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Républicaine donc de Gauche, parce que "capitalisme, libéralisme,mondialisation économique" sont antagonistes avec notre devise "liberté, égalité,fraternité" ;la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ; le préambule de la constitution de 1946 ; la déclaration de Philadelphie et le Conseil National de la Résistance.
Et voici les éventuelles propositions pour répondre à
5 mois de manifestations,
une lettre aux français dans la presse,
2 mois de "voyages" pour le Président pour
11 "grands débats" avec des pointes à 8 heures,
une participation qui serait de 1,5 million personnes...
Bon, ce n'est pas terrible vu que la France compte 67 millions d'habitants... Mais ne soyons pas mesquins..
Ah ! j'oubliais, ça a coûté que 12 millions d’euros.
En attendant la conférence de presse jeudi 25 avril, quelques fuites ici ou là permettent d'analyser. Ici c'est RTL et là Le Parisien
Baisse d'impôts en faveur des classes moyennes. Pour financer cet effort, Emmanuel Macron a décidé de supprimer certaines niches fiscales....
Lesquelles ? Celles des aides pour garde d'enfants, pour personnes âgées ou handicapées ?
Il va demander aux Français de travailler davantage, sans préciser de quelle manière...
Par exemple, un ou deux jours fériés travaillés sans être payé pour la solidarité envers Notre Dame Heu !! pardon envers les personnes âgées dépendantes
La réindexation des retraites de moins de 2.000 euros sur l'inflation...
Avec paiement des arriérés ?
Le chef de l'État ne reviendra pas sur la suppression de l'ISF.
On n'est jamais assez prudents, au cas où il y aurait à sauver un autre patrimoine..
En réponse à l'injustice territoriale, le président a décidé de suspendre toutes les fermetures d'écoles et d’hôpitaux jusqu'à la fin du quinquennat....
La question c'est, combien de suppressions de classes ou de lits ?
Référendum d'initiative citoyenne (RIC) réclamé par les "gilets jaunes", une instauration partielle est prévue, qui concernera uniquement les sujets locaux...
Mince, on ne pourra pas demander la dissolution de l'Assemblée Nationale !
Le référendum d'initiative partagé qui figure déjà dans la constitution sera facilité..
Facilité pour qui ?
Et enfin, la suppression de l'ENA..
Pour remplacer l'ENA ou la changer de nom, comme par exemple ISF (Institut Supérieur des Fonctionnaires ) ?
Je suis impatiente. Quand je pense qu'il faut attendre pour toutes ces bonnes nouvelles ! Quand je pense au nombre de personnes qui vont sauter de joie en écoutant ces annonces. Enfin !! Une communion du peuple, des audimats qui vont péter, une grande reprise de la confiance !
Dans les campements de la honte, porte de la Chapelle, encore une nouvelle victime des politiques anti-
migrant·e·s et anti-pauvres de la ville. Cette fois-ci, c’est une femme âgée qui est décédée dans la nuit de lundi à mardi.
Paris, 2019, encore une morte Porte de la Chapelle dans les campements de la honte !
Une femme âgée est morte ce matin ou cette nuit, dans la boue, près d’un matelas souillé et d’une tente Quechua entre deux bretelles d’autoroute, là où Paris relègue et cache tout ce qui ressemble à de la misère trop voyante.
La police vient d’emmener son corps qui est resté des heures sous une couverture rouge entièrement détrempée, la bouche grand’ ouverte et les mains serrées sur la boucle dorée de son sac à main.
Elle est morte là où on voulait qu’elle meure, dans cet espace inhumain et caché où la police invariablement, impitoyablement, oblige tout ce qui ressemble à une grande souffrance à se rendre (surtout si c’est un petit basané qui voudrait demander l’asile, mais pas que !).
Elle est morte là où l’on voulait qu’elle soit pour qu’on ne la voit pas.
Et pendant des heures, on ne l’a pas vue.
Beaucoup de voitures sont passées, mais qui a remarqué ce corps noyé dans la boue et les détritus ?! Peut-être même, sans doute, que des voitures sont passées quand elle n’était pas encore morte et qu’on aurait pu la secourir, mais ici personne ne voit personne et on ne s’arrête pas.
