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Qui a tué nos villages ?

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:16

 

Alors que plusieurs associations - dont Médecins du Monde - ont symboliquement demandé, le 26 septembre, que la réunion du G20 qui doit se tenir à Cannes au début du mois de novembre inscrive à son ordre du jour la gratuité des soins, le Fonds de financement de la CMU rend publique une étude sur "Les renoncements aux soins des bénéficiaires de la CMU-C" (couverture maladie universelle complémentaire). L'enquête a été réalisée par le Fonds et par le Cetaf (Centre technique d'appui et de formation des centres d'examens de santé), sous la forme d'un questionnaire auto-administré auprès de 4.500 bénéficiaires de la CMU-C fréquentant 20 centres d'examens de santé de l'assurance maladie, dont ils représentent environ 14% de la clientèle. L'objectif principal était de clarifier la question du renoncement aux soins, qui faisait jusqu'alors l'objet d'observations et de remontées du terrain contradictoires.


L'étude a le grand mérite, eu égard à la taille de l'échantillon, d'apporter une réponse fiable à cette question. Fiable, mais mitigée. En effet, il en ressort en premier lieu que près de la moitié (45,5%) des bénéficiaires de cette prestation depuis moins d'un an disent avoir renoncé à des soins pour des raisons financières (chiffre qui tombe à 32,1% chez ceux qui bénéficient de cette prestation depuis plus d'un an). Un résultat à rapprocher au fait que 43,1% des bénéficiaires ont une perception négative de leur état de santé (note inférieure à 7 sur une échelle de 0 à 10), tandis que 56,9% en ont une perception positive. Lire la suite sur LocaltisInfo

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:15

 

Quelques centaines de manifestants anti-capitalistes campent sur une place au coeur de Manhattan. Leur modèle? La place Tahrir, au Caire. Ils en sont encore bien loin... 

Ils "occupent" Wall Street. Depuis le 17 septembre, quelques centaines de personnes ont investi la "Place de la Liberté", le nom qu'ils ont donné à Zuccotti Park. Ce lieu, au coeur de Manhattan, d'ordinaire peuplé de traders pressés, a vu s'installer ces campeurs armés de slogans anticapitalistes. Les BlackBerry et autres iPhones de ces derniers ne servent pas à surveiller les cours de telle ou telle action, mais à relayer leur mobilisation sur Internet, notamment sur Twitter où le réseau Anonymous a témoigné son soutien au mouvement


Nous n'avons rien, alors que 1% des Américains a tout: nous sommes les 99% restants 

On pourrait les surnommer les "Indignés" de New York. Le mouvement espagnol fait partie de leurs inspirations, au même titre que les manifestations anti-G20 ou les Islandais qui ont refusé de payer pour compenser les erreurs de leurs banquiers... Ou encore comme le printemps arabe et les tentes de la Place Tahrir au Caire, dont se réclament les activistes du magazine anticapitaliste de Toronto, Adbusters, à l'initiative de cette mobilisation, en août.  


Mais ils préfèrent une autre dénomination: "les 99%". "Nous avons été éjectés de nos maisons. Nous devons choisir entre faire nos courses et payer le loyer. On nous refuse des soins médicaux de qualité. (...) Nous n'avons rien, alors que 1% des Américains a tout. Nous sommes les 99% restants", lit-on sur un blog où affluent les témoignages. En 2010, 15% de la population vivait sous le seuil de pauvreté, alors que ce fameux 1%, à l'abri du chômage croissant, accumulait la majeure partie des richesses nationales. Wall Street, ses banques et ses traders incarnent le summum de cette classe privilégiée à leurs yeux. 


Les occupants de Wall Street affrontent désormais les forces de l'ordre qui seraient "entraînées pour des menaces bien plus importantes", selon le New York Times. Samedi, elles ont procédé à 80 à 100 arrestations de manifestants accusés d'entrave à la circulation et de résistance. Une personne a été inculpée pour agression contre un officier de police et un agent a été légèrement blessé. Lire la suite sur L’Express

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:14

 

 

Des chars ont bombardé mercredi en Syrie pour la seconde journée consécutive la ville de Rastan, où sont regroupés des déserteurs de l'armée qui ont entrepris de combattre les forces du président Bachar al Assad après six mois de manifestations antigouvernementales.

