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  • : Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
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Qui a tué nos villages ?

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 23:49

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 12:56
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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 12:51

 

On ne sait pas encore très bien s’il s’agit d’une révolte ou d’une révolution. À Albertville, cité olympique et néanmoins modeste, six caissières défient la société de consommation. Corinne, Valérie, Marie-Anne et les autres… Lorsque le magasin discount qui les emploie a voulu les faire travailler le dimanche, elles ont refusé. Un “non” franc et massif. C’était le 11 octobre 2009. On pariait alors sur une “saute d’humeur”, certain qu’à la longue leur volonté déclinerait. “Le temps, aux plus belles choses, se plaît à faire un affront”, comme dit le poète. Pourtant, deux ans plus tard, les réfractaires ne désarment pas. Chaque dimanche matin, sur le parking du supermarché Dia (ex-ED), elles tiennent meeting. Sous le froid crachin de l’automne ou dans les frimas de l’hiver, elles répondent toujours “présent”. Pluviôse, Ventôse, Nivôse, Brumaire… Ah ça ira, à la manif !


Même chez des “Savoyardes têtues”, label revendiqué, pareille persévérance relève de l’exploit. “Le courage de ces femmes force l’admiration. Elles mènent un réel combat humaniste, à une époque où l’argent voudrait tout régenter” s’enthousiasme Bernard Anxionnaz. Lui, prêtre ouvrier de 74 ans, veille au grain en coulisse et dope les énergies. Les “marchands du temple” n’ont qu’à bien se tenir.


Avec la bénédiction de la CGT et de l’évêque

Au fil des mois, leur lutte pour le repos dominical n’a pas faibli. Mieux, le “club des six” ne cesse de s’agrandir. Elles ne sont plus seules, maintenant, à distribuer des tracts à l’heure sacrée de Télé-foot. Le maire d’Albertville les soutient, des conseillers généraux et une bonne partie de l’opinion publique. Avant la messe, une fois, l’évêque de Tarentaise est même venu les encourager. “Etole des neiges”, ricanaient quelques mécréants. N’empêche, Mgr Ballot n’a pas uniquement prêché pour sa paroisse : “Votre action concerne toute la société, s’arrêter le dimanche a un sens très fort. Cela signifie que je ne suis pas le maître du monde et que je ne dois pas l’exploiter sans limite.”


La direction, évoquant “une entrave à la clientèle” – car le magasin fonctionne malgré tout ce jour-là – a voulu interrompre le mouvement. Mais la Cour d’appel de Chambéry, au printemps, en a jugé autrement… Et le spectacle continue ! Les sympathisants rappliquent par dizaines, le piquet de grève hebdomadaire prend des allures de forum citoyen. A priori, il ne s’agit pourtant pas de chambouler la République, juste de respirer un peu. “On bosse dur toute la semaine, samedi compris, pour gagner nos 1000 euros. Pas question de sacrifier encore au business le 7 e jour, et pour une prime qui ne permet même pas de payer la nounou. Notre existence familiale et sociale en serait réduite à néant” explique Corinne Pointet, déléguée CGT. Elle rentre de la fête de l’Huma, qui a réservé aux “filles” un accueil chaleureux. Avec des slogans qui claquent aussi fort que le drapeau rouge : “Gagner le pouvoir d’achat, c’est bien. Regagner le pouvoir de vivre, c’est mieux.”


Et le risque de récupération par le camp politique, à l’aube des présidentielles ? Corinne, fine mouche : “Les élections approchent, ils se servent un peu de nous… et nous d’eux.” La 100 e rugissante d’une grève sans fin Lire la suite sur Le Dauphiné



 

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 12:50

 

Jusqu’à présent en tout cas, force est de constater qu'on n’y trouve quasi aucun écho de l’arrivée de la Marche des Indignés à Bruxelles du 8 au 15 octobre... Manque de professionnalisme ? Incompétences ? Manipulation volontaire ? Volonté de minimiser la réalité pour éviter que le mouvement prenne de l'ampleur ? Nous avons toutes les raisons de nous poser la question ! 