Ma gorge est serrée et mon ventre s’est noué à la vue du cadavre, mais j’ai retenu mes larmes, car ce sont les larmes de trop, et si ma tristesse est immense, ma colère l’est encore plus !
De longs mois qu’on se relaie pour distribuer des centaines de milliers de repas, des dizaines de milliers de tentes et de couvertures qui finissent invariablement dans les bennes de la Ville, des mois qu’on crie qu’ici on meurt à petit feu ou de mort brutale.
Des mois qu’on doit regarder les gens dans les yeux et leur dire : « Je ne peux pas t’offrir grand-chose de plus que mon sourire et ma main vide parce que la loi Asile et Immigration a fermé toutes les portes, parce que les sinistres accords de Dublin t’empêchent de bénéficier de la protection internationale à laquelle tu as droit, parce que les associations sont toutes à bout, obligées de s’épuiser dans des recours incessants pour tenter (souvent en vain) de faire respecter la moindre miette du dernier droit qu’il te reste. »
Des mois qu’on interpelle et qu’on hurle.
Des mois qu’on constate qu’au-delà de la faim et de la maladie, ici la loi n’est pas respectée, ici les conventions internationales ne sont pas respectées, ici les Droits de l’Homme ne sont pas respectés !
On voudrait qu’on s’habitue et qu’on assiste en silence au grand naufrage des valeurs dans lesquelles nous avons été élevés, mais on refuse de s’habituer, on ne se tait pas et on ne se taira pas. Lire la suite surParis Infos luttes
Quelques grands principes sous-tendent le droit d’asile en France.
I. Les fondements du droit d’asile
Le droit d’asile découle du préambule de la Constitution qui affirme que « tout homme persécuté en raison de son action en faveur de la liberté a droit d’asile sur les territoires de la République ». Il a été consacré par le Conseil constitutionnel dans sa décision du 13 août 1993 : « Considérant que le respect du droit d’asile, principe de valeur constitutionnelle, implique d’une manière générale que l’étranger qui se réclame de ce droit soit autorisé à demeurer provisoirement sur le territoire jusqu’à ce qu’il ait été statué sur sa demande ».
Le droit d’asile découle également des engagements internationaux de la France, en particulier de la convention de Genève sur les réfugiés du 28 juillet 1951 et du droit de l’Union européenne, plus particulièrement du règlement (UE) du 26 juin 2013 établissant les critères et mécanismes de détermination de l’Etat membre responsable de l’examen d’une demande de protection internationale, dit règlement « Dublin », de la directive 2011/95/UE du 13 décembre 2011, dite directive « qualification », et des deux directives du 26 juin 2013, portant respectivement sur les procédures et les normes d’accueil.
Le devoir de protection des personnes menacées dans leur pays marque la législation nationale qui repose sur 4 principes : une protection élargie, un examen impartial de la demande d’asile, un droit au maintien sur le territoire ainsi qu’à des conditions d’accueil dignes pendant toute la durée de l’examen.
La législation française s’attache aussi à assurer des procédures d’asile efficaces se déroulant dans des délais satisfaisants et visant à éviter le détournement de l’asile à des fins étrangères à un besoin de protection.
Ces principes ont été réaffirmés par la loi du 29 juillet 2015 relative à la réforme du droit d’asile.
Les règles de droit interne relatives au droit d’asile se trouvent pour l’essentiel inscrites dans le Livre VII du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA). source
J’ai maudit l’indifférence qui a entouré le débat à l’Assemblée sur le projet de loi santé. Car la semaine dernière
était examiné dans l’hémicycle un projet de loi sur la santé. De notre côté, nous avons fait pour le mieux. Pour les Insoumis, le travail parlementaire était écrasant. Après la semaine folle sur la loi Pacte bouclée a six heures du matin le samedi, il a fallu embrayer avec cette loi non-stop jusqu’au vendredi suivant trois heures du matin… Sans la détermination totale de Caroline Fiat, disons qu’on aurait craqué en route. La noria était décidément faible car tout le monde devait rattraper les retards en circonscription et dans ses divers engagements à l’Assemblée (groupes d’étude, commission d’enquête, rapport et ainsi de suite). La tranchée fut donc tenue dans une salle qui sans Caroline aurait beaucoup ressemblé à un congrès de médecins et de mandarins libéraux.