 

Un millier de déserteurs et de villageois armés s'opposent aux forces de Damas qui, avec l'appui de chars et d'hélicoptères, tentent de reprendre le contrôle de Rastan, ville de 40.000 habitants située dans le centre du pays.

"Ils ont pris pied dans le sud de Rastan, mais l'Armée syrienne libre riposte et a détruit trois véhicules blindés", a déclaré un habitant joint par téléphone satellite.

 

"Des bâtiments touchés par des tirs de char ont pris feu dans plusieurs quartiers", a-t-il ajouté. Rastan se trouve dans une région agricole bordant le fleuve Oront, située à 180 km au nord de Damas, sur la route conduisant à Alep vers le nord.

 

Les autorités syriennes n'ont fait aucun commentaire sur l'assaut en cours, mais elles ont démenti précédemment que l'armée subisse des désertions et imputé à des "ingérences étrangères" les troubles qui secouent le pays.

La plupart des médias internationaux ayant été expulsés du pays, il est impossible de savoir avec certitude qui a le dessus dans les combats, mais un diplomate occidental a jugé "tout à fait possible" que des transfuges résistent à l'armée. Lire la suite sur Temps réel NouvelObs 



 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:12

 

 

Il y a des jours où le métier de garde des sceaux est fatigant. Michel Mercier a officiellement saisi, mercredi 21 septembre, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) d'une liste de cinq procureurs généraux sur lesquels il réclame un avis. Il s'agit de postes sensibles, pour de hauts magistrats qui vont rester en place pendant sept ans, et qui ont fait l'objet de courtoises, mais intenses négociations depuis le printemps.

 

Malheureusement, le ministre s'est vu imposer une candidate, à Bordeaux : c'est là que sont instruites les affaires Woerth-Bettencourt, qui s'intéressent à un possible financement illégal de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, et le chef de l'Etat entend installer un procureur général qui suivra les dossiers de près et saura prendre les décisions qui s'imposent.

 

NÉGOCIATIONS DISCRÈTES

 

La liste présentée par le garde des Sceaux, la première d'une longue série, pourrait n'être qu'une formalité : l'avis du CSM sur les nominations des magistrats du parquet n'est que consultatif, les procureurs généraux étant nommés en conseil des ministres. Mais le ministre de la justice a répété qu'il ne passerait pas outre l'avis du CSM.

 

Pour éviter un avis défavorable de ce dernier, M.  Mercier négocie discrètement. Car au total, 14 procureurs généraux sur 35 vont changer ; et si l'on ajoute les cohortes de procureurs et magistrats du siège, le jeu de chaises judiciaires est complexe. Pour le ministre, il s'agit "du plus important mouvement de toute la Ve République".

 

Quatre des cinq procureurs généraux ne posent pas de problèmes. Le garde des sceaux pensait installer son directeur de cabinet, François Molins, à la tête du parquet général de Lyon. Le CSM lui a fait comprendre que c'était impensable, le ministre étant lui-même président du conseil général du Rhône. François Molins sera ainsi bientôt procureur de Paris, l'un des postes les plus prestigieux, et Jacques Beaume, procureur général de Colmar, viendra à Lyon. Cet ex-procureur de Marseille passe pour un homme de gauche, et M. Mercier entend ainsi témoigner de son ouverture d'esprit.

 

Il envisage encore de nommer procureur général de Nîmes l'actuel procureur de Versailles, Michel Desplan, qui s'est fait un nom en jugeant en 2003 à Paris l'affaire Elf. Philippe Lemaire, inspecteur général adjoint, devrait partir au parquet général d'Amiens, qu'Olivier de Baynast a déjà quitté pour Douai, et Catherine Pignon, procureure générale à Besançon, devrait être nommée à Angers.

Reste Bordeaux. Le chef de l'Etat a une candidate, Martine Valdès-Boulouque, la procureure générale de Grenoble. Michel Mercier craint fort un avis défavorable du CSM, et encore davantage d'être obligé de passer outre.