Commentaire suite à un article paru dans le journal LE SOIR 

"Des manifestants contre la crise arrêtés à Wall Street". Précisons que cet article n'est qu'une copie pure et simple d’un communiqué de l’AFP.

Le rédacteur en chef du quotidien belge Le Soir, Didier Hamann, aurait-il refusé d'informer explicitement les lecteurs à propos du mouvement des Indignés qui sera à Bruxelles en octobre ? Faut-il y voir le symptôme d’une forme d’omerta au sein du monde bien pensant de la presse généraliste ? Jusqu’à présent en tout cas, force est de constater qu'on n’y trouve quasi aucun écho de l’arrivée de la Marche des Indignés à Bruxelles du 8 au 15 octobre... Manque de professionnalisme ? Incompétences ? Manipulation volontaire ? Volonté de minimiser la réalité pour éviter que le mouvement prenne de l'ampleur ? Nous avons toutes les raisons de nous poser la question ! 

Je suis indigné ! Le communiqué laconique de l’AFP ne donne pas la pleine mesure de l'événement or c'est loin d'être anodin. 

Je cite :

"Cela faisait une semaine qu’ils campaient au coeur de Wall Street. La manifestation, intitulée Occupy Wall Street, a été dispersée, les protestataires arrêtés... Quelque 80 manifestants qui campaient depuis une semaine sur une place au coeur de Wall Street, à New York, pour protester contre les effets de la crise économique mondiale, ont été arrêtés samedi, a-t-on appris de source policière..."

Ce que ce communiqué ne précise pas, c’est qu'il y a eu des milliers de personnes devant Wall Street dès le 17.09 (Anti-Banks day). Ces infos (images & son aussi) sont pourtant accessible sur le web ("Chronyx", "Le Buvard Bavard", "Indignez-vous", "Appel à l'humanité" sur Google, Twitter, Facebook, etc.).

Bruxellois, j'étais du 17 au 20 Septembre à Paris au coeur du mouvement pacifique des Indignés, durement réprimé par la police (voyez les vidéos dans les articles "
Les Indignés marchent sur Paris" et "La Police, avec nous !" publiés ici sur Le Buvard Bavard) et dont si peu de médias osent correctement se faire l'écho. Nous suivons de près ce qu'il se passe à NY car à l'évidence c'est le pendant de ce qui arrive chez nous. Lire la suite et voir les vidéos sur Agoravox

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 12:48

Basculement du sénat à Gauche

Le Parti de Gauche salue la défaite historique de la droite au sénat. Celle-ci est le résultat logique de la poussée de la gauche lors des élections locales et de l'exaspération de nombreux élus locaux face à la politique menée par le gouvernement de N. Sarkozy avec ses conséquences en terme de restrictions budgétaires pour les collectivités locales.

A ces Sénatoriales, le Front de Gauche a confirmé sa dynamique, ses candidats présentés sous sa bannière voyant une progression significative du score du seul PCF en 2004. A l'intérieur du Front de Gauche, le tout jeune parti qu'est le Parti de Gauche note avec satisfaction le score de 16,5 % atteint par ses candidats dans le Puy de Dôme et le Lot et de 11 % dans les Hautes Pyrénées. Le PG a choisi de soutenir la progression de la gauche. Pour sa part, le PS a choisi des alliances aboutissant, avec l'aide d'un mode de scrutin handicapant, à l'exclusion de notre formation du sénat.

Alors que les cantonales, dernier scrutin au suffrage universel, place le Front de Gauche comme la 2ème force à gauche avec près de 11 % des suffrages, les sénateurs du Front de Gauche ne représenteront que 6 % de la prochaine haute assemblée ce qui dit bien le caractère antidémocratique de ce scrutin indirect.