Chacun connaît l’importance du sujet. Chacun sait que les problèmes sont nombreux dans le secteur. Les conditions de travail dans les hôpitaux sont terribles et deviennent aussi parfois dangereuses pour les patients du fait des restrictions de toutes sortes que subit l’hôpital public. Macron y a lui-même ajouté sa contribution avec des coupes de 960 millions d’euros en 2018 puis de 610 millions d’euros en 2019. Un nombre croissant de personne est empêché d’accéder aux soins à la fois pour des raisons financières et d’absence de médecins dans certaines zones. Et on parle de 20% de la population qui se prive de soins faute de moyens. La logique de la réforme de Macron est à l’image de sa philosophie générale. Elle fait reculer l’État et compte sur le marché pour organiser efficacement l’offre de santé. Un postulat idéologique juteux.
Dans l’hôpital, le projet de loi prévoit la suppression du concours national de recrutement pour les médecins. Ils seront désormais recrutés sur contrat, comme dans n’importe quelle entreprise privée. Les députés de la majorité ont voté une habilitation pour agir par ordonnances sur l’organisation du travail médical à l’hôpital. À la lecture de cette habilitation, il ne fait nul doute qu’il s’agit de permettre aux médecins d’exercer dans les conditions d’un cabinet libéral à l’hôpital public. C’est bien une privatisation des hôpitaux. Les médecins pourront utiliser les installations publiques, financées par les cotisations sociales de tous les travailleurs, pour pratiquer un exercice privé de la médecine. Ils pourront notamment appliquer des dépassements d’honoraires comme le fait la médecine de ville. Ils ont explosé ces dernières années. 45% des spécialistes les pratiquent, contribuant à alimenter le renoncement aux soins d’une part de plus en plus grande des Français pour des raisons financières. En généralisant ces dépassements à l’hôpital, le projet de loi Buzyn créé une médecine à deux vitesses à l’intérieur même du service public. Si vous avez les moyens de payer des dépassements d’honoraires, vous attendrez moins longtemps votre consultation à l’hôpital.
Le projet de loi aborde par ailleurs la question de la carte hospitalière. Là encore, l’Assemblée s’est contentée de voter une habilitation pour le gouvernement à légiférer par ordonnances. C’est donc dans le bureau du ministère qu’on décidera des fermetures de services. Le projet de loi prévoit la création d’un nouveau statut, celui « d’hôpital de proximité ». Ces hôpitaux ne pourront comporter ni de maternité, ni de chirurgie. En conséquence, il est à prévoir qu’un certain nombre de services d’urgence vont encore être fermés. Déjà, la moitié des maternités ont disparu depuis 20 ans. Le nombre de naissances, lui, n’a pas diminué. Il a même légèrement augmenté, de 4%. Le nombre de visite aux urgences, lui, a augmenté de 100%. Comme dans le même temps, on ne cessait de demander à l’hôpital public des économies, le privé a peu à peu pris la place. Depuis 1996, 60 services d’urgences publics ont fermé mais 138 privés ont été créés. Le gouvernement aggrave cette double logique : la désertification des services publics et la privatisation de la santé.
Ce dimanche 24 février, j’étais au Salon de l’Agriculture de Paris pour une journée de visite, de débat et de rencontres, avec Laurence Lyonnais, candidate LFI aux élections européennes de mai 2019.
Je m’engage pour l’agriculture paysanne
A 10h, nous étions invités à un débat organisé par la Confédération Paysanne à propos des enjeux de la future réforme de la Politique Agricole Commune, en présence de représentant.e.s de LREM, du PS, d’EELV et de Gilets Jaunes.
La Confédération Paysanne, par la voix de Laurent Pinatel, Temanuata Girard et Emmanuel Aze, a présenté ses 10 propositions pour l’agriculture française et européenne. Je me retrouve totalement dans ces propositions : garantir le budget de la PAC ; protéger le marché européen avec un prix minimum d’entrée ; intégrer des enjeux de souveraineté alimentaire ; plafonner les aides à l’actif agricole ; soutenir la transition vers l’agriculture paysanne ; soutenir le pastoralisme et les zones difficiles ; protéger les systèmes pastoraux face aux prédateurs ; développer l’autonomie alimentaire des Outre-mers ; stopper les accords de libre-échange (CETA, TAFTA, MERCOSUR, etc.) ; refuser les OGM et en finir avec les pesticides.