 

UNE PROCHE DE LA MAJORITÉ Par Franck Johannès / Lire la suite sur Le Monde 

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:11

 

Assiste-on à une disparition annoncée de la médecine telle qu'elle fut définie il y a plus de 2 000 ans et pour laquelle les jeunes médecins s'engagent, lors de leur thèse, en prêtant le serment d'Hippocrate ? Le fait même que beaucoup de praticiens se posent cette question et que de nombreux patients se sentent de plus en plus mal traités devrait le faire craindre ! Sauf à ceux qui invoquent le conservatisme, dont on accuse généralement les médecins, pour discréditer la défense de leurs valeurs.

 

L'antienne du "manque de moyens", ressassée à l'envi par les professionnels, n'explique que très imparfaitement la profondeur de la crise actuelle de la médecine qui nous semble plus identitaire que budgétaire. De fait, les pays occidentaux consacrent à l'assurance-maladie une part croissante de leur PIB qui, lui-même, n'a fait qu'augmenter depuis la seconde guerre mondiale ; il n'y a donc pas réellement eu de baisse des ressources allouées à la santé. De plus, les médecins ont toujours exercé avec les moyens dont ils disposaient ; le désenchantement d'une majorité d'entre eux est donc d'une autre nature.

En admettant même que le financement des soins se soit dégradé, ce ne serait pas quantitativement mais qualitativement ; avec une proportion croissante des frais médicaux à la charge des patients, une disparité de l'offre de soins (géographique et socio-économique), une dévalorisation de certains métiers notamment celui d'infirmier(e)s, un gaspillage non maîtrisé, une inflation des coûts liés aux nouvelles technologies, le vieillissement de la population qui mécaniquement accroît les patientèles… Mais, c'est surtout, le poids budgétaire de la bureaucratie sanitaire qui absorbe une part croissante du budget de la santé.

Si les premières causes de l'agonie de la médecine ne sont essentiellement pas d'ordre budgétaire, elles doivent être recherchées ailleurs. Entre autres parmi les changements idéologiques qui ont déterminé l'évolution de notre vocabulaire et particulièrement l'émergence de la notion de "producteurs de soins" et celle "d'usagers de la médecine". Elle témoigne de deux violations majeures des valeurs de notre profession : le passage de la médecine, comme art de guérir, à un mode de production industrielle ; le consumérisme qui a transformé les patients en clients, voire en consommateurs.Par Frédéric Rouillon, professeur de psychiatrie à l'université Paris-Descartes, chef de service à l'hôpital Sainte-Anne (Paris) / lire la suite sur Le Monde

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:09

 

 

Parce que, malgré des luttes de longue date et des lois sur l’égalité professionnelle, les femmes gagnent toujours 27% de moins que les hommes, tous temps de travail confondus.

 

Parce que ces inégalités perdurent et s’aggravent en France comme partout en Europe.

 

Parce que les femmes représentent 80 % des travailleurs pauvres. Parce que le chômage explose et frappe particulièrement les femmes.

 

Parce que le travail à temps partiel leur est souvent imposé et que la précarité est leur lot. Parce qu’elles sont majoritairement cantonnées dans des métiers féminisés dévalorisés.

 

Parce que la pénibilité de ces métiers n’est pas reconnue.

 

Parce que les caissières, vendeuses, secrétaires, hôtesses d’accueil, assistantes maternelles, aides soignantes, assistantes sociales, agents de la restauration et agents d’entretien, aides à domicile, éducatrices, coiffeuses, femmes de ménage, femmes de chambre, ouvrières de l’agroalimentaire, du textile et de l’électronique, … et tant d’autres, exercent pourtant de vrais métiers.

 

Parce que nous voulons sortir de cette logique, nous exigeons l’égalité effective de la rémunération entre les femmes et les hommes !

 

Nous exigeons la revalorisation des métiers et l’augmentation des salaires dans tous les secteurs féminisés !

 

Maintenant !

