimiser les soins, qui ont pour premier effet de détourner du temps soignant et de pousser à bout des personnels en sous-effectifs dans de nombreux services. Cette machinerie négative a été renforcée par la fameuse loi Hôpital, Patients, Santé et Territoire (HPST), qui met au service de restrictions budgétaires inhumaines une verticalité décisionnelle à la discrétion totale des directeurs d'Hôpitaux. Le mécanisme est implacable : chacun à son niveau peut ainsi participer à la destruction de la finalité du service public avec un sentiment d' "obéir aux ordres" qui évince toute responsabilité. Cette perte des savoirs pratiques, c'est-à-dire du rapport entre les décisions et leur effectivité sociale, frappe aujourd'hui tous les niveaux de nos sociétés. Et c'est particulièrement marquant dans le cadre du fonctionnement de nos Services Publics, étouffés par une logique de rentabilité en contradiction avec leurs missions premières. A ce titre, le fonctionnement des Agences Régionales de Santé, ou encore le choix du Partenariat Public-Privé en matière de construction d'établissements de Santé Publique sont des exemples particulièrement significatifs. Lire la suite sur LeMonde 

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 16:42

 

 

« Mabawas » : c’est ainsi qu’on appelle, à Mayotte, les ailes de poulet. Elles font partie des produits de première nécessité (avec la farine, le riz, le sucre, le lait, les tomates, le gaz et le sable…). Et elles sont devenues le symbole du vigoureux mouvement social contre la vie chère déclenché il y a une dizaine de jours, dans cette île de l’archipel des Comores, au sud-ouest de l’océan Indien, devenue le 31 mars dernier le cent unième département français d’outre-mer.

 

Grève quasi générale depuis le 27 septembre, avec, presque tous les jours, des manifestations, des barrages, et parfois même le blocage de l’accès à l’aéroport, sous le slogan « Mabawas nachouké ! » (ailes de poulet moins chères !). Pas de victimes jusqu’ici, mais des jets de pierre, quelques voitures incendiées, des gaz lacrymogènes et des interpellations. La gendarmerie mobile – composée en grande majorité de fonctionnaires européens, bardés de leurs protections noires en écailles, très Robocop, comme dans l’Hexagone – a même sorti quelques blindés, pour faire sauter les obstacles. Trois pelotons sont arrivés en renfort de La Réunion. Lire la suite sur Monde Diplo 

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