Pour le Parti de Gauche, un sénat à gauche devrait dorénavant s'opposer aux politiques de la droite jusqu'aux élections de 2012 où Il appartiendra au peuple et au suffrage universel de décider d'un autre destin à notre pays.

Le sénat devra alors être profondément remis en cause par une Assemblée constituante que le Parti de Gauche appelle de ses voeux.

Martine Billard

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 12:47

 

Début août, des dizaines de milliers d’Egyptiens ont réinvesti les rues du Caire et de la célèbre place Tahrir. Cette mobilisation, la plus importante depuis la chute de Moubarak, marquait une nouvelle étape du processus révolutionnaire.
Le 11 février dernier, le soulèvement du peuple égyptien mettait fin à 30 ans de dictature d’Hosni Moubarak. Le début d’une grève générale a porté le coup de grâce au régime. Lors de ces mouvements de masse, l’état-major de l’armée a décidé de rester neutre, de peur de provoquer une scission au sein des troupes. Puis il a pris le parti des manifestants, pour les mêmes raisons. L’armée en est sortie glorifiée aux yeux des Egyptiens. Le Conseil Suprême de l’Armée Egyptienne a pris la direction du pays.
Moubarak n’était qu’une pièce de tout un système qui opprimait – et opprime encore – le peuple égyptien. La direction de l’armée y jouait un rôle prépondérant. Or les masses se sont battues pour changer le système, et non pour remplacer une dictature par une autre. Début mars, sous la pression du peuple, le Conseil Suprême a dû limoger le premier ministre Ahmed Shafiq, nommé par Moubarak en janvier. Essam Sharaf a pris sa succession. Ministre des Transports de 2004 à 2005, Essam Sharaf était présent place Tahrir dès le début des manifestations, ce qui faisait de lui la figure idéale pour apaiser la colère des masses.
Mais depuis février dernier, les conditions de vie des jeunes et des travailleurs égyptiens ne se sont pas améliorées. Les revendications du peuple – pour un salaire minimum, des emplois, plus de démocratie – se heurtent aux positions de l’état-major, qui a montré son véritable visage contre-révolutionnaire. En mars, dans tout le pays, des manifestants ont tenté d’investir les locaux de la Police Politique. Dans un premier temps, l’armée a protégé la vieille institution policière. Mais face à la pression du peuple, elle a fini par la démanteler officiellement. Dans la foulée, cependant, plusieurs rassemblements ont été violemment réprimés et dispersés par l’armée, aidée par des éléments déclassés et des criminels. Des manifestants ont été torturés, violés... La lutte des classes faisant toujours rage, l’armée a fini par proposer un décret-loi qui interdit les grèves, les manifestations et les sit-in. Sous la direction du général Tantawi (ministre de la Défense sous Moubarak, pendant 20 ans), l’armée a révélé aux yeux de tous ses objectifs réactionnaires : stabiliser le régime capitaliste. Lire la suite sur La Riposte

 

 

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 12:46

 

 

Un écart qui se constate à l'intérieur même des grandes métropoles. Marseille en est un exemple.

 

Mieux vaut être riche et bien portant que pauvre et malade en France, où les inégalités de santé se creusent. Dans un ouvrage très documenté, le Pr Emmanuel Vigneron, géographe de la santé, dévoile que cette fracture, de plus en plus profonde, est autant sociale que territoriale. De nombreux habitants, qui vivent en marge des centres urbains et donc du dynamisme économique et des revenus sont relégués dans des "poches de mauvaise santé" qui s'élargissent. Avec une nouveauté : les villes ne sont plus épargnées par ces problèmes d'accès aux soins qui touchent désormais des banlieues ou des quartiers déshérités. La mauvaise répartition des professionnels de santé, l'absence de prévention et d'éducation à la santé aggravent le phénomène. Pour l'auteur, le rééquilibrage des territoires est impératif : "La santé, comme l'école, est l'un des éléments fondateurs du pacte républicain".