 

Pétition du CNDF

 

 

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:08



"Un engagement solennel" pour ne pas accorder la propriété des compteurs électriques intelligents Linky à ERDF : c'est ce qu'a réclamé au gouvernement le 26 septembre 2011 la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR), qui regroupe près de 500 collectivités et EPCI spécialisés dans les services publics de distribution d'électricité, de gaz, d'eau et d'assainissement. Celle-ci a réagi à un article du quotidien Les Echos du 22 septembre selon lequel la généralisation des compteurs Linky ne serait pas couverte par les tarifs d'utilisation des réseaux publics d'électricité (Turpe) mais par un emprunt d'ERDF qui serait sécurisé par "l'assurance de conserver les concessions de distribution durant leur durée d'amortissement, soit environ vingt ans".


"Une telle mesure serait contraire aux droits des concessions et pénaliserait durablement les collectivités et les consommateurs", a réagi la FNCCR alors que le ministre de l'Industrie doit annoncer ce mercredi 28 septembre la décision du gouvernement de généraliser ou non l'expérimentation de Linky en cours depuis plus d'un an. Une décision qui ne fait guère de doute depuis que la Commission de régulation de l'énergie (CRE) a estimé le 18 juillet dernier que les compteurs intelligents seraient nettement profitables aux consommateurs. Lire la suite sur LocaltisInfo

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:07

 

 

Monsieur Barroso vient de proposer l'instauration de la taxe Tobin en Europe.

C'est treize ans de retard depuis la création d'Attac et douze depuis que j'ai déposé pour la première fois cette proposition au Sénat le 1er décembre 1999 (sous la forme d'un amendement soutenu à l'époque par 46 sénateurs).

Cet évènement est un démenti cinglant à tous ceux qui prétendaient cette mesure impossible. Cela prouve qu'il est possible comme le demande le Front de Gauche de désobéir au Traité de Lisbonne qui interdit les limitations à la libre circulation des capitaux. Cela démontre aussi qu'il est possible d'appliquer cette taxe à un groupe de pays sans attendre que tous les autres pays l'aient décidé, comme l'envisage Barroso avec un projet de coopération renforcée.

Je déplore que la proposition Barroso envisage une taxation réduite pour les produits dérivés, alors que ce sont les transactions les plus massives et nocives pour l'économie réelle.

Dans ces conditions, et sans attendre une éventuelle décision européenne en 2014, j'appelle à l'application immédiate en France d'une taxation des transactions financières, comme nous y autorise déjà l'article 235 ter ZD du code des impôts, voté par la gauche en 2001.

En 2012 si le Front de Gauche gouverne, il décidera d'appliquer une telle taxe de manière uniforme sur tous les types de transactions. Source J-L Mélenchon

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:05

 

 

Si une évolution a été constatée sur le front des inégalités dans la France contemporaine, c’est le décollage des très hauts revenus par rapport aux autres catégories (cf. l’entretien avec Camille Landais). Les catégories supérieures font désormais l’objet d’un travail d’investigation important depuis plusieurs années. Sans doute est-ce là une forme de renouvellement de l’intérêt scientifique, les années 1990 ayant beaucoup exploré les zones de vulnérabilité et de désaffiliation ; peut-être est-ce également la prise de conscience du fait que ces catégories tirent une partie de leur pouvoir de leur invisibilité.


L’étude des classes populaires fait quant à elle apparaître une tension entre deux dynamiques inverses de déségrégation et de fermeture. Les classes populaires se sont largement ouvertes depuis trois décennies (« Peut-on parler des classes populaires »). Si les ouvriers continuent à compter pour environ un tiers de la population active, les référents culturels du monde ouvrier se sont largement dissipés au profit d’un processus d’acculturation – qui n’a pas aboli les inégalités. La culture ouvrière laisse pourtant des traces, y compris chez ceux qui l’ont connu de l’intérieur et qui ont pris leurs distances avec elles (« De la chaîne à la plume »). Celles-ci se reproduisent toujours, mais sous d’autres formes. Témoin le virage opéré par les classes populaires vis-à-vis de l’école.

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:02
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