Le représentant de La République En Marche semblait pressé, et devait partir avant la fin du débat. Il avait machinalement pris des notes sur son téléphone pour « répondre point par point ». C’est donc lui qui commença. Dans un latin de cuisine, et une langue de bois dont nous sommes coutumiers avec LREM, il répondit à à peu près toutes les questions, sauf celles posées par les organisateurs du débat. Un peu comme l’a fait E. Macron la veille. Brouillon et incompréhensible (pardon, dans la nov’langue LREM « trop subtil, trop intelligent »), il explique qu’il est d’accord mais que LREM ne mettra pas ces propositions en place. Notamment, son explication pour refuser les « prix minimum d’entrée », horrible mesure protectionniste, était ahurissante. Pour résumer la pensée complexe macroniste : la mise en place d’un prix minimum d’entrée, prix plancher, impliquerait forcément que le marché mettrait en place un plafond, ce qui desservirait les producteurs. Ce raisonnement mérite quelques éclairages !
D’abord, un éclairage sur le fonctionnement actuel des marchés agricoles en Europe. Depuis les années 1990, ils ont été totalement libéralisés avec la suppression progressive des protections douanières, des mécanismes de régulation de l’offre (stockage, quotas) et l’abaissement des prix d’intervention (les prix minimum) à un niveau extrêmement bas, rendant ce mécanisme inefficace car inappliqué. Le marché européen s’est donc ouvert complètement aux échanges mondiaux. La conséquence est un alignement des prix intérieurs sur ceux du marché mondial. Or, ce marché mondial est un marché d’excédents de production ; les prix y sont donc très bas et ne couvrent souvent qu’à peine les coûts marginaux de production. Ce marché ne concerne cependant que 15% des échanges de produits agricoles. Chacun peut donc voir l’absurdité de vouloir imposer à 100% des produits agricoles européens le prix de 15% des échanges mondiaux ! La mise en place de protections à l’entrée du marché européen (ou, le cas échéant, du marché national) ne serait donc qu’un moyen de retrouver des prix minimum rémunérateurs. C’est un impératif de justice pour les paysans !
Mais l’inquiétude de LREM est toute autre. Car ce marché mondial est aussi violemment spéculatif, si bien qu’aujourd’hui seulement 2% des transactions sur les produits financiers adossés à des actifs agricoles donnent lieu à un échange effectif. Le reste des transactions (98%) est donc un pur jeu spéculatif. LREM craint donc que la mise en place d’un plancher, et d’un plafond, empêche à la fois à l’agro-industrie de gonfler ses marges sur le dos des paysans, mais aussi la spéculation sur les produits agricoles !
Il est temps de faire passer l’intérêt général et celui des paysans avant l’intérêt des financiers. La suite sur le blog de Romain Dureau
Pour le présent et le futur, Maintenant le Peuple défend l’idée que les Peuples d’Europe peuvent agir pour la planète et les citoyens, par des actes et non des mots.
Nous voulons une justice climatique et sociale, et nous la voulons maintenant !