Si en France, selon les territoires, l'espérance de vie peut varier d'une dizaine d'années, l'écart se constate aussi à l'intérieur même des grandes métropoles. Marseille en est un exemple. Vous voulez y vivre vieux ? Allez donc habiter dans le 8e arrondissement ! C'est à la rue Paradis, au Prado, à la Vieille Chapelle, bref dans les beaux quartiers de la cité phocéenne que le risque de mourir avant 65 ans est le plus faible : -23 % par rapport à la moyenne nationale qui s'établit en France à environ 20 % de l'ensemble des décès. Ainsi, "en moins d'un quart d'heure de trajet en métro du sud au nord de Marseille, le risque de mourir prématurément (avant 65 ans) augmente jusqu'à 70 % d'un quartier à l'autre" (voir la carte), constate Emmanuel Vigneron. Lire la suite sur La Provence



Note personnelle

Alors, si j’ai bien tout compris, on a augmenté l’âge de départ à la retraite pour compenser le fait que les gens vivent de plus en plus vieux, mais cet article démontre exactement le contraire de ce que ce gouvernement a fait, concernant les retraites. En effet, les "milieux défavorisés" comme ils disent, c’est-à-dire ceux qui ont eu les travaux les plus pénibles et les moins payés, seraient donc ceux qui n’arriveraient JAMAIS à l’âge de la retraite (ou si peu, que c’en est le jackpot)

 

 

 

 

 

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 12:45

 

Quelque 800 personnes selon les organisateurs, 500 selon la police, ont formé samedi une chaîne humaine à Avignon contre le nucléaire et demandent que "2012 soit l'année de la sortie du nucléaire".

Répondant à l'appel de plusieurs associations locales, membres du réseau sortir du nucléaire, les manifestants ont formé une vaste chaîne humaine reliant les deux rives du Rhône sur le pont Edouard Daladier large de 800 m.

"Le nucléaire c'est une réaction en chaîne et nous on fait une chaîne en réaction contre le nucléaire", a déclaré à l'AFP Jean-Pierre Cervantès de l'association CREAvignon, se réjouissant que ces manifestations antinucléaires, la 4e organisée dans la cité des papes depuis l'accident nucléaire de Fukushima, réunissent de plus en plus de monde. Lire la suite sur L’Express 



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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 12:43

 

 

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 07:05

 

Hôpitaux : il manque 400 infirmières

A l’hôpital Sainte-Périne (XVIe), où il y a 20 postes vacants, un service est encore resté sans infirmières hier. Dans tout l’AP-HP, ce sont 400 emplois d’infirmiers qui restent inoccupés.

 

Un préavis de grève et de manifestation pour le 26 septembre, deux avis de « danger grave et imminent » en moins de huit jours… A l’hôpital gériatrique Sainte-Périne, dans le XVIe arrondissement, les personnels soignants tirent la sonnette d’alarme pour dénoncer une pénurie récurrente d’infirmiers dans leur établissement.

« Le manque est évident, soupire Elizabeth, 95 ans, hospitalisée depuis deux mois à Sainte-Périne après une chute. Quand on appelle au secours, on peut attendre quarante-cinq minutes avant que quelqu’un arrive. » Selon les représentants locaux de la CGT, un service complet de 35 lits est resté vide d’infirmiers jeudi. Même chose mardi et même chose hier. « Il y a 20 postes vacants sur 120 », confirme Laure Parrel, la directrice des ressources humaines de l’établissement.

Le cas de Sainte-Périne n’est pas isolé. Selon l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), 400 emplois d’infirmiers sur 16000 restent inoccupés faute de candidats. Et 10% des 16000 infirmiers en poste sont absents, malades, en formation ou en congé maternité. Beaucoup ne sont pas remplacés. Lire la suite sur Le Parisien

 

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