Maintenant le Peuple
Pour des objectifs climatiques contraignants et un tribunal international pour l’environnement et le climat : baisser de 65% les émissions de CO2 d’ici à 2030, mettre en œuvre des règles contraignantes, contraindre les multinationales les plus polluantes et les plus riches à payer
Pour une règle verte européenne : le climat et l’environnement doivent passer avant la loi du marché et la règle d’or des Traités européens, il faut mettre fin à la recherche effrénée du profit et repenser le fonctionnement de nos sociétés en fonction des limites de l’écosystème
Pour un Plan d’Investissement Vert : lancer un programme public d’investissement d’ampleur pour un modèle énergétique 100% renouvelable et des bâtiments rénovés, afin de créer des millions d’emplois, de lutter contre la précarité énergétique et mettre en avant la sobriété énergétique
Viser zéro émissions de CO2 dans les transports : développer la mobilité multimodale et les transports publics gratuits, investir dans les lignes de train de proximité pour rééquilibrer les territoires, prioriser le transport de fret, créer un fonds ferroviaire européen pour mieux lier les capitales européennes entre elles, instaurer des taxes progressives sur les vols aériens, interdire la vente de nouveaux véhicules roulant à l’énergie fossile d’ici 2025
Pour un nouveau modèle agricole et des produits de qualité pour tous : garantir une alimentation de qualité et promouvoir l’agriculture locale et paysanne, en finir avec les pesticides, et rapprocher les agriculteurs des consommateurs via les circuits courts
Tourner la page du vieux monde qui détruit la planète : stopper les aides aux énergies fossiles, mettre fin aux traités de libre-échange climaticides comme le CETA, stopper les grands projets inutiles, démasquer le greenwashing et combattre les fausses solutions comme le nucléaire, le gaz « naturel », la géo ingénierie et le marché carbone, interdire les nouvelles infrastructures pour les énergies fossiles
Les services publics sont bon pour la planète : faire de l’eau et de l’énergie des biens communs et développer les services publics, nous appelons à la nationalisation et à la démocratisation de la production et la distribution d’électricité
Pour la nature et la biodiversité : Protéger la biodiversité et les espaces naturels en Europe et au-delà Source La France Insoumise
Hier, la marche « du siècle » pour le climat a rassemblé des milliers de personnes...
Ne soyons pas faux derche ! Mettre un autocollant, faire des pancartes, embarquer les jeunes dans cette revendication pour le climat, oui ! Mais ceux qui croient que la nature se contentera de manif fut-elle importante se trompent lourdement ! Car, pendant que nous manifestons à juste titre, les stations de ski se réjouissent d'une saison réussie et on peut voir notre président glisser joyeusement sur la neige... (La Mongie, pour ne citer que cette station, c'est 306 canons à neige - 40 % du domaine couvert par ces équipements - 245.000 m3 d'eau y transitent chaque hiver)...
Voir la planète entière se mobiliser vendredi, c'était beau !! Mais, comment réagiront les stations de ski lorsqu'on leur dira qu'il faudrait diminuer leur parc skiable et se contenter de ce que la nature propose ? Et de fait, qu'en diront les commerçants, les loueurs, les communes qui en vivent ?
Il y a des mentalités à changer... Ceux qui vivent dans les pays « dits » développés seront-ils capables de remplacer leur vacances d'hiver par d'autres loisirs ?
Ainsi, pour s'amuser, décompresser etc... (rien que pour le ski) nous participons à la destruction de la planète via l'eau utilisée et non entièrement restituée. Quant aux files de véhicules pour rejoindre les stations, les camions pour livrer etc... elles participent aussi à la destruction de la couche d'ozone, pour satisfaire des besoins inutiles.
Peut-on décemment aller à une manifestation pour le climat s'en prendre en compte ces données ?Comment ne pas se poser la question de ceux qui en meurent, car leurs besoins vitaux ne sont pas satisfaisants ?
Seule dame nature décide ! Et si l'hiver il est censé neiger, ce ne sera jamais réglé via une loi qui sortirait d'un ministère quelconque. Le climat ne se soumet à aucune règle qui l'enfermerait dans ce que les hommes ont
décidé. NON ! C'est lui qui décide. Et lorsqu'on cherche à le soumettre, il se rebelle... d'où les inondations, les hausses de température etc..
Ce sont les pauvres qui polluent le moins car ils consomment le moins et pourtant ce sont ceux qui paient le plus d'impôts en proportion de leur revenu et qui allaient le plus lourdement payer les taxes écologiques.
Et du coup, je repense à cette taxe carbone, qui était censée aller à l'environnement, qui a fait sortir les Gilets Jaunes sur les ronds-points en novembre 2018. Ils allaient devoir payer une taxe pour l'environnement, alors que leur véhicule est souvent le seul moyen pour se rendre au travail... Ces Gilets Jaunes font partie du Peuple, sont concernés par le climat et étaient nombreux hier dans les marches pour le climat
Encore une fois, et nous ne le répéteront jamais assez, la solution est entre les mains des plus riches !!
VMH
Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants." Antoine de St Exupéry